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Votre avis sur Un ours dans le jura ?
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Bof bof bof. Un film à mettre dans la catégorie "de ceux que l'on oubliera très vite en fin de semaine" ... Même s'il y a quelques moments drolatiques, le scénario est pauvre avec un humour certes bien noir mais très très poussif. Franck Dubosc essaye de faire de son mieux mais ce film n'est vraiment pas terrible comme réalisateur. Gardez votre argent pour aller voir "En Fanfare", "Prodigieuses" (où Dubosc apparait dans un beau rôle) et "Vingt Dieux", du vrai cinéma authentique en décembre 2024, avec son lot d'humour, de drame et d'émotion fort bien dosés !
Au fil de ses films, Franck Dubosc peaufine ses créations. Bravo à lui pour sa performance dans cette comédie-thriller qui le place devant et derrière la caméra entouré d'acteurs tout aussi excellents. Le sujet est cocasse avec des répliques très bien senties et décalées dans un genre que l'on aimerait voir davantage pour nous divertir. A voir !
Très bon film. Découverte du début d’année. Un bon scénario avec de l’humour et du polar. De bons acteurs, de belles images. Bravo Mr Dusboc. Une très bonne surprise.
Horrible, violent, et vulgaire.
Le titre n'est que pour attirer du public mais ce film est une horreur et ne représente en rien le Jura.
Tres déçu par ce film ou l'on serait tenté d'amener des enfants qui serait traumatisés en sortant.
Le titre n'est que pour attirer du public mais ce film est une horreur et ne représente en rien le Jura.
Tres déçu par ce film ou l'on serait tenté d'amener des enfants qui serait traumatisés en sortant.
À voir absolument !!
Frank Dubosc surprend énormément avec une comédie noir qui s'assume complètement, et avec brio !!
Peut-être même la meilleure comédie noire de ces 10 dernières années, 2025 commence très bien !!
Frank Dubosc surprend énormément avec une comédie noir qui s'assume complètement, et avec brio !!
Peut-être même la meilleure comédie noire de ces 10 dernières années, 2025 commence très bien !!
Bon film .
On ne voit pas le temps passer..
Idéal un soir de pluie.
Ont rient, les situations s'enchaînent bien, un peu plus de rythme aurait été pas mal mais bien dans son ensemble.
Pas déçu
On ne voit pas le temps passer..
Idéal un soir de pluie.
Ont rient, les situations s'enchaînent bien, un peu plus de rythme aurait été pas mal mais bien dans son ensemble.
Pas déçu
Un ours dans le Jura : une balade cinématographique qui perd sa route
Malgré son cadre prometteur au cœur des paysages enchanteurs du Jura, "Un ours dans le Jura" échoue à captiver par son intrigue et ses personnages. Le film semble hésiter entre plusieurs genres sans jamais s’engager pleinement : drame, aventure, comédie légère, aucun n’est réellement développé.
L’histoire, censée explorer la relation entre un ours sauvage et les habitants d’un village, est plombée par des dialogues peu inspirés et des situations convenues. Les enjeux dramatiques manquent de profondeur, rendant difficile de s’investir émotionnellement dans les conflits présentés. Quant aux personnages, ils sont souvent caricaturaux, limités à des stéréotypes sans réelle évolution au fil du récit.
Visuellement, si les plans du Jura sont magnifiques, ils servent davantage de cartes postales que de véritables éléments narratifs. La mise en scène ne parvient pas à tirer parti de ce décor pourtant grandiose, laissant un arrière-goût d’opportunité manquée.
Enfin, le plus gros point faible du film est sans doute son rythme : lent à l’excès, il donne l’impression que le film s’étire indéfiniment. Les quelques moments censés être palpitants tombent à plat, victimes d’une réalisation trop fade et sans audace.
En résumé, "Un ours dans le Jura" est une œuvre qui peine à se hisser au-delà du banal. Malgré son potentiel, il souffre d’un manque flagrant de direction et d’un scénario qui s’égare. Une déception pour ceux qui espéraient une aventure captivante ou une réflexion poignante sur la cohabitation entre l’homme et la nature.
Malgré son cadre prometteur au cœur des paysages enchanteurs du Jura, "Un ours dans le Jura" échoue à captiver par son intrigue et ses personnages. Le film semble hésiter entre plusieurs genres sans jamais s’engager pleinement : drame, aventure, comédie légère, aucun n’est réellement développé.
L’histoire, censée explorer la relation entre un ours sauvage et les habitants d’un village, est plombée par des dialogues peu inspirés et des situations convenues. Les enjeux dramatiques manquent de profondeur, rendant difficile de s’investir émotionnellement dans les conflits présentés. Quant aux personnages, ils sont souvent caricaturaux, limités à des stéréotypes sans réelle évolution au fil du récit.
