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    Anora
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    582 critiques spectateurs

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    Flower 0478
    Flower 0478

    71 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    J'ai bien aimé l'humour des personnages secondaires du film par contre j'ai trouvé que plusieurs scènes étaient malaisantes ce n'est que mon avis sinon l'actrice principale incarne bien son rôle.
    Nathalie Santerre
    Nathalie Santerre

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Une satire un peu facile des riches russes dans une ambiance survoltée du monde de la nuit ;histoire de Cendrillon version 2024 ,sous ce prétexte peu de dialogues intéressants ,soit le film se laisse voir quoique toutes les scènes de sexe apparaîssent une facilité à la longue même s’il s’agit de décrire ce milieu sans entraves .
    La palme d’Or m’apparaît bizarre inadaptée ,tant le propos n’est pas nouveau et que le cliché sur les russes tombe à plat par son côté outrancier .
    ´
    ENVIE DE POISSON
    ENVIE DE POISSON

    7 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2024
    Difficile de savoir quoi penser de ce film
    Mon impression première
    C'est que c'est plutôt un "petit film"
    Une surprise pour moi
    D'avoir un "petit film" avec une ambition modeste
    Comme palme d'or
    Après
    Le film se regarde avec plaisir
    L'actrice principale est vraiment super
    Le garde du corps russe
    (vu dans compartiment 26)
    Est vraiment super également
    Ils sont tous les 2 très justes
    Crédibles
    Fragiles
    Naïfs
    Touchants
    Touché !
    En revanche
    Il y a toute une première partie
    Un peu soulante
    Montée dans un enchainement de scènes
    A la Pretty Woman
    Complétement démonstratifs
    Un montage un peu pub aussi
    Cela aurait été tellement bien avec un montage à la Terence Malick
    Et pour le reste
    ça ne décolle jamais vraiment
    Le gros intérêt de spectateur
    C'est de ne pas comprendre dans quel type de film on se trouve
    Et ça c'est chouette
    On est sans arrêt baladé de fausse piste en fausse piste
    Dont on est seul responsable de part nos préjugés de spectateurs
    ça c'est vraiment intéressant
    Et puis
    Une fois le film vu
    Repenser au film
    A ce qu'il raconte
    C'est très intéressant
    Parce qu'il y a de la matière
    C'est au final assez ambigu
    Donc questionnant
    Intéressant
    Mais le film en lui même
    Manque de force je trouve
    Et
    En écrivant qu'il manque de force
    Je me rends compte que c'est quand même pas mal
    Il fait "petit film" avec une ambition assez claire une fois le film vu
    Mais le contenu est plus intrigant que ça
    Peut-être un peu perturbant aussi
    Bref
    Je ne sais pas trop quoi en penser
    Mais
    C'est un film clairement à voir
    Intrigant
    Avec des acteurs qui assurent
    Et une question en filigrane :
    Sommes-nous libre ?
    Et
    En fait
    En y repensant
    C'est un film qui prend tout son sens
    Et sa saveur
    Une fois vu
    Je me répète
    Mais
    Il a une telle richesse thématique
    Soumission/aliénation/liberté/politique/inégalité/aveuglement de la jeunesse
    Et le film colle tellement au point de vue de ses personnages
    Que le point de vue
    Questionnant
    N'apparaît véritablement
    Pour ma part
    Qu'une fois le film vu
    Ou il continue de trottiner dans la tête
    C'est peut-être le signe d'un grand film
    Thomas Pleinange
    Thomas Pleinange

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Un scénario d'une pauvreté affligeante. Les seuls moment sympas et où il se passe quelque chose sont dans la bande annonce. Emilia Perez aurait vraiment mérité la palme d'or
    Emile C.
    Emile C.

