Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
James Ford
200 abonnés
185 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 29 janvier 2024
Vous mettez Ma Dong-Seok dans un film post apo avec des fight au poing/sabre contre des mutant Lézard ... Bordel j'achète direct. Si le scénar frôle la série Z (oué). Le job est là. Réal explosif, choré hyper bien exécuté. Franchement très bon moment.
Ensuite je ne dis pas, faut aimer le genre (assez Z pour le coup), série B. Mais si c'est votre came (ou que ça ne vous pose pas de souci), et que Ma Dong-Seok est votre héros depuis 5/6 ans. Alors jetez-vous dessus. Ça fait plus que le café, je vous le garantis.
Le long métrage a même l'audace de renvoyer beaucoup de production américaine au placard (question action et choré), en assumant le délire Z. Maintenant j'attends que The Roundup: No Way Out sortent chez nous directement en blu ray ... Quelque chose hein.
Je vais finir par croire que les Sud-Coréens sont passés maître pour nous proposer des effets visuels et combats exotiques sur fond d'apocalypse en mode Survival horror, mais qu'ils ont encore du chemin à faire pour nous raconter une histoire intéressante et travaillée en profondeur. Car oui, l’histoire de fin du monde à la suite d’un tremblement de terre et de médecin fou qui fait des expériences pour devenir pratiquement immortel : c’est tellement peu original. Le film dans sa globalité est trop inégal. Parfois c’est intéressant ou surprenant dans l'esprit des jeux vidéo et puis c’est parfois tellement puéril, lent, inutile. Bon, il y a une constance : l'humour décalé. Mais cela est loin de suffire pour atteindre un bon niveau. Coté prestation, à part Nam San le chasseur solitaire, qui impose à l'écran par son personnage posé mais déterminé, je dois reconnaitre que c'est comme à leurs habitudes avec les coréens : très surjoué et dans la caricature. Le film n’est pas franchement mauvais, mais l’intérêt est limité à son univers dévasté et ses combats sanglants. Désolé, à part ça…
Une étoile pour, sans doute valoriser, son dernier sursaut d'action et de violence, dans les meilleurs conditions du film de zombi apocalyptique [spoiler] avec un assaut bien sanglant et virvoltant [spoiler], dans son décors isolé, qui échappe enfin à son triste décors poussiéreux et articiel. Un gros basard mal calibré, sorte de fête foraine de l'horreur, qui nous laisse juste apprécier la présence de Dong-Seok Ma. Complètement déméritant.
Suite spirituelle du bon "Concrete Utopia", "Badland Hunters" se déroule dans un monde post-apocalyptique à la suite d'un tremblement de terre. Les deux films ont pour point commun ce bâtiment encore debout qui est un motif d'espoir pour les survivants, mais dans lequel il se passe des choses immorales. Alors que Eom Tae-hwa évoquait la noirceur de la nature humaine en situation de crise, Heo Myeong-haeng, cascadeur et expert en arts martiaux, offre une alternative distrayante en s'appuyant sur ses forces pour sa première derrière la caméra avec des scènes d'action nombreuses et divertissantes. Combats rapprochés bien chorégraphiés avec quelques moves spectaculaires et gunfights intenses sont au programme. Difficile de ne pas prendre du plaisir en voyant l'excellent Ma Dong-Seok dégommer tout ce qui bouge notamment lors de la longue séquence jouissive spoiler: avec le pompe. De plus, il a toujours le mot pour rire afin d'apporter un peu d'humour. Il fait le show et l'on ne s'ennuie jamais lorsqu'il est à l'écran. Si l'on s'accommode de cette histoire moyenne et prévisible, "Badland Hunters" est une série B fun et divertissante.
Une histoire bancale de savant fou post apocalyptique sans surprise. L'humour est mal dosé et les scènes de combat n'ont rien d'original. Nul doute que ce film sera vite oublié.
Film bas de gamme avec des effets spéciaux digne d'un nanar des années 90 avec un pseudo médecin qui fait des expériences pour être immortel ou sauvé sa fille de toute manière ça reste ridicule. A éviter.
Que ce soit une série B ou une série Z, constitue le cadet de mes soucis, seul le résultat compte, Et ce résultat c'est qu'on reste scotché devant l'écran pendant toute la durée du film ! Certes l'histoire est simple, et même prévisible, mais ça ne gêne pas. Voir Ma Dong-Seok dégommer ses adversaires avec une désinvolture dingue est un plaisir coupable parfaitement assumé. Et le réal ne censure rien, ça saigne, ça dégouline, et les victimes collatérales en prennent plein la poire. Le méchant est très réussi, il y avait longtemps qu'on n'avait pas vu un savant fou aussi timbré et puis il y a Roh Jeong-toit qui nous charme de sa beauté. Un excellent moment de cinéma bis on va dire !
Version coréenne post-apocalyptique avec des mutants et un professeur dingo ... question scénario on a vu plus original, reste le distributeur de baffes et l ambiance "pas sérieuse" qui sauvent relativement cette distraction qui ne restera pas éternellement dans nos souvenirs...
