Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un premier long doux et délicat sur une bande d'amis face au deuil.
Culturopoing.com
par Renan Cros
Magnifiquement porté par une troupe de comédiens menée par Andranic Manet, décidément un nom à suivre, le film réussit à faire dialoguer le passé et le présent avec une douceur, une délicatesse qui emporte tout.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Une fantaisie à la poésie presque enfantine, sensible mais pas triste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Il y a donc moins télescopage des âges, comme le scénario façon Péril jeune voudrait le laisser croire, que superposition : nul besoin de l’invoquer, l’enfance n’est simplement pas partie.
L'Obs
par Isabelle Danel
Sincère et candide, ce buddy movie comporte son lot de maladresses. Mais, porté par le lunaire Andranic Manet, il a aussi du charme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les jeunes acteurs du film forment une bande sympathique.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si cette re-création se trouve fragilisée par un scénario dont le duo peine à prendre congé au lieu de s’abandonner à ce temps suspendu, elle prédit, on l’espère, d’autres aventures réjouissantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Un plaisir à diriger une bande de comédiens complices portés la douce folie d’Andranic Manet (Mes provinciales). Un geste parfait ? Non mais le type même du film qu’on aime aussi pour ses maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Un scénario ponctué de quelques instants d’émotion, imprégné d’une douce nostalgie, mais souvent naïf dans son approche. L’alchimie des jeunes acteurs, symbolisant le renouveau du cinéma français, rattrape toutefois la mise.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Un charme se dégage des tout premiers plans de cette Récréation de juillet qui, tournés à la pellicule, parviennent à susciter un sentiment de mélancolie. L’énergie retombe pourtant aussitôt. En cause, une écriture trop fragile et un jeu d’acteurs poussif.
Libération
par Luc Chessel
Tout ça a un côté atelier théâtre de rejetons des beaux quartiers, cucul dans sa grammaire d’émotions bricolées, mais qui tente d’assumer la tête haute son sentimentalisme. Il n’y a donc pas lieu de s’en moquer, ni pire, bien qu’on n’y apprenne pas grand-chose de plus, sur la vie ou les films. Ça viendra ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par S.O.
Émouvant, l'ensemble pâtit cependant d'un manque de vraisemblance.
CinemaTeaser
Un premier long doux et délicat sur une bande d'amis face au deuil.
Culturopoing.com
Magnifiquement porté par une troupe de comédiens menée par Andranic Manet, décidément un nom à suivre, le film réussit à faire dialoguer le passé et le présent avec une douceur, une délicatesse qui emporte tout.
Télérama
Une fantaisie à la poésie presque enfantine, sensible mais pas triste.
Cahiers du Cinéma
Il y a donc moins télescopage des âges, comme le scénario façon Péril jeune voudrait le laisser croire, que superposition : nul besoin de l’invoquer, l’enfance n’est simplement pas partie.
L'Obs
Sincère et candide, ce buddy movie comporte son lot de maladresses. Mais, porté par le lunaire Andranic Manet, il a aussi du charme.
Le Dauphiné Libéré
Les jeunes acteurs du film forment une bande sympathique.
Les Inrockuptibles
Si cette re-création se trouve fragilisée par un scénario dont le duo peine à prendre congé au lieu de s’abandonner à ce temps suspendu, elle prédit, on l’espère, d’autres aventures réjouissantes.
Première
Un plaisir à diriger une bande de comédiens complices portés la douce folie d’Andranic Manet (Mes provinciales). Un geste parfait ? Non mais le type même du film qu’on aime aussi pour ses maladresses.
Sud Ouest
Un scénario ponctué de quelques instants d’émotion, imprégné d’une douce nostalgie, mais souvent naïf dans son approche. L’alchimie des jeunes acteurs, symbolisant le renouveau du cinéma français, rattrape toutefois la mise.
Les Fiches du Cinéma
Un charme se dégage des tout premiers plans de cette Récréation de juillet qui, tournés à la pellicule, parviennent à susciter un sentiment de mélancolie. L’énergie retombe pourtant aussitôt. En cause, une écriture trop fragile et un jeu d’acteurs poussif.
Libération
Tout ça a un côté atelier théâtre de rejetons des beaux quartiers, cucul dans sa grammaire d’émotions bricolées, mais qui tente d’assumer la tête haute son sentimentalisme. Il n’y a donc pas lieu de s’en moquer, ni pire, bien qu’on n’y apprenne pas grand-chose de plus, sur la vie ou les films. Ça viendra ?
Télé Loisirs
Émouvant, l'ensemble pâtit cependant d'un manque de vraisemblance.