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Votre avis sur Les Valseuses ?
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Une comédie érotique culte de Bertrand Blier avec Gérard Depardieu , Patrick Dewaere et Miou-Miou. Un très beau film.
Difficile de bouder son plaisir devant certaines scènes cocasses, culottées (ou plutôt déculottées d'ailleurs!), scandées par des dialogues crus mais réalistes. Cependant, l'intrigue très ténue entraîne une accumulation de saynètes liées sans réelle logique, imitant le parcours de ces voyous interprétés sans fausse note mais dont l'immoralité et les vices alors même que le réalisateur souhaite nous les rendre sympathiques rendent le film malsain. Car ils se rendent coupables de larcins mais aussi de harcèlements et leur relation avec la jeune shampouineuse pose des questions sur la représentation féminine! Bref une remise en cause de modèles moraux à visionner avec distance. Polémique.
J'aimerais que certains spectateurs cessent de prendre ce film pour un documentaire.Il n'en est pas un mais, selon moi, il est plutôt une parodie (si vous comprenez ce que cela veut dire?)!!!
Les Valseuses, témoin de son époque en terme d'idéaux, que l'on adhère ou pas, traduit le vent d'insouciance et de liberté qui planait à cette époque sur une partie de la jeunesse. Une interprétation mythique, les acteurs dans la peau de personnages qui leurs ressemblent, ça se ressent. La mise en scène, les décors, les costumes sont bien pensés, le mariage est réussit. On ajoutera un bémol sur la fin, Bertrand Blier, bridé par les exigences de l'époque n'a pas pu donner au film la fin de l’œuvre originale, on ne peut donc pas parler de chef d’œuvre, l'artiste ne pouvant achever celle-ci librement. Cette fin manquée dans la DS précédemment trafiquée change l'impact, le message et la dramaturgie qu'aurait du connaître le film, dommage.
Ce film est à vomir et il n'est qu'une incitation au viol et aux agressions sexuelles en tous genres. Parfois, j'en arrive même à me demander si la tolérance médiatique pour ce genre de film ne cache pas quelque chose d'autrement plus malsain. Malheureusement, ce genre de films à gerber continue d'exister sous l'oeil bienveillant d'une société machiste qui confond tolérance et mépris des femmes.
J'ai mis une note de 0.5 à défaut de pouvoir mettre un zéro pointé.
Brigitte Fossey : "Je ne peux pas voir…"
Après avoir revu l'extrait de la célèbre scène du train, dans lequel son personnage est rejoint par deux voyous Jean-Claude et Pierrot (incarnés respectivement par Gérard Depardieu et Patrick Dewaere), Brigitte Fossey a expliqué la raison pour laquelle elle ne voulait plus la revoir. "Je ne peux pas la voir parce que c’est une agression", a-t-elle déclaré dans un premier temps. Celle qui assume toujours d'avoir signé la tribune de soutien à Gérard Depardieu a ensuite ajouté : "Quand une fille est troublée, elle est vulnérable, elle ne peut pas se battre. Ça ne servirait à rien de se battre puisqu’il y a deux personnes très fortes qui peuvent lui casser la gueule et faire ce qu’elles veulent. C’est une scène sur le trouble. Je ne connais pas une seule fille, une jeune fille, qui n’a pas été troublée à un moment donné par un geste déplacé d’un homme plus âgé. La véritable agression, c’est d’agresser le libre-arbitre, d’agresser l’âme, d’agresser la volonté".
J'ai mis une note de 0.5 à défaut de pouvoir mettre un zéro pointé.
Brigitte Fossey : "Je ne peux pas voir…"
Après avoir revu l'extrait de la célèbre scène du train, dans lequel son personnage est rejoint par deux voyous Jean-Claude et Pierrot (incarnés respectivement par Gérard Depardieu et Patrick Dewaere), Brigitte Fossey a expliqué la raison pour laquelle elle ne voulait plus la revoir. "Je ne peux pas la voir parce que c’est une agression", a-t-elle déclaré dans un premier temps. Celle qui assume toujours d'avoir signé la tribune de soutien à Gérard Depardieu a ensuite ajouté : "Quand une fille est troublée, elle est vulnérable, elle ne peut pas se battre. Ça ne servirait à rien de se battre puisqu’il y a deux personnes très fortes qui peuvent lui casser la gueule et faire ce qu’elles veulent. C’est une scène sur le trouble. Je ne connais pas une seule fille, une jeune fille, qui n’a pas été troublée à un moment donné par un geste déplacé d’un homme plus âgé. La véritable agression, c’est d’agresser le libre-arbitre, d’agresser l’âme, d’agresser la volonté".