    3 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    C’est l’histoire de la relation, à New-York, entre le fils d’un oligarque russe et une strip-teaseuse américaine. L’un et l’autre sont à peine adultes. Bien entendu, la famille russe s’en mêle. Si cette histoire vous attire, allez voir le film, un peu long tout de même. On y sent largement l’influence des frères Coen, sauf qu’ici on se prend plus au sérieux.
    Mais n’y allez pas pour la palme d’or de Cannes, vous serez déçus. Une palme un peu triste, n’y avait-il pas mieux à couronner ? On se dit que le jury a dû se retrouver dans le bling-bling dont on nous fait l’étalage.
    hildy
    hildy

    2 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2024
    Excellent film ! Grande Performance d’actrice pour Mickey Madison. Il y a du rythme,même si la première partie est un peu longue, et de l’humour. Un Pretty Woman des temps modernes qui part en sucette pour notre plus grand plaisir !
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Après les découvertes récentes de «The Florida Project» et «Red Rocket», qui m'avaient laissé un ressenti plutôt mitigé, j'ai quand même voulu me faire mon avis sur cette nouvelle réalisation de Sean Baker, auréolée il y a quelques mois d'une Palme d'Or.

    Et, sans grand suspense, je peux vous dire qu'il s'agit du meilleur film du cinéaste que j'ai pu voir jusque-là.

    Continuant son exploration de l'Amérique déclassée, c'est à un vrai-faux conte de fée auquel nous convie Baker.
    Œuvre pop et spontanée à l'énergie débordante et contagieuse, «Anora» est avant tout l'histoire d'une (dés)illusion.

    La rencontre entre Ani, une jeune strip-teaseuse à la forte personnalité et Ivan, le fils (aux faux airs de Chalamet) d'un oligarque russe, ou 2 mondes à des années-lumière l'un de l'autre.
    Des relations d'abord exclusivement professionnelles et tarifées, mais au cours desquelles semblent peu-à-peu naître des sentiments entre nos 2 tourtereaux. Et qui vont aboutir très (trop) rapidement à un mariage spontané à Las Vegas.

    Un chapitre construit comme un rêve, comme une bulle (à l'aspect parfois clipesque) à l'intérieur de laquelle vit sereinement notre couple, profitant de tous les excès possibles, car Ivan peut tout se permettre et tout s'offrir sans jamais devoir y réfléchir.

    Tout va pour le mieux dans leur monde...jusqu'à ce que la réalité ne les rattrape, et donne notamment lieu à une séquence complètement burlesque et au rythme presque hystérique, faisant intervenir les employés (sorte de Trois Stooges de l'Est) des parents plus que mécontents d'Ivan pour faire annuler au plus vite ce mariage insensé. Et c'est là que les choses vont dérailler et que les masques vont tomber.

    Construit en 2 phases (la montée et la chute, le rêve et la réalité), Baker traite avec talent et pas mal d'énergie des différences de classes, de la société de consommation (des corps comme des objets) et de l'illusion des sentiments.

    Car derrière ce qui semblait être un prince charmant ne se cachait en fait qu'un enfant gâté et lâche, vivant de la fortune de ses parents, et agissant sur des coups de tête sans jamais penser et faire face aux conséquences, bien humaines.

    Ani y croyait à ce rêve, et elle était prête à se battre corps et âme pour s'y accrocher. Mais comme souvent, la réalité, brute et injuste, l'emporte finalement, et elle ne peut rien y faire.
    Pas de "Ils vécurent heureux, et eurent beaucoup d'enfants" pour elle.
    Mais l'un des plans de fin les plus marquants vus au cinéma cette année, dénué de paroles et tout en lâcher-prise. Parce qu'enfin, Ani est vue pour ce qu'elle est vraiment, sans jugement ni artifices. Parce que ce regard et ce geste, simples et forts, c'est peut-être ça le vrai bonheur en fin de compte.

    Une comédie dramatique emprunte d'une belle liberté créatrice, flirtant avec le style documentaire, efficace et sans filtre dans sa manière d'aborder son sujet, même si le récit aurait pu être un petit peu resserré à certains moments (comme lors de la recherche d'Ivan) pour le rendre encore plus impactant.

    Une belle Palme d'Or à la forte personnalité, composée d'un très bon casting, et à l'intérieur duquel brille la talentueuse Mikey Madison (Once Upon a Time...in Hollywood, Scream), le cœur de cette anti-comédie romantique délirante, cruelle et finalement profondément humaine.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 647 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Une « petite » Palme d’or, qui vaut surtout pour le portrait de son héroïne (Cendrillon moderne, naïve et battante, entre illusions et désillusions), pour son interprète (Mikey Madison, la « découverte » du film), pour sa mise en scène, pour sa photo. Et pour l’énergie de l’ensemble. Sinon, les séquences d’exposition, centrées sur la vie festive et débridée d’un jeune fils à papa milliardaire, sont répétitives, longuettes et pas bien passionnantes. La suite est plus intéressante, dans un registre de drôlerie chaotique, tragicomique, ponctué par une jolie émotion finale. Mais il y a encore quelques longueurs ici et là, de petits moments soûlants, tandis que le rapprochement entre deux des personnages est assez prévisible.
    Isabelle K.
    Isabelle K.

