Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Traiter la réalité comme un film d’horreur permet à The Apprentice de sortir de l’ornière des biopics trop sages.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Faux biopic et vrai film de monstres, The Apprentice est sublimé par ses deux comédiens principaux, Sebastian Stan et Jeremy Strong.
20 Minutes
par Caroline Vié
Drôle parfois, souvent terrifiant, le film donne un éclairage passionnant sur un homme dont la soif de pouvoir peut avoir une influence capitale sur notre monde.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
La qualité du maquillage, des décors, des costumes, etc. est telle qu’on est en droit de se poser la question, à certains instants, si l’intelligence artificielle n’a pas été utilisée pour aider Sebastian Stan à coller au personnage avec autant de perfection.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Antoine Desrues
Ali Abbasi est bien sûr fasciné par la naissance de son monstre libéral, mais The Apprentice est surtout une belle réflexion sur l’évolution du capitalisme américain à la fin du XXe siècle, et sa manière d’avoir laissé des figures comme Donald Trump en émerger.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Passionnant, terrifiant et porté par un duo d'acteurs remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ce qui est intéressant avec The Apprentice, c’est qu’il n’a pas besoin de donner dans la farce surjouée, délirante et vulgaire : le personnage réel s’en charge lui-même. Le film utilise bien quelques artifices, mais on suit avec une forme de sidération cette ascension tragicomique décrite avec un parfait premier degré (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film bluffant et tonitruant du Dano-Iranien Ali Abbasi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Précis, ironique, cinglant et implacable, le récit d’apprentissage offre une partition exceptionnelle à ses interprètes, Sebastian Stan et Jeremy Strong, ahurissants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une fable édifiante sur les années d’apprentissage de l’ancien président américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Un long-métrage brillant et édifiant, truffé de bons mots et de quelques moments inquiétants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
L'acteur Sebastian Stan incarne un Donald Trump étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cinéaste danois d'origine iranienne Ali Abbasi réussit son premier film américain. Portrait de Donald Trump en jeune homme, « The Apprentice » est à la fois une fresque historique et un miroir angoissé de notre présent.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film incisif sur les débuts dans le business de Donald Trump.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Philippe Lemoine
Édifiant.
Télé 2 semaines
par M.L.
Une frappe chirurgicale sur une carrière controversée.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un biopic aussi passionnant que glaçant.
Télé Loisirs
par M.L.
Des performances précises de Sebastian Stan et Jeremy Strong.
Télérama
par Louis Guichard
Un scénario cinglant et des acteurs époustouflants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Un portrait complexe et sérieux.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Il fallait le panache d’un Sebastian Stan pour interpréter le Donald Trump de ses premières années avec une telle puissance et à la fois un sens certain de la dérision. The Apprentice ne marque pas un seul faux pas du début à la fin avec un vrai sens du rire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Articulant différentes matières et formats, introduisant la vidéo dans une esthétique de ,magazine sur papier glacé, The Apprentice parcourt les formes d’un monde dont l’évolution prend les traits de l’individu qui finira par devenir son icône puis, après les élections de 2016, son maître.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
La fiction peine à arriver à la cheville de la réalité et ce ne sont pas les derniers mois de campagne, avec la tentative d’assassinat du candidat, ou ses élucubrations hallucinantes sur les soi-disant mangeurs de chats haïtiens en Ohio qui vont inverser la tendance. Et pourtant, The Apprentice possède de belles qualités (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Du fils à papa soucieux d’échapper au giron familial, plein d’ambition pour New York et pour lui-même, au menteur égocentrique et sans scrupule, dans le déni du réel, la mèche qui se raidit et la bedaine de plus en plus opulente, l’acteur manie les tics trumpiens sans jamais tomber dans la caricature.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
