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jerome S.d.c.
23 abonnés
111 critiques
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3,0
Publiée le 1 novembre 2024
Fable des temps modernes, critique des oligarques et d'une société sans direction, jeu des acteurs, tout est bien fait. Mais des longueurs incessantes engluent chaque événement.. Avec 3/4 h en moins...on ressortirait plus enthousiaste au lieu de se demander pourquoi cette longue palme d'or
Petite palme d’or 2024. Scénario convenu. Quel est le message du film ?… Une cendrillon des temps modernes ne peut pas découvrir le prince charmant ?… L’argent au dessus de tout ?…. Si tel est le message, je préfère nettement « sans filtre » beaucoup plus trash et avec de l’humour. Les plastiques irréprochables des charmantes créatures et les scènes de sexe ne sauvent pas tout.
Excellente première partie, décapante, nerveuse, drôle, surprenante. Deuxième partie très (trop ?) différente, plus lente et beaucoup moins surprenante si ce n'est dans l'evolution des personnages. Auxquels on s'attache. Le film devient presque tendre, plus intimiste. Le tout est un tres bon moment, mais il reste un sentiment d'inachevé. cette palme d'or ne va pas jusqu'au bout de son délire, comme l'ont fait Parasites et Sans filtre.
Anora est un chef d’œuvre, une sorte de Pulp Fiction contemporain, la sensibilité et l’humour de Sean Baker en font une perle rare, unique en son genre. La réalisation, l’interprétation, le scénario tout est absolument juste, à voir et à revoir!
Vraiment perplexe sur ce film. De très bons comédiens. Mais pas mal de longueurs dans la 1er partie, beaucoup de scènes de cul. La seconde partie est plus intéressante et parfois hilarante. Fin en queue de poisson
Que dire d’Anora si ce n’est qu’il s’agit d’une des expériences cinématographiques les plus ternes et décevantes que l’on puisse vivre. Palme d’or ou non, ce film semble prendre un malin plaisir à ne jamais décoller. Dès les premières minutes, le spectateur comprend qu’il va assister à une histoire sans direction et sans relief, où le scénario s’étire tel un long chemin plat de Sologne, sans la moindre aspérité pour éveiller l’intérêt. L’intrigue, d’une fadeur difficile à oublier, progresse sans véritable enjeu ni évolution, rendant chaque minute interminable. Côté humour, Sean Baker semble avoir voulu jouer la carte du potache, mais hélas, les tentatives tombent dans un vide intersidéral. L’humour, censé apporter un peu de légèreté, laisse place à une consternation généralisée, chaque plaisanterie échouant à produire autre chose qu’un silence pesant. Arrivé au terme du film, on attend presque une rédemption finale, une touche d’audace pour sauver l’ensemble. Mais non : la fin, aussi insipide qu’absurde, résonne comme le coup de grâce, rendant l’œuvre encore plus difficile à digérer. Anora nous rappelle que toutes les Palmes d’or ne sont pas des chef-d’œuvres, mais ici, on atteint le sommet du pathétique. À fuir absolument.
Sean Baker est assurément le plus grand metteur en scène américain ayant entamé sa carrière au 21 ème siècle. Avec Anora, il marque le point d’orgue d’une filmographie qui n’a cessé de sublimer les marges et ce avec humour, subversion et sincérité. C’est la synthèse et la sublimation de son cinéma, c’est donc extrêmement touchant, rythmé et hilarant ! L’apparente simplicité avec laquelle il capte et restitue l’énergie de ses personnages nous montre que les plus grands n’ont pas besoin d’en faire des caisses pour faire du cinéma. Sean Baker est aussi monteur et cela se voit. Le film ne cesse de se réinventer en termes de rythme, alternant entre ellipses, sequence quasi en temps réel et dilatation du temps avec l’une des plus grandes scènes finales que j’ai pu voir dans ma vie. Ce final si singulier vous donnera d’ailleurs envie de revoir le film tant il modifiera la perception que vous avez pu en avoir. Foncez donc voir cette Palme d’or, plus touchante et divertissante que Pulp Fiction et Parasite réunis !!!
A ne pas manquer, film à la fois drôle et touchant, visuellement dément, avec des personnages en pleine déchéance auxquels on s'attache énormément. Mikey Madison brille dans son rôle d'Anora, Sean Baker confirme son talent de cinéaste et sa faculté à mélanger conte de fée et réalisme cru et trash.
Anora ou une Palme d’Or tellement méritée. Encore une fois Sean Baker nous offre le cadeau d’un film qui ne ressemble à aucun autre et nous fait passer par toutes les émotions! Bravo à voir absolument
Pretty Woman, version réaliste ! Le portrait d'une forte tête et de l'histoire qui marquera son passage à l'âge adulte. On oscille entre désenchement et romantisme. Bref, un film pour Mylène Farmer :)
Vraiment bouleversant. Mention spéciale pour la force que dégage le personnage d'Anora et pour le fou rire que j'ai eu grâce au trio des hommes de main (ambiance Pulp Fiction). Une palme d'or qui change.
Juste génial!!! Une comédie dramatique où pretty woman rencontre uncut gems featuring le gagnant du timothee chalamet lookalike contest 🙂↕️🙂↕️ Sans aucun doute LE film de l’année ❤️
Palme d’or originale et amplement méritée! Comme dans ses précédents films, Sean Baker parle de l’illusion du rêve américain mais avec beaucoup d’humour et avec une actrice principale extraordinaire. Une claque, foncez !!
Anora est un film tellement jouissif, propulsant Sean Baker au rang des plus grands cinéastes américains de son temps. Cela faisait longtemps qu’une Palme n’avait pas été aussi fun ! Peut-être depuis Pulp fiction…