    2 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2024
    Le film le plus explosif de la saison (jusqu’à présent). Je ne savais pas très bien à quoi m’attendre, j’ai été agréablement surprise par ce long-métrage jubilatoire et tendre, où la vie est exagérée et chaque jour exponentielle. Même si chacun sait : le scénariste, les personnages, leurs interprètes, les spectateurs, qu’elle ne peut durer indéfiniment comme un conte de fées superlatif.

    Ce que j'avais entendu dire : pas grand-chose. Anora, une jeune prostituée, se marie avec le fils tout juste majeur d’un oligarque russe. Lorsque ses parents l’apprennent, ils s’en mêlent.
    Et je n’ignorais pas qu’Anora avait reçu la Palme d’or au Festival de Cannes, cette année.

    Je n’ai pas été déçue. Le film démarre à la vitesse du son. Rythme supersonique, s’accrocher. Les dialogues sont hyper-drôles, ainsi que les situations toutes plus improbables les unes que les autres, et follement excitantes. À vrai dire, je ne me souviens pas de crises de fous rires aussi divines et irrépressibles au cinéma. J’en ai pleuré de rire, et ça fait du bien comme après un bon vieux bon bang de jeunesse, mâtiné de Poppers. Distorsion des sens, perceptions exaltées, du clinquant.

    Les acteurs sont stupéfiants : de fraîcheur et de spontanéité. Anora (fascinante Mickey Madison) crève l’écran, en se présentant d’emblée mûre et désarmante, si fluide avec son corps et son esprit. Elle pige vite, connaît ses limites, sait dire oui comme non et remettre les gens à leur place avec souplesse et sourire authentique ; les choses du sexe -qu’elle maîtrise- ne sont qu’un job pour lequel elle affiche une distance qui la libère des mochetés environnantes. Son personnage est très vite attachant. Anora, tout en paillettes, à l’intérieur comme à l’extérieur d’elle, vit l’instant présent et elle est grave cool. Le seul truc, c’est qu’elle tient à ce qu’on oublie Anora pour privilégier Ani. Elle est Ani, point barre. Une fille de la nuit qui n’attend rien.

    Vanyan, ou Ivan, est quant à lui, le prototype de l’enfant gâté, capricieux et peureux. Une plaie, ce môme superficiel qui entend le rester. « Fils à papa » : jamais expression n’aura pris autant de sens. Mais avant de devenir déserteur, ce que l’on soupçonne, il sait se rendre indispensable : il fait rêver en proposant -avec l’argent paternel qui se déverse de manière torrentielle- une vie excentrique et ludique, à grands renforts de bonbons sucrés et de jeux vidéo. Lui, les choses du sexe, il les ignore et reste persuadé qu’une levrette rapide suffit pour s’éclater.

    Musique à fond, scènes qui se catapultent tant le film est pressé, comme la jeunesse impatiente, paysages époustouflants à perte de vue entre neige et soleil, ce film est truculent.

    Quand les darons débarquent, sous domination matriarcale russe, l’extravagance s’arrête, même si les situations continuent de révéler un potentiel excentrique. La naïveté d’Anora surprend davantage que la lâcheté d’Ivan et rend cette jeune fille encore plus émouvante. Les relations qui s’installent soudain entre eux, et les gardes du corps arméniens d’Ivan à la botte des parents, qui font barrage entre lui et ses parents, relèvent d’un vaudeville ubuesque et déjanté.
    Les Arméniens ont ce pouvoir-là - 😉 Jamais là où on les attend. On les kiffe.

