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    Neverland
    Note moyenne
    3,2
    24 titres de presse
    • Brazil
    • L'Express
    • Le Figaro
    • Le Figaroscope
    • Le Point
    • Paris Match
    • Première
    • TéléCinéObs
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • Cinéastes
    • France Soir
    • MCinéma.com
    • Score
    • Studio Magazine
    • Télé 7 Jours
    • Télérama
    • Zurban
    • aVoir-aLire.com
    • Chronic'art.com
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Ouest France

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    24 critiques presse

    Brazil

    par Eric Coubard

    C'est un film admirable à tous points de vue: cadrage, photographie, acting et musique. Neverland est à ne manquer sous aucun prétexte à condition d'être toujours capable d'entendre le bruit du réveil dans le crocodile qui vous suit.

    L'Express

    par Julien Welter

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Figaro

    par Dominique Borde

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Figaroscope

    par Marie-Noëlle TRANCHANT

    Beaucoup de sentiments délicats passent dans ce charmant mélodrame biographique, qui brouille les frontières entre réalité et fantaisie.

    Le Point

    par La Rédaction

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Paris Match

    par Chrstine Haas

    Marc Forster (...) signe un film poétique, qui illustre magnifiquement le pouvoir de l'imagination.

    Première

    par Gérard Delorme

    Bien que dépourvu de toute dimension sexuelle, l'hypothèse de l'artiste dont les muses sont des enfants est dans le film parfaitement crédible. Johnny Depp y est pour beaucoup (...)

    TéléCinéObs

    par Jean-Philippe Guerand

    Aussi romanesque que romantique, "Neverland" renoue avec un cinéma tombé en désuétude, sans jamais laisser l'imagerie prendre le pas sur son propos.

    Cahiers du Cinéma

    par Antoine Thirion

    L'avènement de cette nouvelle féerie confirme peut-être tout le sérieux qu'Hollywood met à reformuler le problème de la croyance dans les limites d'un scénario lisible.

    Ciné Live

    par Xavier Leherpeur

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    Cinéastes

    par Robert Hospyan

    (...) si Neverland ne présente rien de honteux, il ne recèle rien de si méritant non plus. Biopic on ne peut plus classique, l'ouvrage de Marc Forster manque cruellement de folie, de souffle, ou d'un minimum de personnalité.

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    France Soir

    par Richard Gianorio

    (...) un film mélancolique et touchant auquel manque, hélas, le grain de folie indissociable de la mythologie véhiculée par Peter pan: les rêveries enfantines vues par Hollywood sont aseptisées.

    MCinéma.com

    par Jean-Christophe Derrien

    Le nouveau film du réalisateur de l'excellent A L'OMBRE DE LA HAINE est cependant peu convaincant, malgré une bonne interprétation et un certain sens esthétique, avec des séquences contées réussies. Malheureusement, le reste de la mise en scène est plutôt fade et le script joue trop la carte du mélo.

    Score

    par Bob Alcazar

    En choisissant de filmer le regard de Johnny Depp plus que les visions de Barrie, mark Forster signe un film pudique, platonique, où l'imaginaire et la passion restent à l'état de réel. Problème: le cinéma, lui, ne vit que pour transcender le réel.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Télé 7 Jours

    par L. Tournier

    Il est des contes de fées qui vous brisent le coeur. Tel cet épisode à peine romancé de la vie de James M. Barrie, dont Marc Forster tire un mélo déchirant, charmant mais convenu. Heureusement, le joli tableau est aussi le terrain de jeux de deux grands, Johnny Depp et Freddie Highmore.

    Télérama

    par Anne Dessuant

    (...) quand enfin le rideau s'ouvre sur ce pays imaginaire, il s'agit d'un chromo en carton-pâte avec elfes en collant verdâtre... Heureusement, Marc Forster réussit davantage les scènes purement dramatiques : celles où son héros est pris en défaut, où ses chimères butent contre le regard grave d'un enfant qui n'y croit plus.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Olivier Pélisson

    (...) il manque à cette sage reconstitution un brin de folie et de piquant pour que le film décolle vraiment.

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    Si on peut taxer Neverland de moissonneuse à Oscars, on doit néanmoins lui savoir gré d'avoir habilement éludé la guimauve geignarde même si le mélodrame emporte régulièrement le morceau.

    Chronic'art.com

    par Guillaume Loison

    Marc Forster est davantage le genre premier de la classe, un peu fayot, sans un gramme d'humour. Allons-y plus gaiement : son film est un de ces produits péteux, sans grâce, incapable de prendre le moindre risque, ni même de reconnaître sobrement son anorexie créatrice.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Le Monde

    par Florence Colombani

    Sans peur du cliché, le film s'emploie à démontrer combien l'imaginaire d'un écrivain est tributaire de la vie réelle (...) Autant dire qu'il règne à Neverland un bien singulier manque d'imagination (...)

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Nelly Kaprièlian

    (...) un mélo hollywoodien avec une pseudo-histoire d'amour pour ménagères, alors que la complexité romanesque de J.M. Barrie méritait un réalisateur à la hauteur de son étrangeté: un Scorsese, un Lynch ou encore un Burton. Dommage.

    Libération

    par Bayon

    Johnny Depp et le script tournent à vide, tels les tables, autour du point aveugle de ce mythe spirite : sa création poignante. Mais ensemble, Neverland peter-panise gentiment, dans ses jardins hantés de Kensington, le médium évanoui Barrie.

    Ouest France

    par La rédaction

    (...) on peut toujours se demander à qui s'adresse cette sucrerie ripolinée. Les enfants préféreront se (re) plonger carrément dans Peter Pan. Les adultes jugeront que ça n'est plus de leur âge. Alors, c'est peut-être pour les adultes ayant gardé leur âme d'enfant. Ce qui fait potentiellement pas mal de spectateurs.

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