Énorme succès commercial à sa sortie (1974), ce film de Blier, adapté de son propre roman, avait pourtant divisé, suscitant malaise voire colère chez les uns, hilarité ou admiration chez les autres. Et aujourd'hui encore (où l'on voit mal comment un film d'une telle teneur pourrait voir le jour), Les Valseuses laissent une impression aux accents très contradictoires. L'imaginaire phallocrate, la violence désinvolte et banalisée à l'égard des femmes, la vulgarité franchement assumée créent un malaise qui va jusqu'à la répulsion, en même temps qu'on est scotché par l'audace, la crudité ou le surréalisme de certaines scènes, la verdeur et le cynisme des dialogues, une inventivité et un humour inédits.
Provoc' à l'ordre bourgeois, au féminisme et au bon goût, le film laisse en mémoire une trace indécente et détonante ; il fut par ailleurs une rampe de lancement pour le trio d'acteurs principaux (extraordinaires) : Depardieu, Dewaere et Miou-Miou.
Provoc' à l'ordre bourgeois, au féminisme et au bon goût, le film laisse en mémoire une trace indécente et détonante ; il fut par ailleurs une rampe de lancement pour le trio d'acteurs principaux (extraordinaires) : Depardieu, Dewaere et Miou-Miou.
Classique culte mais grossier..C'est un peu "Orange Mécanique" à la Française avec de l'humour grinçant..On aime ou on aime pas...Les dialogues fuse et on s'amuse bien avec ces voyous interprète par des jeunes Gerard Depardieu, Patrick Dewaere et Miou Miou...Apparition d'une Brigitte Fossey très en beauté dans une scène devenu culte avec le temps...
Bref à prendre au second degré et on appréciera sinon s'abstenir..a bon entendeur salut
Bref à prendre au second degré et on appréciera sinon s'abstenir..a bon entendeur salut
Un film célèbre et parfois célébré comme original et engagé mais au juste si le film est fait par un réalisateur talentueux c'est une forme d'apogée d'un certain mauvais goût typique de cette période des années 1970. Il fait connaître ses acteurs par des scènes irrévérencieuses et parfois outrancières vraiment pas utile et juste malsain ce qu'il revendique pour une part ce qui ne le hausse en rien sinon par tout ceux qui le sont aussi plus ou moins.
Véritable chef d'oeuvre à absolument voir. u duo parfait Depardieu, Dewaere qui fonctionne à merveille. Au premier sens, 2 potes et un film comique. Au deuxième sens, un film tragique qui traite de la sexualité, de l'homosexualité et de la tragédie humaine. Plusieurs sens mais le résultat est parfait, pour devenir un film culte du cinéma français. Très bien réalisé, le scénario est très original et touchant. Réserver aux adultes tout de même.
Après avoir frôlé une interdiction totale, lors de sa sortie “Les valseuses” offusqua la critique bien pensante, Claude-Marie Trémois en tête (chef de la rubrique cinéma de Télérama à l’époque, détestant le 7ème art qu’elle résume au théâtre filmé et au drame psychologique) alors que son magazine attribue de nos jours, sous la plume éclairée d’Aurélien Ferenczi un “on aime beaucoup” (l’équivalent de quatre étoiles). Les excellents journaux Le Monde, Le Figaro et quelques autres (bande d’enfoirés) s’offusquèrent de concert sur le ton grossier et cru qu’ils assimilèrent à de la vulgarité, sans relever le nombre important de phrases qui deviendront cultes (par exemple « j’en ai marre qu’on prenne mon cul pour un moulin ») ou un étonnant dialogue comparant les arômes d’une petite culotte et celles du millésime d’un grand cru. Film volontairement provocateur, qui révéla au côté de Patrick Dewaere, Miou-Miou (sa compagne de l’époque) et Gérard Depardieu, il offre à Jeanne Moreau le rôle le plus intense et, quelque part, le plus spectaculaire de sa fin de carrière. Mais en dehors des révélations (Isabelle Huppert en plus des deux cités précédemment), Bertrand Blier montre déjà son incomparable sens du dialogue, des phrases chocs et des réparties qui sonnent. Ces qualités apparaissaient déjà trois ans plus tôt dans « Laisser aller, c’est une valse » de Georges Lautner, dont il était le scénariste et dialoguiste. Ce road movie tragi-comique est aussi une exploration sexuelle de la société française, bordée par l’amour libre venu de Californie, la libération post 68 et l’hypocrite grande bourgeoisie qui vont se faire pardonner le dimanche matin à l’église des bacchanales, ballets roses ou bleus de la veille (scandales enfouis de nos jours, car touchant trop de célébrités). Ainsi la femme de la micheline (Brigitte Fossey aux seins superbes) jouira dans les bras des deux compères avant de rejoindre, avec son bébé, son mari sur le quai de la gare. La frigide Marie-Ange (Miou-Miou) se révèlera à l’orgasme de manière inattendue (et qui annonce quelque part « Préparez vos mouchoirs »). Jeanne (Jeanne Moreau) prendra un dernier pied géant avant de tirer sa révérence. Jacqueline (Isabelle Huppert), seize ans à peine, perdra sa virginité (pas sur que ce détournement de mineur ne déclencherait pas un tôlé en ce début de vingt et unième siècle). Cette revue s’accompagne dune vision de la France étriquée de 1974, entre les vigiles de supermarché, les coiffeurs au port d’arme improbable, les pique-niques sur le bord du chemin à l’ombre d’une DS, etc… Passant avec aisance d’un décor à l’autre, du dérisoire au grave, de la comédie au drame, Le réalisateur, parfaitement accompagné par une musique géniale et on ne peut plus juste de Stéphane Grappelli, livre dès son deuxième film un très grand moment. La fin, espèce de morale vengeresse à deux balles est à mon sens une fausse note. Je préfère largement celle de la version US.
