Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
C’est dans sa manière délicatement frontale d’accueillir la parole libre et politisée des êtres filmés que Lettre errante prend véritablement l’R : quand nos ouïes sont mises à l’épreuve d’une reconnaissance de la lettre dans des langues qui nous échappent, quand les récits d’existence se mettent à osciller entre le son et le sens.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Nurith Aviv prolonge son travail sur l’impact de la langue et nous offre un plaisir intelligent, inattendu et jamais ennuyeux.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Lettre errante" est un hymne à peine dissimulé à la beauté de la diversité humaine, aux multiples couleurs dont nous sommes fait·es. Sublime et galvanisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Film de niche, film de détail, Lettre errante est pourtant très ouvert, accueillant au fil de la parole des intervenants quantité de réflexions sur la langue qu’on parle, celle qu’on apprend, celle qui nous soumet ou nous libère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O’Neill
Autour du r – guttural, roulé ou à peine perceptible –, entre la règle et l'exception, entre nature et culture, entre le conscient et l'inconscient, s'érige une dialectique fertile. Née à Tel Aviv, Nurith Aviv sonde ses sources. Pour livrer un beau film qui confirme sa vraie identité, celle d'une poète, sous le signe de la couleur rouge.
Le Monde
par Cl. F.
Lettre errante donne la parole à des personnes originaires de six pays différents (Danemark, Haïti, Algérie, Russie…) ayant un rapport particulier avec cette consonne. Les récits convoquent des blessures d’enfance, des questions migratoires ou de genre, bref tout un voyage, alors allons prendre l’R…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un drôle de documentaire, à la limite de l’essai sociolinguistique, qui démontre avec beaucoup d’agilité ô combien la prononciation de la lettre R est un marqueur de différence sociale et de construction identitaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Nicolas Moreno
En donnant un écho mondial à sa problématique, le film soulève en effet des questions politiques, relatives à la migration notamment. L’on regrette alors que la mise en scène du film, son montage notamment, ne le soit pas autant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
Devant sa caméra se succèdent cette fois une traductrice franco-russe, un écrivain norvégien, un auteur haïtien… Tous évoquent leur rapport à la lettre R, dont la prononciation roulante, glissante ou caressante en dirait long sur sa locutrice ou son locuteur…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
C’est dans sa manière délicatement frontale d’accueillir la parole libre et politisée des êtres filmés que Lettre errante prend véritablement l’R : quand nos ouïes sont mises à l’épreuve d’une reconnaissance de la lettre dans des langues qui nous échappent, quand les récits d’existence se mettent à osciller entre le son et le sens.
Les Fiches du Cinéma
Nurith Aviv prolonge son travail sur l’impact de la langue et nous offre un plaisir intelligent, inattendu et jamais ennuyeux.
Les Inrockuptibles
"Lettre errante" est un hymne à peine dissimulé à la beauté de la diversité humaine, aux multiples couleurs dont nous sommes fait·es. Sublime et galvanisant.
Libération
Film de niche, film de détail, Lettre errante est pourtant très ouvert, accueillant au fil de la parole des intervenants quantité de réflexions sur la langue qu’on parle, celle qu’on apprend, celle qui nous soumet ou nous libère.
Positif
Autour du r – guttural, roulé ou à peine perceptible –, entre la règle et l'exception, entre nature et culture, entre le conscient et l'inconscient, s'érige une dialectique fertile. Née à Tel Aviv, Nurith Aviv sonde ses sources. Pour livrer un beau film qui confirme sa vraie identité, celle d'une poète, sous le signe de la couleur rouge.
Le Monde
Lettre errante donne la parole à des personnes originaires de six pays différents (Danemark, Haïti, Algérie, Russie…) ayant un rapport particulier avec cette consonne. Les récits convoquent des blessures d’enfance, des questions migratoires ou de genre, bref tout un voyage, alors allons prendre l’R…
aVoir-aLire.com
Un drôle de documentaire, à la limite de l’essai sociolinguistique, qui démontre avec beaucoup d’agilité ô combien la prononciation de la lettre R est un marqueur de différence sociale et de construction identitaire.
Première
En donnant un écho mondial à sa problématique, le film soulève en effet des questions politiques, relatives à la migration notamment. L’on regrette alors que la mise en scène du film, son montage notamment, ne le soit pas autant.
Télérama
Devant sa caméra se succèdent cette fois une traductrice franco-russe, un écrivain norvégien, un auteur haïtien… Tous évoquent leur rapport à la lettre R, dont la prononciation roulante, glissante ou caressante en dirait long sur sa locutrice ou son locuteur…