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Le réalisateur norvégien d’origine kurde Halkawt Mustafa explore l’intime et interroge les rapports humains à travers une histoire vraie. Un film ambitieux.
Pendant quatorze ans, le cinéaste a cherché à recueillir la parole du fermier qui avait caché Saddam Hussein après sa chute et lui avait offert son hospitalité. Confession face caméra et archives composent ce documentaire un rien scolaire mais absolument édifiant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L’amitié qui est née entre Alaa et Saddam, les bains qu’ils prenaient de concert, le quotidien… jusqu’à ce 13 décembre 2003, où les Américains débarquent chez Alaa. Les deux hommes auront passé deux cent trente-cinq jours ensemble. Alaa avait reçu le président, il voyait partir un ami. On aurait évidemment aimé savoir ce qu’il avait vécu avant et ce qui lui est arrivé après cette rencontre, mais le film ne le dit pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce questionnement introspectif, sur le paysan plus que le dictateur, est simple mais convainc par son vrai lyrisme qui mélange mélodies instrumentales, reconstitutions poétiques et found footage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le film relaie aussi la bienveillance d’Alaa Namiq à l’égard de celui que « certains pouvaient considérer comme un dictateur ». Sans blague ? Dénoncer les justifications fallacieuses de la guerre d’Irak et les violences commises à Abou Ghraib ne devait pas empêcher de prendre ses distances avec la parole d’un « ami » du président en fuite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Il manque un contrepoint à cette narration, un regard pour recontextualiser les propos et mettre en perspective cette subjectivité avec les faits et le parcours de l’homme d’État.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Franceinfo Culture
Le réalisateur norvégien d’origine kurde Halkawt Mustafa explore l’intime et interroge les rapports humains à travers une histoire vraie. Un film ambitieux.
Le Point
Un récit fascinant, d'une précision troublante.
Les Fiches du Cinéma
Un récit édifiant et haletant, dévoilé par l’acteur même de cette page d’Histoire.
aVoir-aLire.com
Ne cédons pas au silence ni à l’amnésie, nous portons nos morts comme nos ennemis : tel pourrait être un enjeu de ce film étrange, bancal, fascinant.
L'Obs
Pendant quatorze ans, le cinéaste a cherché à recueillir la parole du fermier qui avait caché Saddam Hussein après sa chute et lui avait offert son hospitalité. Confession face caméra et archives composent ce documentaire un rien scolaire mais absolument édifiant.
Le Monde
L’amitié qui est née entre Alaa et Saddam, les bains qu’ils prenaient de concert, le quotidien… jusqu’à ce 13 décembre 2003, où les Américains débarquent chez Alaa. Les deux hommes auront passé deux cent trente-cinq jours ensemble. Alaa avait reçu le président, il voyait partir un ami. On aurait évidemment aimé savoir ce qu’il avait vécu avant et ce qui lui est arrivé après cette rencontre, mais le film ne le dit pas.
Première
Ce questionnement introspectif, sur le paysan plus que le dictateur, est simple mais convainc par son vrai lyrisme qui mélange mélodies instrumentales, reconstitutions poétiques et found footage.
Télérama
Le film relaie aussi la bienveillance d’Alaa Namiq à l’égard de celui que « certains pouvaient considérer comme un dictateur ». Sans blague ? Dénoncer les justifications fallacieuses de la guerre d’Irak et les violences commises à Abou Ghraib ne devait pas empêcher de prendre ses distances avec la parole d’un « ami » du président en fuite.
Abus de Ciné
Il manque un contrepoint à cette narration, un regard pour recontextualiser les propos et mettre en perspective cette subjectivité avec les faits et le parcours de l’homme d’État.