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26 titres de presse
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20 Minutes
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Diverto
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Le Journal du Dimanche
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Femme Actuelle
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La Croix
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La Parisien
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La Voix du Nord
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Le Dauphiné Libéré
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Les Echos
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Nice-Matin
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Paris Match
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Sud Ouest
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Télé 7 Jours
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Télé Loisirs
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Version Femina
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Voici
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Abus de Ciné
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Konbini
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Première
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Télérama
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Le Monde
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Le Point
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Ouest France
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L'Obs
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Le Figaro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
« Un ours dans le Jura » est aussi drôle que bourré de suspense.
Diverto
Troisième film réalisé par Franck Dubosc, Un ours dans le Jura est un mélange savoureux entre comédie, thriller et romance. On est happé dès les premières minutes par ce qu'on pense être un film policier, qui se transforme rapidement en western rural, à la sauce des frères Coen.
Le Journal du Dimanche
Excellente surprise que ce thriller enneigé à l’humour noir irrésistible, s’inscrivant dans la directe lignée des frères Coen.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Troisième réalisation de Franck Dubosc, Un ours dans le Jura est un intéressant pas de côté pour la star de l’humour, qui réussit son incursion dans le polar tout en gardant son style comique.
Femme Actuelle
Dubosc a réussi son pari : il tient là un film très drôle.
La Croix
Franck Dubosc séduit avec son troisième long métrage, une comédie noire qui brosse le portrait touchant d’un couple et d’une communauté villageoise aux prises avec un trafic de drogue.
La Parisien
Une comédie noire très réussie et délicieusement amorale fait penser au « Fargo » des frères Coen, avec ses personnages de bras cassés cupides et ses paysages enneigés.
La Voix du Nord
Une comédie noire rurale inattendue et désopilante.
Le Dauphiné Libéré
Car hormis la résolution un peu expéditive de son troisième acte, la partie policière est suffisamment robuste pour que l’humour ne fasse jamais tâche. Franck Dubosc s’appuie également sur un casting solide (...).
Les Echos
La star du rire concocte une comédie morbide et mordante sur fond de paysages enneigés et ensanglantés. La surprise de la semaine.
Nice-Matin
Une vraie belle surprise.
Paris Match
Un polar féroce et politiquement incorrect.
Sud Ouest
Un excellent divertissement.
Télé 7 Jours
Cette comédie noire est la plus belle manière de débuter l'année.
Télé Loisirs
Un audacieux film noir à l'humour absurde.
Version Femina
Cette histoire riche en rebondissements oscille entre loufoquerie, tendresse et gravité grâce à une écriture maîtrisée, une mise en scène efficace et des acteurs complices (…) qui se mettent au diapason. Ce divertissement jubilatoire dans la lignée du cinéma des frères Coen est incroyable !
Voici
Cette comédie noire à l'humour froid vaut largement le coup d'oeil.
Abus de Ciné
Le mélange des genres est un exercice périlleux, auquel Franck Dubosc était peu habitué. Mais le résultat tient la route, à l’image du personnage incarné par Benoît Poelvoorde.
Konbini
Franck Dubosc étonne avec un film qui n'est jamais qu'une comédie, ni totalement un drame. Un mélange de genre plutôt réussi, avec des maladresses qu'on lui pardonnera volontiers.
Première
C’est parfois trop (trop riches - les intrigues débordent - trop zinzin aussi), mais la vraie force du film, c’est que ces personnages reprennent toujours le dessus.
Télérama
Suivant la veine du film des frères Coen, l’humoriste réussit une comédie policière noire et absurde, dans des décors majestueux.
Le Monde
Ce thriller de Noël doit beaucoup à l’incursion de Laure Calamy sur le terrain de la grosse comédie. Il reste que l’intrigue finit par se recroqueviller dans une histoire de truands. Sans compter la distribution de blagues de qualité inégale sur des sujets divers et variés (migrants, sadomasochisme, relations familiales).
Le Point
Dans cette histoire de bons et de méchants à prendre au deuxième degré, on rit parfois, mais par défaut, face à cette surcharge de bêtise lassante. L'humour noir tombe à côté.
Ouest France
Si le film démarre en trombe, il cale assez vite dans la montée. La faute à un scénario qui s’enlise un peu et à une interprétation assez fade des deux protagonistes masculins Dubosc et Poelvoorde. Un ours dans le Jura aurait pu continuer dans la veine noire et un tantinet trash du début, il rebascule assez vite dans une comédie plus classique et moins surprenante.
L'Obs
Passé un premier quart d’heure efficace, le film se délite dans une surenchère permanente (de moyens, de personnages, de stars, de facilités narratives), autant de symptômes d’une fuite en avant et d’un crash annoncé – exemple, le plantigrade du titre, déclencheur de l’intrigue dès les premières secondes, passe tranquillement par pertes et profits.
Le Figaro
Au final, cette balade dans le Jura ressemble à une randonnée mal préparée. Quant à l’ours, il aurait mieux fait de rester dans ses montagnes.