Gamin, mes parents m'avaient dit que les valseuses c'était un film X...
Du coup, je suis passé à côté pendant 10 ans...
Ce film c'est le duo de choc, 2 rigolos qui veulent tout sans rentrer dans le système.
La liberté, un peu de fric, une bagnole et une fille..
Chaque scène est un régal, les dialogues excellents, les insultes fusent et pourtant je n'ai jamais trouvé ça "Vulgaire".
Non, je ne trouve pas vulgaire de sentir un sexe féminin ou de m'attarder sur un téton au travers d'un chemisier...
Caresser, effleurer, embrasser, jusqu'à l'apothéose...
Ils sont comme ça nos deux compères et face à miou miou ils sont perdus !
Merde, ils n'arrivent pas à la faire monter au ciel !
Que dire de ce film si ce n'est qu'il mérite son succès car il est subversif.
Ces gars la ne votent pas, ils aiment pas les flics ou les vigiles, ils détestent les préjugés et le système.
Ils ne vont pas vous tuer, ils vont vous piquer votre mob, reluquer votre mère ou votre sœur, vous voler une bouteille de Bordeaux et un camenbert...
Ils vivent au jour le jour, sans "Ambition" "Plan de carrière" ou quelconque "Fierté", ils s'en foutent, ils sont libres !
Une sorte d'easy rider à la française.
Du coup, je suis passé à côté pendant 10 ans...
Ce film c'est le duo de choc, 2 rigolos qui veulent tout sans rentrer dans le système.
La liberté, un peu de fric, une bagnole et une fille..
Chaque scène est un régal, les dialogues excellents, les insultes fusent et pourtant je n'ai jamais trouvé ça "Vulgaire".
Non, je ne trouve pas vulgaire de sentir un sexe féminin ou de m'attarder sur un téton au travers d'un chemisier...
Caresser, effleurer, embrasser, jusqu'à l'apothéose...
Ils sont comme ça nos deux compères et face à miou miou ils sont perdus !
Merde, ils n'arrivent pas à la faire monter au ciel !
Que dire de ce film si ce n'est qu'il mérite son succès car il est subversif.
Ces gars la ne votent pas, ils aiment pas les flics ou les vigiles, ils détestent les préjugés et le système.
Ils ne vont pas vous tuer, ils vont vous piquer votre mob, reluquer votre mère ou votre sœur, vous voler une bouteille de Bordeaux et un camenbert...
Ils vivent au jour le jour, sans "Ambition" "Plan de carrière" ou quelconque "Fierté", ils s'en foutent, ils sont libres !
Une sorte d'easy rider à la française.