La mise en scène sans temps mort du réalisateur, Danois d’origine iranienne, excelle à reconstituer, jusque dans le grain un peu sale de l’image, le New York de cette époque et la bascule progressive vers la décennie bling-bling et ultralibérale des années Reagan, dont Donald Trump est le pur produit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Sandra Onana et Olivier Lamm
On pourra trouver le résultat pas à la hauteur du grand corrupteur du XXIe siècle – trop périphérique pour être le film de Roy, trop lacunaire pour prétendre donner la mesure de son disciple. Ou se dire que l’inverse aurait été faire trop d’hommage à Trump.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Si le récit est classique avec un « Padawan » qui finit par devenir plus redoutable et inhumain que son mentor, c’est l’incarnation qui séduit : Sebastian Stan, parfait en jeune Donald Trump, oisillon tombé du nid qui se transforme en rapace, et Jeremy Strong, extraordinaire de présence machiavélique en Roy Cohn.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Léger
Mécanisme psychologique simplissime, mais que Sebastian Stan vend admirablement entre imitation light de la bouche en cul de poule de Trump et réelle liberté de mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un biopic électrique, mais sans grandes révélations.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Clément Colliaux
Comme s’il essayait de le battre sur son propre terrain – celui du tape-à-l’œil et de la gouaille –, Abbasi peine à proposer une contre-image de Trump. Le film est toujours en deçà des frasques véritables de l'ex-président.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Adam Sanchez
Jamais avare en scènes provocantes et en répliques caustiques, "The Apprentice" aurait toutefois pu se permettre de lever le pied pour aller creuser vraiment dans la chair du personnage Trump, et ainsi s'offrir l'opportunité d'être plus qu'un simple portrait, sans ambiguïtés mais sans véritable regard de cinéaste, qu'on aurait pu voir dans une série sur Netflix ou HBO.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Ali Abassi signe un biopic qui, hormis la métaphore - vampirique et frankensteinienne - qui le traverse, ne produit pas grand-chose.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un défilé clinquant de décors, critique convenue du faste de l’Amérique reaganienne, pour laquelle le film éprouve tout de même une nostalgie fétichiste prononcée (...). On pourrait arguer qu’il a la conscience du rien, et que The Apprentice traite au fond du caractère vaporeux, virtuel de la fortune de Trump.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Dernières Nouvelles d'Alsace
Traiter la réalité comme un film d’horreur permet à The Apprentice de sortir de l’ornière des biopics trop sages.
Le Dauphiné Libéré
Faux biopic et vrai film de monstres, The Apprentice est sublimé par ses deux comédiens principaux, Sebastian Stan et Jeremy Strong.
20 Minutes
Drôle parfois, souvent terrifiant, le film donne un éclairage passionnant sur un homme dont la soif de pouvoir peut avoir une influence capitale sur notre monde.
CNews
La qualité du maquillage, des décors, des costumes, etc. est telle qu’on est en droit de se poser la question, à certains instants, si l’intelligence artificielle n’a pas été utilisée pour aider Sebastian Stan à coller au personnage avec autant de perfection.
Ecran Large
Ali Abbasi est bien sûr fasciné par la naissance de son monstre libéral, mais The Apprentice est surtout une belle réflexion sur l’évolution du capitalisme américain à la fin du XXe siècle, et sa manière d’avoir laissé des figures comme Donald Trump en émerger.
Filmsactu
Passionnant, terrifiant et porté par un duo d'acteurs remarquables.
La Voix du Nord
Ce qui est intéressant avec The Apprentice, c’est qu’il n’a pas besoin de donner dans la farce surjouée, délirante et vulgaire : le personnage réel s’en charge lui-même. Le film utilise bien quelques artifices, mais on suit avec une forme de sidération cette ascension tragicomique décrite avec un parfait premier degré (...).
Le Figaro
Un film bluffant et tonitruant du Dano-Iranien Ali Abbasi.
Le Journal du Dimanche
Précis, ironique, cinglant et implacable, le récit d’apprentissage offre une partition exceptionnelle à ses interprètes, Sebastian Stan et Jeremy Strong, ahurissants.
Le Monde
Une fable édifiante sur les années d’apprentissage de l’ancien président américain.
Le Parisien
Un long-métrage brillant et édifiant, truffé de bons mots et de quelques moments inquiétants.
Le Point
L'acteur Sebastian Stan incarne un Donald Trump étonnant.
Les Echos
Cinéaste danois d'origine iranienne Ali Abbasi réussit son premier film américain. Portrait de Donald Trump en jeune homme, « The Apprentice » est à la fois une fresque historique et un miroir angoissé de notre présent.