Primo je n'ai jamais aimé ce genre de film post-apocalyptique a la mad max secundo Oui il y a un bon acteur qui jouent dedans ma dong-seok mais cela ne suffit pas a rattraper le nanar post-apocalyptique que nous propose Netflix tertio on s'ennuie très rapidement dans un scénario peut convaincant souvent copier mais jamais égalé bref cela va certainement plaire a d'autres mais pas a moi
Une grande déception,au bout de 30 minutes j ai arrêter !!! a aucun moment j ai réussi a rentrer dans le film...bon courage a ceux qui pourront tenir jusqu'au bout😉 tout est Fake ,même les acteurs ni crois pas
"Badland Hunters": Ma Dong-Seok fait trembler la terre et les zygomatiques
Dans "Badland Hunters", le réalisateur Heo Myeong-haeng nous offre un joyeux bordel post-apocalyptique, où même les plaques tectoniques se font la malle pour échapper à la folie qui règne à Séoul. On se retrouve plongés dans un monde où les bâtiments sont plus instables que la relation entre Ross et Rachel dans Friends. Et au milieu de ce chaos, qui d'autre que l'indestructible Ma Dong-Seok pour secouer les fondations et nos funny bones ? Le gars est plus solide qu'une connexion Internet en 56k.
Le réalisateur, ancien cascadeur et pro des arts martiaux, a transformé ce qui aurait pu être une comédie dramatique sur les dégâts sismiques en un festival d'explosions, de bagarres et de situations plus déjantées que les scénarios de Rick et Morty. Les combats sont aussi bien chorégraphiés que les mouvements de danse de votre oncle bourré à un mariage. Et parlons de la séquence avec le pompe, c'est tellement jouissif qu'on se croirait dans un FPS coréen version live-action. Ma Dong-Seok dégomme des méchants avec autant d'entrain que ma grand-mère lorsqu'elle démarre son ordinateur.
"Badland Hunters" n'est pas là pour vous filer la migraine avec des dialogues trop profonds. Non, ici on préfère les répliques qui tuent plus vite que les zombies dans The Walking Dead. Ma Dong-Seok jongle entre les explosions et les punchlines avec une aisance déconcertante. C'est l'humour qui fait mouche, comme un critique ciné dans une salle pleine de fans de Twilight. L'acteur nous prouve qu'il est aussi doué pour les blagues que pour botter des derrières.
Les acteurs secondaires ne sont pas en reste. Roh Jeong-Eui et Hee-jun Lee apportent une dose de fraîcheur à l'écran, et leurs performances sont plus convaincantes que le dernier cosplay que vous avez vu à la Comic-Con. L'alchimie entre les personnages est palpable, comme si le casting avait décidé de faire une soirée jeux de société pour renforcer les liens entre eux avant le tournage.
Certes, l'histoire peut être prévisible comme la saison 8 de Game of Thrones, mais est-ce qu'on regarde ce genre de film pour être surpris comme dans un épisode de Black Mirror ? Non, on est là pour voir Ma Dong-Seok dézinguer des méchants avec style, et ça, "Badland Hunters" le fait avec plus d'efficacité que la réparation de ma connexion Wi-Fi par mon voisin bricoleur.
En conclusion, "Badland Hunters" est un cocktail d'action, d'humour et de cascades, servi avec la puissance comique de Ma Dong-Seok. Si vous cherchez un film aussi percutant qu'une claque de Hulk, tout en vous faisant rire comme Deadpool après une soirée arrosée, alors ce film est fait pour vous. Heo Myeong-haeng a réussi à transformer une histoire post-apocalyptique en une aventure aussi divertissante qu'un épisode de South Park. Enfilez votre plus beau costume de chasseur et préparez-vous à dégommer le rire avec "Badland Hunters".
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
On prend le décor et le point de départ – un séisme de haute intensité où un seul immeuble résiste dans Séoul ! – de « Concrete Utopia », sorti au Cinéma en août 2023 en Corée, et on fait un nouveau film pas très original et plein d’invraisemblances. Mais il y a Don Lee, alias Ma Dong-Seok, alors je suis prêt à pardonner beaucoup de choses. C’est un petit film qui sera vite oublié mais qui sait être efficace et remplit son objectif de détente du spectateur de plate-forme de streaming avec quelques scènes amusantes pour détendre l’atmosphère.
Un savant fou dans un monde post-apocalyptique, il y a MadMax et du Réanimator, mais aussi du Walking Dead, The Raid et plus encore. L'humour est mal dosé, la deuxième moitié est une boucherie et si les effets spéciaux sont bien foutus, et la réalisation se permet des plans originaux, finalement l'action lasse, les acteurs sont mauvais et interchangeables... Bref, cela a beau être coréen avec son mélange des genres, on est bien sur un nanar, une série Z à gros moyens.
Le scénario est prévisible et sans surprise. L'histoire est simple et directe, sans aucun développement ou nuance.
Les séquences d'action sont bien chorégraphiées et exécutées, mais elles sont également excessives et gratuites. Ce long-métrage se concentre sur la violence gore, sans jamais s'attarder sur les conséquences émotionnelles de cette violence.
En fin de compte, "Badland Hunters" est un film qui ne tient pas vraiment ses promesses.