Fêtons le cinéma
Rarement l’irrévérence libertaire aura été aussi drôle et sympathique que dans Les Valseuses, œuvre emblématique d’une époque marquée par la révolution sexuelle et qui a l’audace de ne pas se contenter de mettre en images l’éclatement des cadres, mais de penser sa mise en scène comme un camarade supplémentaire à la joyeuse bande d’amis qui nous passionne tant. Il y a un peu d’À Bout de souffle là-dedans, dans la manière qu’a Pierrot (le fou) de chuter sur le sol, blessé par une balle de revolver ; dans la manière aussi qu’a Bertrand Blier de filmer le mouvement, l’ivresse d’un quotidien où l’instant équivaut à la somme de tous les possibles et de tous les dangers. Cependant, Bertrand Blier n’est pas Jean-Luc Godard : ce qui l’intéresse, ce sont les réprouvés d’une société qui n’avaient droit jusqu’alors qu’à des rôles d’antagonistes dans les thrillers ou les polars. Avant d’être des âmes, ses personnages sont des corps tantôt massifs – Gérard Depardieu et Patrick Dewaere – tantôt plus fragiles – l’adolescente interprétée par Isabelle Huppert – dont les relents misogynes ne sont que les reflets d’une ségrégation politique qu’ils poussent jusqu’à l’outrance. On passe des trains déserts à des zones dépeuplées, villages fantômes qui ne paraissent prendre vie qu’au moment des vacances estivales. On passe d’une banlieue à une maison de campagne. À chaque fois, une rencontre motivée par le sexe se mue en chapitre d’une odyssée de la camaraderie où le partage règne en maître. Les personnages traversent les espaces et transcendent les classes sociales pour prôner un éclatement général des cadres moraux. Les Valseuses pourrait se résumer ainsi : la soif de mobilité. Plaisir de l’excès, goût de la provocation, la démarche de Blier se joue des clichés au point de les transformer en ressorts burlesques : il suffit de voir les tentatives avortées qu’essuient Jean-Claude et Pierrot à faire jouir Marie-Ange pour se délecter devant un cadrage minutieux et audacieux, où le mouvement frénétique des bassins masculins se heurte à la fixité d’un hors-champs impossible. Les dialogues s’avèrent truculents et contribuent grandement à la gouaille de l’ensemble : rien n’est interdit, et cette jouissance du verbe et de l’insulte produit, de façon paradoxale, une grammaire de l’amitié qui écrit ses lignes dans l’encre noire des marges prohibées. Les Valseuses a le sexe comme obsession et le cinéma comme finalité, si bien qu’au-delà d’être une œuvre devenue aujourd’hui culte, il s’agit bel et bien d’un corps artistique aussi improbable qu’indispensable. De quoi jeter Marie-Ange, encore et encore, dans le canal.
Je vois dans ce film toute une époque que je n'ai pas connue, l'après mai 68, la libération sexuelle, l'insouciance et une liberté de ton et de parole que nous n'avons plus aujourd'hui. Et rien que pour cela, ce film vaut le coup d'être vu, c'est un véritable ovni. Les acteurs principaux (Gérard Depardieu, Patrick Dewaere et Miou-Miou) sont excellents, ça transpire l'irrévérence et le scandale. Ils forment un trio amoureux à la sexualité aussi marginale qu'eux. Pierrot et Jean-Claude sont deux délinquants paumés, qui vivent de menus larcins et qui errent sans véritable but dans leur vie, sans savoir de quoi demain sera fait. Marie-Ange est une fille paumée, pas très futée, naïve et qui va découvrir la sexualité grâce à ces deux grands gaillards... qui n'arrivent cependant pas à la faire jouir, ce qui les frustrent terriblement. Jusqu'à ce qu'un jour, Marie-Ange découvre l'orgasme grâce à un troisième larron, ce qui est d'autant plus frustrant pour nos deux loubards. Je pense que pour l'époque, ce film a dû choquer la société bien-pensante car non seulement il parle de sexualité, mais plus particulièrement d'orgasme féminin, le tout avec trois personnages complètement décalés et marginaux. Pour tout cela, il s'agit d'un film culte qu'il convient de voir. Cependant, j'admets m'être ennuyé à plusieurs reprises, je n'ai jamais ri non plus, alors qu'il me semble qu'il s'agit d'une comédie. A vrai dire, les personnages provoquent plutôt de la sympathie, de la compassion, car ils sont tristes, ils ne trouvent pas leur place dans la société. Enfin, au niveau scénaristique, on peut sans contestation dire qu'à part une succession de situations cocasses et burlesques, c'est le néant. Ce film ne mène nulle part. On se contente de suive ce trio désœuvré dans une sorte de parcours initiatique qui n'aboutit à rien. Ce qui explique que je ne lui mette que 3 étoiles.
Le film est vraiment excellent . On rigole beaucoup. c'est extrêmement bien joué . On s'ennuie pas du tout . Bravo surtout au 3 acteurs principales . Je vous le recommande a tous .
Film culte. L'histoire de deux loulous qui traverse la france en compagnie du jeune fille asexué (miou-miou). Nos deux compère drague et couche avec toute sorte de femme, riche, vieille, étudiante, mère de famille.
C'est vraiment l'époque de la libération sexuel des années 70 qui nous a pondu ce film. Aujourd'hui avec le mouvement feminisme, pas sur qu'un tel film avec un tel propos puisse sortir en salle sans se faire descendre par la critique bien pensante.
Scène hilarante quand depardieux et dewaere essaye de donne du plaisir a miou-miou qui elle reste impassible.
C'est vraiment l'époque de la libération sexuel des années 70 qui nous a pondu ce film. Aujourd'hui avec le mouvement feminisme, pas sur qu'un tel film avec un tel propos puisse sortir en salle sans se faire descendre par la critique bien pensante.
Scène hilarante quand depardieux et dewaere essaye de donne du plaisir a miou-miou qui elle reste impassible.
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