Marianne
Un film incisif sur les débuts dans le business de Donald Trump.
Ouest France
Édifiant.
Télé 2 semaines
Une frappe chirurgicale sur une carrière controversée.
Télé 7 Jours
Un biopic aussi passionnant que glaçant.
Télé Loisirs
Des performances précises de Sebastian Stan et Jeremy Strong.
Télérama
Un scénario cinglant et des acteurs époustouflants.
Voici
Un portrait complexe et sérieux.
aVoir-aLire.com
Il fallait le panache d’un Sebastian Stan pour interpréter le Donald Trump de ses premières années avec une telle puissance et à la fois un sens certain de la dérision. The Apprentice ne marque pas un seul faux pas du début à la fin avec un vrai sens du rire.
Cahiers du Cinéma
Articulant différentes matières et formats, introduisant la vidéo dans une esthétique de ,magazine sur papier glacé, The Apprentice parcourt les formes d’un monde dont l’évolution prend les traits de l’individu qui finira par devenir son icône puis, après les élections de 2016, son maître.
L'Humanité
La fiction peine à arriver à la cheville de la réalité et ce ne sont pas les derniers mois de campagne, avec la tentative d’assassinat du candidat, ou ses élucubrations hallucinantes sur les soi-disant mangeurs de chats haïtiens en Ohio qui vont inverser la tendance. Et pourtant, The Apprentice possède de belles qualités (...).
L'Obs
Du fils à papa soucieux d’échapper au giron familial, plein d’ambition pour New York et pour lui-même, au menteur égocentrique et sans scrupule, dans le déni du réel, la mèche qui se raidit et la bedaine de plus en plus opulente, l’acteur manie les tics trumpiens sans jamais tomber dans la caricature.
La Croix
La mise en scène sans temps mort du réalisateur, Danois d’origine iranienne, excelle à reconstituer, jusque dans le grain un peu sale de l’image, le New York de cette époque et la bascule progressive vers la décennie bling-bling et ultralibérale des années Reagan, dont Donald Trump est le pur produit.
Libération
On pourra trouver le résultat pas à la hauteur du grand corrupteur du XXIe siècle – trop périphérique pour être le film de Roy, trop lacunaire pour prétendre donner la mesure de son disciple. Ou se dire que l’inverse aurait été faire trop d’hommage à Trump.
Paris Match
Si le récit est classique avec un « Padawan » qui finit par devenir plus redoutable et inhumain que son mentor, c’est l’incarnation qui séduit : Sebastian Stan, parfait en jeune Donald Trump, oisillon tombé du nid qui se transforme en rapace, et Jeremy Strong, extraordinaire de présence machiavélique en Roy Cohn.
Première
Mécanisme psychologique simplissime, mais que Sebastian Stan vend admirablement entre imitation light de la bouche en cul de poule de Trump et réelle liberté de mouvement.
Sud Ouest
Un biopic électrique, mais sans grandes révélations.
Critikat.com
Comme s’il essayait de le battre sur son propre terrain – celui du tape-à-l’œil et de la gouaille –, Abbasi peine à proposer une contre-image de Trump. Le film est toujours en deçà des frasques véritables de l'ex-président.
GQ
Jamais avare en scènes provocantes et en répliques caustiques, "The Apprentice" aurait toutefois pu se permettre de lever le pied pour aller creuser vraiment dans la chair du personnage Trump, et ainsi s'offrir l'opportunité d'être plus qu'un simple portrait, sans ambiguïtés mais sans véritable regard de cinéaste, qu'on aurait pu voir dans une série sur Netflix ou HBO.
Les Fiches du Cinéma
Ali Abassi signe un biopic qui, hormis la métaphore - vampirique et frankensteinienne - qui le traverse, ne produit pas grand-chose.
Les Inrockuptibles
Un défilé clinquant de décors, critique convenue du faste de l’Amérique reaganienne, pour laquelle le film éprouve tout de même une nostalgie fétichiste prononcée (...). On pourrait arguer qu’il a la conscience du rien, et que The Apprentice traite au fond du caractère vaporeux, virtuel de la fortune de Trump.