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jean charles
1 abonné
25 critiques
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1,0
Publiée le 30 novembre 2024
si vous aimez les films creux insipides sans aucun interet,, ce film est popur vous. l'histoire est toute bete et se resume en une phrase, certes cest bien joué mais cest d'une banalité à mourir . la meme histoire chez un scénariste de talent, aurait donne de la profondeur aux personnages et de la densité au film. ici cest archi plate et fade. il y avait surement un deuxieme film dans le classement des juges , qui aurait certainement plus mérite une palme d'or.
Porté par un duo d’acteurs impeccables et des seconds rôles tout aussi réussis, ce film nous entraîne dans une rencontre tendre et hilarante. L’actrice principale est excellente, et elle sert à merveille le rôle de fille aguicheuse mais qui ne se laisse pas faire ! Un délice à découvrir.
Une palme d’Or intéressante, filmée avec beaucoup d’énergie, sur la super-puissance du fric et son pouvoir de nuisance, en particulier lorsqu’il est utilisé par un irresponsable. Pas un chef d’œuvre certes avec son début trop long une dernière scène avec Igor saugrenue mais du rythme et une bonne direction d’acteurs, en particulier dans les scènes où figurent les gros bras et/ou la femme de l’oligarque.
Incompréhension totale de ce film, tant de vide et de pauvreté de dialogue. Je suis passée à côté du soit disant « comique » du film, avec des personnages secondaires excessifs et surfaits
J'avais quelques craintes mais finalement c'est un bon film. Les acteurs jouent bien en particulier Anora et Igor. Certes le film est longuet et certaines scènes sont vraiment interminables mais le film vaut le coup.
Un bon Sean Baker, avec un sens du montage incroyable. On rit en même temps qu'on est affolé devant tant de bêtise, de misère et de violence. Excellent casting. Bref de la qualité. Une Palme d'Or? Non, il ne faut pas exagérer....
Une magnifique interprétation tant de la jeune femme que du jeune homme, une véritable incarnation…..Les 30 premières minutes et la fin sont à voir, le reste sans intérêt…
un scenario qui monte en puissance, des jeux d'acteurs parfaitement assumés et une description d'une jeunesse dorée très pertinente. le denouement est sublime.
Anora est la palme d'or 2024 ! C'est l'histoire d'une escort "cendrillon" et de son prince russe pas si charmant. J'ai découvert Sean Baker en 2022 avec Red Rocket, qui suit le parcours rocambolesque d'un acteur porno déchu, et j'avais adoré ce cinéma d'auteur qui porte un regard très cru sur le rêve américain. Son écriture est toujours très chirurgicale quant aux sujets qu'il traite (on est presque dans la docu-fiction) et la direction de ses acteurs amène à chaque fois un réalisme époustouflant. Anora ne déroge pas à la règle. Il n'empêche que cette palme d'or est contestable pour moi au vu des "concurrents" présentés cette année. A voir tout de même notamment pour #mikeymadison @mark.eydel @yura.borisov_actor @karrenkaragulian @vachetovmasyan qui crèvent l'écran !
Il a fallu que je me pince en apprenant que ce film a décroché "la Palme d'Or 2024" ? L'essentiel de l'intringue tient dans la bande annonce. Inutile de vous déplacer ! C'est le destin d'une escort girl avec le rejeton d'une famille d'oligarge russe...Prétexte à des fêtes orgiaques où la came coule à flot ! Rien de nouveau à l'Est !
2) Les "dialogues" sont une logorrhée d'insultes qui reviennent en boucle..Ca doit être ça le cinéma à destination des "djeun's"..Il y a grosso modo 10 termes qui reviennent en boucle. ( On est TRES LOIN de la tirade de Cyrano de Bergerac sur son nez )
3) Le film est long comme un jour sans pain.2H18
4) Il faudrait que quelqu'un m'explique la scène finale dans la voiture. Y a un mode d'emploi ?
Au fond de mon strapontin rouge, mes yeux boivent les images, je fixe cet écran, et je me dis, “si seulement ça pouvait ne pas s’arrêter”.
Anora… non elle veut qu’on l’appelle Anie. Jeune escorte de 25 ans, Anie se rend chaque soir dans une boîte de nuit du quartier russe de New York, pour vivre de son talentueux savoir-faire corporel. Elle est la plus douée, la plus sensuelle, la plus sexy, elle rafle les billets sous les élastiques de son string grâce à ses mouvements de hanche.
Mais Anie aspire à une autre vie quand elle rencontre le fils d’un oligarque russe. Yvan, 21 ans, adolescent prépubère vivant de shots, de rails de coke, et de sexe.
Quand on a de l’argent en illimité, tous les vices sont permis, la PS4 et le sport de chambre régissent sa “dolce vita” à la russe. De facto, quoi de plus simple que de se payer une petite amie pour une semaine ?
Les retrouvailles sont de plus en plus longues et le gosse va jusqu’à la demander en mariage, sauvagement, en plein cœur de Las Vegas.
Mariés pour défier l’autorité, leur union est en fait un acte de rébellion.
Mais le rêve de richesse infinie pour Anora s’évanouit aussi vite qu’il prend vie, lorsque les hommes de main du père d’Yvan se rendent compte de ce petit jeu. L’enfant a encore fait une bêtise qu’il va falloir réparer avant de se faire taper dessus par le patron.
Sean Backer nous transporte dans une ironie de situation qui nous fait pleurer de rire sur nos sièges. Des mercenaires aussi effrayants que des clowns de cirque, des bagarres risibles et un ado en fugue.
On découvre le monde de la nuit new-yorkais, celui de la débauche, celui de tous les désirs. Des nuits interminables. Des regards aussi doux qu’un vocabulaire vulgaire. Des personnages aux apparences aussi trompeuses que touchantes.
Finalement, le film prend fin sur un plan tout aussi déchirant que magnifique, qui fait exploser l’amour et la souffrance d’une même symphonie.
Quelle déception! Je ne comprends pas comment ce film a pu recevoir la palme d’or. La première partie n’est pas autre chose qu’un film porno. Quant à la suite, si elle s’avère beaucoup plus intéressante, on en prend plein les oreilles notamment dans la scène qui se déroule dans la maison. C’est parfois hilarant mais les acteurs hurlent sans cesse. J’ai failli quitter la salle. Le film est en outre plein de longueurs et de clichés, comme ceux sur la puissance des oligarques russes qui terrorisent leurs sbires américains au point qu’un pasteur va abandonner son église alors qu’il célèbre un baptême. Bref, une palme d’or largement usurpée.