Je veux seulement que vous m'aimiez : Critique presse
Je veux seulement que vous m'aimiez
Note moyenne
4,2
15 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Monde
Les Inrockuptibles
Première
Chronic'art.com
Excessif
L'Obs
Le Figaroscope
Marianne
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Télérama
Brazil
L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Cette ressortie est l'occasion de constater combien, presque trente années après sa mort, on se coupe encore au cinéma de Fassbinder.
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Les personnages principaux, dont le coeur solitaire bat dans un silence de mort, sont cernés par un peuple de zombies, de vampire, de goules – commerçants, vendeurs, fonctionnaires, parents - prêts à fondre et se repaître de leur sang frais. N'est-il permis de voir, en cette subite étrangeté des choses familières, qu'un héritage brechtien ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Autour de cette histoire qui devrait foncer droit dans le mur, Fassbinder distille un malaise étrange, d'une modernité absolue. (...) Il glisse des fausses notes un peu partout, aussi drôles qu'effroyables, qui font naître un fantastique diffus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Génial.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
La superbe composition des cadres, la finesse des rapports, la justesse de l'interprétation, tout concourt à faire de ce film un indispensable chainon manquant dans la filmo du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Nicolas Truffinet
Chez Fassbinder, la société est coupable, mais les individus sont parfois bêtes. Il y a là une manière assez incomparable de peindre des personnages à grands traits, sans s'encombrer de psychologie, mais en parvenant à en faire ressortir l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
par Romain Le Vern
"Je veux seulement que vous m'aimiez" tient autant de la tragédie humaine d'écorché vif que du pamphlet social sans s'abîmer dans l'anti-idéalisme destructeur.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le schéma offre à Fassbinder de dénuder les fils du mélo, plus les ressorts psychologiques sont sommaires, plus le film touche au nerf.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Froideur familiale, frustration affective, culpabilité, envie, mensonge, échec, une spirale tragique à la courbe implacable. Avec un interprète fascinant. Un inédit à découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Danièle Heymann
"Je veux seulement que vous m'aimiez" est d'un implacable simplicité, d'une trompeuse et pernicieuse douceur jusqu'à l'inéluctable explosion finale. (...) d'une terrible et stupéfiante actualité.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
voir le site studio-cinélive.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) l'exemplaire force évocatrice de la mise en scène de Fassbinder édifie autour du héros une délétère spirale d'échec social. Transformant ce simple fait divers en une tragédie universelle et visionnaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
La mise en scène, implacable, glaçante, transforme le moindre objet de consommation en symbole de la vacuité morale de l'époque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Johan Girard
Fassbinder aurait pu entretenir le suspense mais il n'a voulu s'encombrer d'aucun artifice scénaristique. Il nous informe dès les premières secondes de cet état de fait. Peter va s'embourber sous nos yeux. Rien ne pourra l'empêcher de sombrer.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si le style du cinéaste est toujours d'une rigueur éblouissante, on est moins convaincu par ses héros, falots, avant tout destinés à illustrer une thèse sur l'aliénation du monde moderne, miroir aux alouettes des proies du système. Constat juste, mais qui manque d'humanité et d'incarnation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
Cette ressortie est l'occasion de constater combien, presque trente années après sa mort, on se coupe encore au cinéma de Fassbinder.
Critikat.com
Les personnages principaux, dont le coeur solitaire bat dans un silence de mort, sont cernés par un peuple de zombies, de vampire, de goules – commerçants, vendeurs, fonctionnaires, parents - prêts à fondre et se repaître de leur sang frais. N'est-il permis de voir, en cette subite étrangeté des choses familières, qu'un héritage brechtien ?
Le Monde
Autour de cette histoire qui devrait foncer droit dans le mur, Fassbinder distille un malaise étrange, d'une modernité absolue. (...) Il glisse des fausses notes un peu partout, aussi drôles qu'effroyables, qui font naître un fantastique diffus.
Les Inrockuptibles
Génial.
Première
La superbe composition des cadres, la finesse des rapports, la justesse de l'interprétation, tout concourt à faire de ce film un indispensable chainon manquant dans la filmo du réalisateur.
Chronic'art.com
Chez Fassbinder, la société est coupable, mais les individus sont parfois bêtes. Il y a là une manière assez incomparable de peindre des personnages à grands traits, sans s'encombrer de psychologie, mais en parvenant à en faire ressortir l'essentiel.
Excessif
"Je veux seulement que vous m'aimiez" tient autant de la tragédie humaine d'écorché vif que du pamphlet social sans s'abîmer dans l'anti-idéalisme destructeur.
L'Obs
Le schéma offre à Fassbinder de dénuder les fils du mélo, plus les ressorts psychologiques sont sommaires, plus le film touche au nerf.
Le Figaroscope
Froideur familiale, frustration affective, culpabilité, envie, mensonge, échec, une spirale tragique à la courbe implacable. Avec un interprète fascinant. Un inédit à découvrir.
Marianne
"Je veux seulement que vous m'aimiez" est d'un implacable simplicité, d'une trompeuse et pernicieuse douceur jusqu'à l'inéluctable explosion finale. (...) d'une terrible et stupéfiante actualité.
Studio Ciné Live
voir le site studio-cinélive.
TéléCinéObs
(...) l'exemplaire force évocatrice de la mise en scène de Fassbinder édifie autour du héros une délétère spirale d'échec social. Transformant ce simple fait divers en une tragédie universelle et visionnaire.
Télérama
La mise en scène, implacable, glaçante, transforme le moindre objet de consommation en symbole de la vacuité morale de l'époque.
Brazil
Fassbinder aurait pu entretenir le suspense mais il n'a voulu s'encombrer d'aucun artifice scénaristique. Il nous informe dès les premières secondes de cet état de fait. Peter va s'embourber sous nos yeux. Rien ne pourra l'empêcher de sombrer.
L'Humanité
Si le style du cinéaste est toujours d'une rigueur éblouissante, on est moins convaincu par ses héros, falots, avant tout destinés à illustrer une thèse sur l'aliénation du monde moderne, miroir aux alouettes des proies du système. Constat juste, mais qui manque d'humanité et d'incarnation.