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C’est émouvant de voir le dévouement du personnel entre un animateur surmotivé (excellent Clovis Cornillac), des médecins et des infirmières qui se démènent. Mais aussi ces femmes qui s’accrochent et, parfois, s’en sortent. La lumière au bout du tunnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ce film est tout sauf une comédie, penchant davantage dans la chronique sociale sur la résilience (...) En écrivant un film choral serti d’espoir sans éluder pour autant la noirceur et la violence du sujet, Elsa Bennett et Hippolyte Dard s’en sortent avec les honneurs.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Parfois un peu mélo, le film est néanmoins porté par Valérie Bonneton, d'une justesse remarquable dans un registre où elle n'avait jusqu'ici pas eu l'occasion de s'exprimer.
Valérie Bonneton trouve l’un de ses meilleurs rôles dans cette comédie dramatique et sociale qui suit le parcours de femmes confrontées à des problèmes d’alcoolisme, avec fantaisie, gravité et humanité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Injectant ça et là un humour bienvenu, quoique inégal, à son récit un peu balisé mais porté par des actrices inspirées et sans maquillage, le duo de réalisateurs signe une comédie dramatique émouvante sur ces femmes qui livrent un combat quotidien pour remonter la pente.
La longue et douloureuse rémission (et la rédemption qui va avec) d’un ou une alcoolique est un sujet assez balisé et « Des jours meilleurs » n’éclate pas le genre. Il n’en demeure pas moins, tant dans l’écriture que dans l’interprétation, une sincérité qui force le respect et l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Empreinte de la patte de Louis-Julien Petit (Les Invisibles), qui a collaboré au scénario, cette comédie sociale séduit par le réalisme des situations et des dialogues, et l'engagement des acteurs, Valérie Bonneton en tête.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Marginalisation victimaire, rédemption par la lutte positive et la transparence morale, dose d’humour nécessaire au feel-good movie consolateur : il y a là comme une martingale d’époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La première partie dans le centre de soins est touchante [...]. Mais le scénario part ensuite dans une autre direction, avec un rallye dans le désert qui devient vite ennuyeux.
Si l’initiative est salutaire, le film perd en crédibilité à force de souligner chaque émotion, les bons sentiments venant systématiquement dévitaliser les moments de bravoure, à l’image d’une course de rallye au milieu d’un désert et d’une scène de retrouvailles émouvante entre une mère et ses enfants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si le film n’a que de bonnes intentions et parvient à faire parler du tabou de l’alcoolisme féminin, le scénario programmatique à l’extrême et ses personnages caricaturaux ne rendent pas justice à un sujet autrement plus complexe.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Réaliste et militant.
Closer
Une aventure chaotique, mais pleine d'espoir !
Le Figaro
Une belle surprise cinématographique.
Le Parisien
C’est émouvant de voir le dévouement du personnel entre un animateur surmotivé (excellent Clovis Cornillac), des médecins et des infirmières qui se démènent. Mais aussi ces femmes qui s’accrochent et, parfois, s’en sortent. La lumière au bout du tunnel.
Abus de Ciné
Valérie Bonneton confondante de justesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une drama comédie sobre et soignée.
Diverto
Ce film est tout sauf une comédie, penchant davantage dans la chronique sociale sur la résilience (...) En écrivant un film choral serti d’espoir sans éluder pour autant la noirceur et la violence du sujet, Elsa Bennett et Hippolyte Dard s’en sortent avec les honneurs.
Franceinfo Culture
Parfois un peu mélo, le film est néanmoins porté par Valérie Bonneton, d'une justesse remarquable dans un registre où elle n'avait jusqu'ici pas eu l'occasion de s'exprimer.
La Croix
Cette comédie sociale aborde avec respect et une grande justesse le quotidien de femmes alcooliques en centre de désintoxication.
La Voix du Nord
Valérie Bonneton trouve l’un de ses meilleurs rôles dans cette comédie dramatique et sociale qui suit le parcours de femmes confrontées à des problèmes d’alcoolisme, avec fantaisie, gravité et humanité.
Le Dauphiné Libéré
C’est dans ses aspérités, ses moments d’improvisation et de fragilité que Des jours meilleurs gagne en puissance.
Le Journal du Dimanche
Injectant ça et là un humour bienvenu, quoique inégal, à son récit un peu balisé mais porté par des actrices inspirées et sans maquillage, le duo de réalisateurs signe une comédie dramatique émouvante sur ces femmes qui livrent un combat quotidien pour remonter la pente.
Le Point
Il suffit d'y croire, même si la réalité est beaucoup plus compliquée et cruelle que ce téléfilm au message positif.
Marianne
Une tragicomédie improbable sur des femmes alcooliques.
Paris Match
La longue et douloureuse rémission (et la rédemption qui va avec) d’un ou une alcoolique est un sujet assez balisé et « Des jours meilleurs » n’éclate pas le genre. Il n’en demeure pas moins, tant dans l’écriture que dans l’interprétation, une sincérité qui force le respect et l’émotion.
Version Femina
Empreinte de la patte de Louis-Julien Petit (Les Invisibles), qui a collaboré au scénario, cette comédie sociale séduit par le réalisme des situations et des dialogues, et l'engagement des acteurs, Valérie Bonneton en tête.
aVoir-aLire.com
L’ivresse au féminin servie dans un grand verre d’espoir et de solidarité, additionnéed’une pointe salutaire d’ironie.
Le Monde
Marginalisation victimaire, rédemption par la lutte positive et la transparence morale, dose d’humour nécessaire au feel-good movie consolateur : il y a là comme une martingale d’époque.
Télé 2 semaines
La première partie dans le centre de soins est touchante [...]. Mais le scénario part ensuite dans une autre direction, avec un rallye dans le désert qui devient vite ennuyeux.
Télérama
Si l’initiative est salutaire, le film perd en crédibilité à force de souligner chaque émotion, les bons sentiments venant systématiquement dévitaliser les moments de bravoure, à l’image d’une course de rallye au milieu d’un désert et d’une scène de retrouvailles émouvante entre une mère et ses enfants.
Première
Si le film n’a que de bonnes intentions et parvient à faire parler du tabou de l’alcoolisme féminin, le scénario programmatique à l’extrême et ses personnages caricaturaux ne rendent pas justice à un sujet autrement plus complexe.