    À la fin, sans rien dévoiler, Anora trouve ce qui va lui permettre d’abandonner Ani. On lui souhaite le meilleur.
    Ce film est un palpitant plus efficace que n’importe quel pacemaker : orgasmique, entre rires et larmes, la plus simple, savoureuse et universelle des recettes cinématographiques.
    Bichel Le Reuftax
    Bichel Le Reuftax

    6 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Un banger. Je voulais lui mettre 4,5 mais il mérite vraiment un 5. C'est beau autant sur le visuel que sur l'histoire. L'actrice joue tellement bien largement mieux que dans Scream 6. J'en suis sortie bouleversé. Il m'a retourné la tête hâte de le revoir.
    Goéland
    Goéland

    27 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Anora est un film plein d’énergie, original, attachant, dont comme pour un bon vin on garde assez longtemps le goût en bouche.
    Sean Baker nous plonge dans deux mondes étranges, celui des prostituées ou travailleuses du sexe des clubs de plaisirs et celui des Russes des Etats-Unis (New-York, Brighton Beach, Coney Island, New-Jersey), deux mondes qu’il fait se rencontrer en suivant le personnage principal, Anora, magistralement interprétée par Mikey Madison.
    Anora a ferré un jeune héritier russe issu d’une famille richissime, complètement givré, fêtard invétéré. Elle ne veut pas lâcher. Vont s’ensuivre tout un tas de poursuites et de péripéties aussi drôles et burlesques les unes que les autres.
    Dans le film, aucun de ces deux mondes n’est vraiment sordide : le patron du club porno n’est pas franchement antipathique, les clients ne sont pas trop tordus, les gardes du corps russes et arméniens sont maladroits, comiques, plus près des pieds nickelés que des tueurs froids de la Bratva.
    Si la première partie, celle de la rencontre entre Anora et Ivan puis de leurs agapes ultra vitaminées est un peu longue, le spectateur est tenu en alerte par des micros scènes bien observées et souvent drôles. La deuxième partie, celle des poursuites entre « pieds nickelés » est un régal de comique et de mise en scène de situations cocasses : A Las Vegas et dans les rues de New-York. Baker est un admirateur de William Friedkin et de son « French connection » et cela se voit à l’écran. Quant à la scène finale entre Anora et Igor (Yura Borisov), dans la voiture de la grand-mère d’Igor elle est d’anthologie.
    Toute la distribution est remarquable : Mickey Madison, bien sûr mais aussi Yura Borisov (déjà impressionnant dans « Compartiment n° 6) en garde du corps, pas si patibulaire que cela, Mark Eydelshteyn en post-ado richissime incontrôlable et Karren Karagulian en sous-chef maffieux arménien, matamore de premier ordre.
    La mise en scène, la photo sont soignées, sophistiquées. Sean Baker est un cinéaste qui gagne à être connu, sa palme d’or à Cannes est bienvenue pour cela même si son film n’a pas la force et la portée politique des « Graines du figuier sauvage ».
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 389 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    "Anora" est un film qui explore les excès sous toutes leurs formes : excès d'alcool, de sexe, de cris, de situations rocambolesques, d'amour, mais aussi, hélas, de longueurs. Au cœur de cette comédie dramatique, une strip-teaseuse new-yorkaise entame une relation avec le fils d’un oligarque russe, attirée autant par son charme que par le luxe qu'il lui promet. Il faut dire qu'il dépense sans compter pour la garder auprès d'elle jusqu'à lui faire la promesse d'un mariage. Mais la famille de cet héritier ne partage pas ses intentions et s’emploie à annuler l’union. Ce qui s'ensuit est un enchaînement de scènes aussi explosives qu'inattendues, oscillant entre comédie déjantée et drame teinté de mélancolie. Si le film ne manque pas de qualités, avec des moments d'émotion et des personnages exubérants, il est aussi alourdi par des défauts visibles, particulièrement surprenants pour une Palme d’Or. "Anora" fascine autant qu'il irrite, et laisse une impression contrastée par son cocktail d'énergie parfois désordonné.
    Jean HERVE
    Jean HERVE

    9 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    c'est un délire nous sommes propulsés dans un monde où sex drogue argent à profusion immaturité un mixte qui nous bouscule dans ce film
    Anne-Laure R.
    Anne-Laure R.

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 novembre 2024
    Ce film est vulgaire, pathétique, les dialogues sont nuls, les acteurs aussi, c'est long et fatigant.
    Andrebolkonsky2023
    Andrebolkonsky2023

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2024
    Le film est drôle, puis touchant, formellement très beau… l’humour est assez noir voire absurde, un peu dans la veine de Triangle of sadness.
    C’est un film qui marque
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
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