Visuellement, si les plans du Jura sont magnifiques, ils servent davantage de cartes postales que de véritables éléments narratifs. La mise en scène ne parvient pas à tirer parti de ce décor pourtant grandiose, laissant un arrière-goût d’opportunité manquée.
Enfin, le plus gros point faible du film est sans doute son rythme : lent à l’excès, il donne l’impression que le film s’étire indéfiniment. Les quelques moments censés être palpitants tombent à plat, victimes d’une réalisation trop fade et sans audace.
En résumé, "Un ours dans le Jura" est une œuvre qui peine à se hisser au-delà du banal. Malgré son potentiel, il souffre d’un manque flagrant de direction et d’un scénario qui s’égare. Une déception pour ceux qui espéraient une aventure captivante ou une réflexion poignante sur la cohabitation entre l’homme et la nature.
Belle surprise dans le genre cruauté comique. La tête de Benoît Poelvoorde dans le rôle d’un capitaine de gendarmerie complètement dépassé et de père divorcé et tourmenté par la conduite d’une fille dévergondée. Et celles de Dubosc et de Laure Calamy en paysans avides. Tout est poussé à l’extrême jusqu’à l’invraisemblable pour notre très grand plaisir. On passe un très bon moment.
Une très belle surprise ! L’humour noir est très bien dosé et joué par des acteurs incroyables.
Franck Dubosc a pris le risque de nous embarquer dans tous ses délires et… ça marche ! Ce film est aussi surprenant que drôle et le suspens est totalement présent grâce à ce scénario bien ficelé.
Bravo MR Dubosc ! Bravo à tous les acteurs !
Franck Dubosc a pris le risque de nous embarquer dans tous ses délires et… ça marche ! Ce film est aussi surprenant que drôle et le suspens est totalement présent grâce à ce scénario bien ficelé.
Bravo MR Dubosc ! Bravo à tous les acteurs !
Yves G.
Michel (Franck Dubosc) et Cathy (Laure Calamy) exploitent bon an mal an une sapinière dans une forêt reculée du Jura avec leur fils Doudou (Timéo Mahaut, l’autre révélation des "Pires"). Alors que jamais on n’en avait croisé dans ce massif, un ours provoque un accident de la circulation. Michel en sort indemne ; mais les deux passagers d’une BMW sont tués. Le coffre de leur berline contient un sac de voyage rempli de billets de banque que Michel et Cathy, en indélicatesse avec leurs créanciers, décident de s’approprier le pactole à sept chiffres.
Franck Dubosc change de registre. L’humoriste, tête d’affiche de "Camping" 1, 2 et 3, opte pour sa troisième réalisation pour la comédie noire façon "Fargo". S’il joue l’un des rôles principaux, il sait s’effacer derrière ses partenaires et joue avec une retenue à laquelle ses rôles de macho bronzé en maillot de bain ne nous avaient pas habitués.
L’histoire est réjouissante à condition d’accepter son manque de crédibilité. Si le film dure près de deux heures, on ne regarde pas sa montre une seule fois. Mais ses péripéties (trop ?) nombreuses ne sont pas le principal atout du film. Elles ne sont, comme dans "Fargo", qu’un prétexte pour mettre en scène des personnages dont la balourdise apparente cache plus de finesse qu’on ne le pensait.
À ce titre, c’est Benoît Poelvoorde qui tire le mieux son épingle du jeu. Dans le rôle d’un major de gendarmerie en pleine déconfiture (sa femme l’a quitté pour son dentiste et sa fille, en année de césure après le bac, fait son désespoir), c’est à lui qu’incombe de mener l’enquête sur les cadavres qui s’accumulent – au point, dit-il malicieusement, qu’on en comptera bientôt plus que d’habitants dans cette petite commune du Haut-Jura. Laure Calamy, qu’on a beaucoup vu au risque de se huppertiser (et qu’on a vu pas plus tard que la semaine dernière dans "Mon inséparable"), est un diapason en-dessous. Ses meilleures répliques se trouvent quasiment toutes dans la bande-annonce.
Délicieusement amoral, plein de rebondissements, "Un ours dans le Jura" tient ses promesses : des acteurs bien dirigés (un coup de chapeau à Joséphine de Meaux en gendarmette empathique), des paysages enneigées, un suspens prenant, des situations désopilantes… Un cocktail réussi pour bien commencer l’année !
[En revanche, cette critique est écrite avec les pieds : il me faudrait un litre de café et deux Advil pour commencer l’année d’un bon pied]
Franck Dubosc change de registre. L’humoriste, tête d’affiche de "Camping" 1, 2 et 3, opte pour sa troisième réalisation pour la comédie noire façon "Fargo". S’il joue l’un des rôles principaux, il sait s’effacer derrière ses partenaires et joue avec une retenue à laquelle ses rôles de macho bronzé en maillot de bain ne nous avaient pas habitués.
