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P ow HFT
1 abonné
137 critiques
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3,5
Publiée le 12 novembre 2024
Une stripteaseuse tombe amoureuse du fils écervelé d' un très riche russe. Sexe, drogue et alcool émaillent toute la première partie du film avec quelques redondances. Puis dans la seconde partie le film tourne vers la comédie avec des méchants dans le style de "maman j' ai raté l' avion". de bonnes scènes qui font sourire voir rire. Pas mal donc mais palme d' or ??? Un bon point cependant pour la scène finale émouvante qui remets un peu de sincérité et de vérité dans ce film.
OK, c’est provocateur mais donner la palme d’or à ça ! On est loin de Parasite. Les 30 premières minutes pour « introduire » le sujet sont interminables. Heureusement, il y a beaucoup de scènes drôles par la suite. J’ai aimé la fin. Mais il n’est pas sûr que je serais resté jusqu’au bout si je n’avais pas payer ma place.
Film soporifique : la prostituée et le milliardaire. Scénario lenifiant, personnage sans profondeur et certaines scènes plagiees à Pretty Women. Sans intérêt.....
La vitalité de ce film! Tant d’émotions nous traversent! La première partie du film est une merveille : on les voit dans leur aveuglement leur inconséquence, on ressent bien qu’ils vont se prendre le mur mais c’est tellement réjouissant à la fois … qd on a un peu de rides et de cheveux elle nous rappelle tant la jouissance de ses moments là… si suspendus ou seule l’euphorie comptait et Même si ce n’est qu’un théâtre du futil. Outre cela, tant par Mikey Madison, sa grâce infinie, sa vitalité (et même par son physique), que par le scénario j’ai beaucoup pensé à Breakfast at Ttiffany’s et Audrey Hepburn. Les codes ne sont plus les mêmes certes mais pour le reste le même burlesque, le souci de soigner chaque personnage secondaire, une trame si sensible, digne et la grâce dévastatrice de l’héroïne … un scénario où on est profondément touché de voir grandir la personne. Je lis dans les critiques que la palme était peut être un peu de trop : et moi je ne le pense pas … c’est du véritable grand cinéma il caresse nombre de sujets sociaux, intimes et très contemporains à la fois il nous embarque dans des émotions de tout type dans un rythme soutenu, la photo est merveilleuse et illustre l’éblouissement et le réveil cru … c’est du cinéma pour grand public tout en étant profondément intime et universel. Vous l’aurez compris : je reste bloquée sous le charme et prête à le revoir très vite.
un film ni bon, ni mauvais, sans grand intérêt si ce n'est de faire briller le rôle principal. L'histoire peine à décoller et les dialogues sont vides de sens...
C’est une comédie déjantée portée par l’excellente Mikey Madison. Nous sommes amenés à nous poser des questions sur notre rapport à la drogue la plus dangereuse au monde. Jusqu’où ait on prêt à aller pour gagner de l’argent? Ou se trouve la morale et quelles sont les limites de la richesse.
Il y a erreur, j'ai le plaisir de vous annoncer que la Palme d'or revient au film Les graines du figuier sauvage ! Anora est un film criard et sans intéret, dépourvu de toute émotion, et comme le metteur en scène s'est aperçu que son film ne valait rien, il a eu la mauvaise idée de faire hurler ses acteurs pendant 2h20, au cas où ça sauverait le film... Bref, ce déferlement d'images hystérique ne mérite même pas qu'on s'y intéresse.
Un conte extraordinaire, pour un public averti. Partir de la réalité, se laisser porter par le rêve, Anora va revenir dans la réalité malgré elle. Très beau film.
J'étais très impatient de voir ce film et j'ai finalement été très déçu. Le scénario n'est pas recherché et le film est très long, rien que l'intro prend 1h. Je ne sais pas ce qui m'a échappé, je ne comprends pas que ce film ait eu la palme d'or
C’est tout simplement imbuvable. L’idée aurait pu être intéressante et c’est la débandade complète. Rien est beau, tout hurle de vulgarité pas même sincère. C’est mal filmé et sans épaisseur.
