Bof bof bof. Un film à mettre dans la catégorie "de ceux que l'on oubliera très vite en fin de semaine" ... Même s'il y a quelques moments drolatiques, le scénario est pauvre avec un humour certes bien noir mais très très poussif. Franck Dubosc essaye de faire de son mieux mais ce film n'est vraiment pas terrible comme réalisateur. Gardez votre argent pour aller voir "En Fanfare", "Prodigieuses" (où Dubosc apparait dans un beau rôle) et "Vingt Dieux", du vrai cinéma authentique en décembre 2024, avec son lot d'humour, de drame et d'émotion fort bien dosés !
Que retenir de ce navet ? La volonté de surprendre, sans doute. Hélas une mise en scène maladroite et des comédiens en roue libre ruinent le projet, par ailleurs mal écrit. On espérait, en vain. Trop long en plus.
trés bon film, comique comme on adore, .avec beaucoup de suspense, film a voir et a revoir, on ne s'ennuie pas du tout, malgré la longueur du film moins de deux heures.
Un film qui tient en haleine de bout en bout, même si la fin est convenue. Mais les dialogues et le scénario qui font mouche. Tous les acteurs sont excellents. A voir.
Dans la veine Helzappopin ou celle des frères Coen, Dubosc a voulu tourner un film déjanté. C'est bien son droit mais le résultat n'est pas à la hauteur . L'affaire démarre bien avec une attaque d'ours noir ( curieusement pas un grizzly beaucoup plus féroce). Suite à un accident qu'il a provoqué un monsieur découvre un magot. Le rendre à la police ou pas ? "That is the question" ... Il en discute avec sa femme le soir dans son chalet au fond des bois. Suivent des péripéties enfilées les unes derrière les autres pour bien montrer qu'on est dans un film fou, fou, fou. On rit peu en dépit des efforts parfois lourdingues des scénaristes. Dubosc fait ce qu'il peut, Poolvoorde aussi, Laure Calamy itou. Le film, en dépit des rebondissements, manque de rythme et patine . Le temps s'étire . C'est long, près de deux heures et çà n'en finit pas. L'ours s'est volatilisé. C'est un ours virtuel. On n'en entend plus parler. Dans la veine déjantée on a aussi les Marx Brothers mais c'est beaucoup mieux.On se demande comment tout cela va finir encore que les options sont minces et qu'on finit par deviner la fin qui ne casse pas trois pattes à un plantigrade. Bref un film survendu par une partie de la critique professionnelle et qui ne vaut guère le dérangement.
Vu en avant-première le vendredi 27 décembre à "L'Atlantic Ciné" (Saintes)
Oui, le scénario est totalement absurde, s'éloignant de toute crédibilité... ce qui est (probablement) assumé. Le décor jurassien est sublimé, les acteurs (avec un Dubosc en petite forme) n'étant au final que des interprètes d'une écriture parfois hilarante, parfois ennuyeuse... Une comédie pour toutes et tous, sans prétention, en dent de scie (...), mais sincère.
Un film vraiment pas terrible qui oscille sans cesse entre le thriller et le loufoque. Je sais que l'on ne doit pas prendre l'histoire au 1er degré mais c'est trop truffé d'invraisemblance... L'idée de départ est bonne mais vraiment trop mal exploité. Pour moi, le seul qui tire son epingle du jeu est Benoît Poelvoorde. On rit quelquefois mais sans plus...
C'est pas bon! Mais vraiment pas bon. Ca ne fait pas rire, ni peur, ni pleurer... ça ne donne aucun frisson. Ca ne fait pas réfléchir... ça ne divertit pas... La meilleure actrice est sans doute la morte du début. Tout est gros mais pas assez... ce film n'est en fait... rien. Et on s'ennuit ferme.
J'ai vu ce film en avant première au cinéma le mercure d'elbeuf en présence de Frank Dubosc et Benoît Poelvoorde. très bon film d'humour noir, juste ce qu'il faut pour être à la limite du bien et du mal. les acteurs sont excellents, surtout Laure Calamy qui est une excellente comédienne, avec son côté sombre et ses idées folles, pas toujours les meilleurs pour arranger la situation du couple. Je recommande vivement d'aller voir un ours dans le jura pour passer un bon moment
Ça aurait pu être très sympathique et Franck Dubosc était a deux doigts de s’acheter une respectabilité, mais avec la répétition des lourdeurs, surlignages, absurdités, blagues inutiles pour certaines, vulgaires pour d’autres, il n’a finalement pas pu s’empêcher de faire du Dubosc.