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Jill GEILS
1 critique
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1,0
Publiée le 11 novembre 2024
Encore une escroquerie dont est parfois capable le jury du Festival de Cannes. Mais comment un tel navet de série B a t il pu obtenir la Palme d,or??? On aimerait comprendre. Rien n'est bon: ni le scénario, ni les personnages, ni la vraisemblance, ni les images. Tout est tristement laid, et on ne comprend pas ce que le réalisateur (et scenariste) a voulu montrer ou expliquer. Bref faites des économies : fuyez ce navet.
Un tourbillon. On se laisse embarquer dans ce film qui rappelle l humour des frères Coen. Réalisation brillante servie par le montage et surtout par des acteurs époustouflants.
C'est très mauvais. je suis partie au bout d'une heure. le réal étire toutes ses situations à tel point qu'on s'ennuie énormément. même les scènes d'action sont ennuyeuses et insupportables. la 1ere heure est consacrée au mode de vie creux et vain de ses 2 protagonistes. on aurait saisi en 15' mais non, on va se taper 1h de scènes érotiques et de vie vide et répétitive du gosse de riche. quand enfin au bout d'une heure commence l'intrigue avec l'arrivée de l'émissaire familial qui vient rétablir l'ordre, on croit que le film va devenir plus dense et plus actif, mais non, ça rame, ça s'étire et ça s'étiole.
Les 2h20 me faisait peur, au final, on ne s'ennuie pas du tout, le film est vraiment amusant cependant je n'ai pas du tout aimé la bande son que je trouvais viellote.
Mitigé par ce film, oui certe c'est un film politique montrant des rapport sociaux différent, un film sur une prostitué découvrant la vie riche et la cruauté de ces 2 mondes. Mais je trouvais que malgré tout ce film est lent... beaucoup trop lent, en 1h30 ça aurait peut-être été aussi efficace... mais en même temps cette lenteur à permis à bien fasconer un apperçut d'une personnalité complexe... mais même en 2h ça n'a pas été aussi efficace.
Impossible de comprendre pourquoi Greta Gerwig a donné la palme d'or à cette pénible expérience de male gaze intégral. Le film est totalement écrasé par les hommes, et les femmes sont continuellement ramenées à d'imbéciles clichés. Soit elles sont sexy et dénudent leur corps, soit elles sont hystériques et hurlent, soit elles exécutent ce que les hommes leur ordonnent. Le film est d'une atroce complaisance sur l'érotisation des femmes, ne serait-ce que parce qu'il trouve l'origine de son histoire dans une boîte de striptease. Dès les premières secondes on sait à quoi s'en tenir. Le récit n'est pas très bon non plus. On assisté à des scènes interminables de bagarres ou de recherche nocturne. Tout cela ne dit rien. La psychologie des personnages est complètement niée. Seul un personnage, Igor, a une certaine complexité et s'avère attachant. spoiler: Mais la fin très très ambiguë et assez douteuse gâche même ça.
Pas mal. Mais on ne comprend pas la palme d’or du festival de Cannes. Le film reste un divertissement drôle et assez surprenant mais rien de bouleversant…
"Anora" est le film qui a reçu la palme d'or au festival de Cannes en cette année 2024. Dans ce film, Sean Baker explore de nombreux thèmes comme la romance, la comédie ou même le drame. Les acteurs sont géniaux (notamment Mikey Madison dans son rôle d'Anora) et certaines scènes sont complètement réussies. Puis, même si le film continent pas mal de longueurs, notamment dans sa première partie, il reste beau, intéressant et vraiment divertissant.
Film interdit aux moins de 12 ans ? Beaucoup de scènes avec des rapports sexuels, beaucoup d’insultes ! De plus, les scènes sont longues. La première partie fut sympa mais ça part en vrille à la moitié du film. Je ne recommande pas du tout. D’ailleurs, je suis surprise de la note des téléspectateurs : personne dans la salle n’a aimé ce film.
Moins flamboyant qu'Anora mais très proche d'une Amérique escamotée, Florida project nous avait permis de découvrir - et d'apprécier- Sean Baker, un des porte flambeau du cinéma indépendant. La palme d'or et les critiques louangeuses nous promettaient donc de prendre son pied avec Anora. Pas si simple, et l'énergie incroyable de la jeune Mikey Madison ne suffit pas à nous emporter au septième ciel. Car la chair reste triste, et les orgies arrosées à répétition rappellent les excès et les outrances d'argent jeté par les fenêtres dans Le loup de Wall Street de Scorcese. Baker derrière la caricature des oligarques, vise globalement les ultrariches et l'argent qui corrompt tous les rapports entre les individus. Sa cendrillon est naïve, mais pourrait on ne pas l'être quand les médias modernes colportent l'image de la réussite facile et du "et pourquoi pas toi?'. Baker aurait pu raccourcir un peu son film sans qu'il perde de saveur, ni certaines scènes comiques dans cette ambiance dramatique. Le casting qui va accompagner Ani dans cette virée nocturne est plutôt réussi, à commencer par Toros le parrain orthodoxe, spoiler: tremblant de peur devant son patron, alors qu'il a beaucoup plus à craindre de la patronne!
Au final, Baker ne nous laisse pas sans une petite lumière au beau milieu de cet étalage de méchanceté friquée, spoiler: et le cadeau du garde du corps Igor, est double: une belle bague de mariage, mais aussi la redécouverte de la vraie Anora qui se cachait derrière la "fucking" Ani.
Valait le coup d'être vu mais la Palme d'or est un mystère pour moi. cinéma - novembre 24
J'ai beaucoup apprécié le film, les jeux d'acteurs sont top ainsi que le rythme et par moment j'ai bien rigolé. Après je ne sais pas s'il mérite réellement la palme d'or car le film à quand même des défauts je trouve mais c'était vraiment bon
Un film justement primé à Cannes.... très bien filmé... On pense notamment à Parasites ou Pulp fiction pour le style vif et déjanté. L'héroïne est une bonne trouvaille. Trop de sexe ou vidéos, mais une sorte de théâtre ou huis clos en 5 actes assez prenants