L’histoire est réjouissante à condition d’accepter son manque de crédibilité. Si le film dure près de deux heures, on ne regarde pas sa montre une seule fois. Mais ses péripéties (trop ?) nombreuses ne sont pas le principal atout du film. Elles ne sont, comme dans "Fargo", qu’un prétexte pour mettre en scène des personnages dont la balourdise apparente cache plus de finesse qu’on ne le pensait.
À ce titre, c’est Benoît Poelvoorde qui tire le mieux son épingle du jeu. Dans le rôle d’un major de gendarmerie en pleine déconfiture (sa femme l’a quitté pour son dentiste et sa fille, en année de césure après le bac, fait son désespoir), c’est à lui qu’incombe de mener l’enquête sur les cadavres qui s’accumulent – au point, dit-il malicieusement, qu’on en comptera bientôt plus que d’habitants dans cette petite commune du Haut-Jura. Laure Calamy, qu’on a beaucoup vu au risque de se huppertiser (et qu’on a vu pas plus tard que la semaine dernière dans "Mon inséparable"), est un diapason en-dessous. Ses meilleures répliques se trouvent quasiment toutes dans la bande-annonce.
Délicieusement amoral, plein de rebondissements, "Un ours dans le Jura" tient ses promesses : des acteurs bien dirigés (un coup de chapeau à Joséphine de Meaux en gendarmette empathique), des paysages enneigées, un suspens prenant, des situations désopilantes… Un cocktail réussi pour bien commencer l’année !
[En revanche, cette critique est écrite avec les pieds : il me faudrait un litre de café et deux Advil pour commencer l’année d’un bon pied]
Un film vu en avant première au cinéma Rio Borvo à Bourbon Lancy un film sympathique à l'image de son réalisateur
Monsieur Dubosq n'a pas à rougir de la comparaison avec les frères Coen. Une œuvre originale à part dans le cinéma Français. Bravo
si vous voulez passer un bon moment, courrez voir ce film. Comédie, thriller, des personnages touchants et un rien dingues, ce film est une vraie réussite.
S'il y a bien une question à se poser à la sortie du visionnage de ce film, c'est comment Franck Dubosc peut-il être aussi intéressant derrière la caméra, alors qu'il est parfois si peu investi devant celle-ci ? "Un ours dans le jura" m'avait déjà intrigué par sa bande-annonce, notamment par sa promesse d'un mélange entre une comédie et un thriller. Pourtant, au visionnage, on se rend rapidement compte que le résultat est plus subtil qu'un simple mélange des genres. Dès les premières scènes, on voit finalement que le long-métrage cherche à proposer une comédie à l'humour noir. Le contexte du thriller est là pour poser un contexte, une situation qui est censée apporter de la tension. Le décalage se joue donc sur la localité du film, à savoir un petit village de montagne, qui n'a clairement pas l'habitude d'entendre parler d'autant d'argent, de crimes et de violences. On le remarque rapidement à travers la manière dont on nous présente les personnages des gendarmes, qui sont les clichés absolus de ce type. L'objectif est donc de jouer sur ce point, pour en ressortir des situations absurdes. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que celles-ci sont de qualité, car j'ai beaucoup ri face au film. C'est assez basique, mais c'est typiquement ce que le projet cherche à renvoyer, via ses personnages un peu simplet. Voir Franck Dubosc jouer avec une arme, sans prendre conscience de la gravité de la situation, je dois dire que c'est assez drôle. Le casting est assez bon dans ce domaine, il arrive vraiment à ressortir ce sentiment de simplicité et de méconnaissance face à ses situations. Au milieu de décors assez jolis, via ses montagnes, on prend donc plaisir à regarder ce film. Certes, il y a quelques longueurs, mais je dois dire que l'on s'investit quand même beaucoup dans le déroulé de ce scénario. Et pour le coup, on finit même par avoir de l'attachement pour ces héros. Leur simplicité est parfois ahurissante, mais cela leur donne un côté inoffensif et qui nous fait aussi ressentir leur bon fond. On peut prendre l'exemple de Michel, car il a beau être idiot, on ressent vraiment son amour pour sa femme. Par conséquent, j'ai passé un bon moment. Il y a bien quelques défauts à noter, et je pense notamment à quelques personnages secondaires assez peu développés (le handicap du fils par exemple, qui n'est pas vraiment expliqué et qui sert assez peu). Mais en dehors de cela, je vous conseille vivement d'aller jeter un œil à ce film. Pour conclure, une belle surprise pour commencer l'année !
Vu en AP a l'UGC Paris 19 ce dimanche 29/12.
Très bonne surprise bien que absolument rien n'est crédible mais ça passe.
Polar sur fond d'humour noir, les codes du genre sont la, le film est très divertissant, dans l'ensemble bien réaliser et avec des acteurs au top.
Très bonne surprise bien que absolument rien n'est crédible mais ça passe.
Polar sur fond d'humour noir, les codes du genre sont la, le film est très divertissant, dans l'ensemble bien réaliser et avec des acteurs au top.
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