Un film étrange... Il attire l'attention par sa Palme d'Or à Cannes. Il joue de l'iconoclasme avec un récit décalé, du sexe, et des paillettes. Il est à moitié en russe, une langue moins en cours depuis les événements d'Ukraine. Il est totalement dans l'outrance, comme son jeune héros. Un jeune immature qui vit au crochet de son père milliardaire. Il nous emporte dans les délires de jeunes oisifs qui dépensent sans compter, et ont une vie dorée sur tranche qu'ils brûlent par toutes les chandelles. "Anora" est assurément un film qui ne ressemble à rien, sinon à ces vidéos pimentées qu'on trouve sur les réseaux sociaux pour attirer l'oeil blasé de l'internaute. Son récit est aussi futile, sa débauche d'images frôle la provocation, l'excès, l'overdose de mauvais goût... Pourtant le spectateur se fait happer par cette outrance et par un récit à cent à l'heure, sans temps mort, surtout quand la famille russe et ses représentants arméniens se mêlent du conte de fée à la "pretty woman". Le délire s'installe, et avec lui, les rires des spectateurs. Cela vire à la comédie loufoque, avec des personnages qui se lâchent et deviennent incontrôlables. Après tout, pourquoi pas ? Le Festival de Cannes devait s'ennuyer et a donné une prime au film le plus déjanté. Celui qui rappelle sous certains aspects la Palme d'or 2019, autrement dit le film coréen "Parasite". Ici comme là, les parasites sont à l'oeuvre dans leur vie grand-guignolesque. Y-a-t-il seulement une morale dans tout cela, ou simplement un fil directeur ? Non, pas vraiment.... Le mauvais goût et l'absence de tous principes sont la norme, et le spectateur exulte devant ces frasques. Au final, au-delà de la bonne poilade, on sort un peu vide de cette forme de cinéma. Le cinéphile reconnaîtra quand même au réalisateur Sean Baker, un vrai talent. Il nous cuisine avec des ingrédients un peu lourds une choucroute bien garnie qui tient bien à l'estomac.
• Interprétation de Mikey Madison : Mikey Madison livre une performance exceptionnelle 🎭 • Humour irrésistible : Le film est ponctué de moments hilarants, rend le visionnage encore plus agréable 😂 • Une intrigue captivante : Passées les premières 30 minutes, le film devient très prenant, impossible de décrocher 🎬 • Écriture immersive : L’écriture est si bien faite qu’on se met facilement à la place des personnages, ressentant leurs émotions et leurs dilemmes ✍🏾 • Réalisme percutant : Chaque scène sonne vrai 🌍 • Personnages bien définis : Chaque personnage a sa propre personnalité et ses traits distinctifs, ce qui rend l’histoire d’autant plus riche 👥 • Divertissement garanti : Les deux heures filent sans qu’on s’en aperçoive, preuve de la réussite du film à captiver son public 🕒
Points faibles :
• La fin décevante : J’ai eu beaucoup de mal avec la fin, qui laisse une impression mitigée 🎬
Note : 8/10 🌟
Description : Deux heures qui passent en un éclair ! À éviter toutefois en famille ou avec des enfants, car certains passages sont plutôt osés.
Un film de Sean Baker récompensé par la Palme d'or du festival de Cannes : 2 bonnes raisons de courir voir "Anora". Et en fin de compte, c'est un bilan mitigé. Certes, c'est encore une fois très bien filmé, très rythmé. Certes, c'est de nouveau un film social intelligent. Mais il y a comme le sentiment d'un manque de nuance dans le fond et d'hystérie dans la forme. Cette histoire de Cendrillon 2.0 manque de crédibilité et tire à l'extrême la frustration sociale. C'est la première fois que Sean Baker met de côté la subtilité de son cinéma et il est surprenant que ce soit son film le plus simple qui soit récompensé. On ne retrouve finalement l'âme de Sean Baker que dans la dernière scène tournée dans l'habitacle de la voiture. La plus belle scène. Divertissant mais moins fin qu'escompté.