Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
45 critiques presse
Abus de Ciné
par Christophe Brangé
Si son personnage rêvait de changer de vie, ce rôle-là devrait en faire de même pour l’actrice tant elle irradie la pellicule. Une Palme d’Or grand public, sexy, cocasse et surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Bande à part
par Benoit Basirico
Sean Baker nous entraîne dans une odyssée sentimentale à travers les marges étincelantes de l’Amérique, où se mêlent l’amour et la fureur, les éclats de rire et les larmes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Porté par l’énergie d’un casting brillant qui donne tout, Anora s’impose comme le meilleur film de Sean Baker et le meilleur d’un cinéma indépendant américain capable de faire du grand cinéma avec des personnages et des récits pas formatés. Tout ça en regardant l’Amérique et ses fictions de travers. Que demander de plus ?
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet et Jean-François Dickeli
"Anora" s’inscrit dans la lignée (rare) de Palmes d’Or qui se posent en classiques pop instantanés [...]. Du très grand art.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
GQ
par Adam Sanchez
D'une drôlerie et d'une férocité inouïes (imaginez la Julia Roberts de "Pretty Woman" jetée dans le New York féroce d'"Uncut Gems" des frères Safdie) [...].
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Septième Obsession
par Jérémie Oro
Curieuse fin que celle d’ANORA, qui, en faisant se rencontrer deux âmes n’ayant jamais été définies comme telles, mais par leur corps et la meilleure manière de s’en servir, met soudain le spectateur face à ses responsabilités dans toute cette histoire. À vous de faire mieux la prochaine fois, nous susurre Sean Baker. Comment dit-on déjà ? Ah oui. Ça valait bien une Palme d’or.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On se croirait dans After Hours, de Scorsese. Et puis, quand on commence à se dire que c’est peut-être limite de rire des tuiles de tous ces personnages, l’une désespérément accrochée à son unique sortie de secours, les autres littéralement pitoyables, Sean Baker remet les pendules à l’heure avec un final à l’intensité émotionnelle terrassante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit nous entraîne dans des directions inattendues, joue sur les ruptures de ton et ne cesse de se réinventer, sans aucun temps mort, pathos ni jugement moral.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
À la fois chronique de mœurs lancinante et road movie frénétique jusqu’au vertige, la Palme d’or de Sean Baker dresse un portrait ludique et désabusé de l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Philippe Lemoine
Une pure comédie déjantée.
Positif
par Frédéric Mercier
Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Un grand film sur le sexe.
Télé Loisirs
par M.L.
"Anora" possède une énergie et un charme dévastateurs.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Terrain de jeu mystificateur où seuls les jeunes maraboutés par les règles du jeu libéral semblent avoir un idéal, le décor d’Anora n’a pas besoin de papiers peints criards pour changer l’Amérique en chambre d’enfant ou en parc Disney.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les liaisons bling-bling sont dangereuses.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"Anora" est le meilleur film de Sean Baker, une odyssée enivrante, hilarante et déchirante qui déconstruit un peu plus l’American Dream.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Dans ce film drôle, enlevé et déjanté, Mikey Madison irradie à chaque plan.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Parmi les points forts qui justifient la Palme d'or reçue à Cannes, notons la maîtrise du récit, son habile mélange tragi-comique, la force du personnage d'Anora, et des effets visuels savamment dosés.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Anora" reflète l'air du temps dans le récit d'une femme, a priori soumise par sa dépendance pécuniaire à l'égard des hommes et qui, en fait, mène le jeu. Le film en tire une originalité et une identité fortes, exigeantes et en même temps populaires, au sujet et au traitement très contemporain, dans sa photographie, son rythme et sa psychologie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Pour son huitième long métrage, Sean Baker épouse la forme du conte de fées pour mieux lui remettre les pendules à l’heure, déviante, du capitalisme sauvage américain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Casting parfait – de Mikey Madison (Anora), entraperçue dans « Once Upon a Time… in Hollywood » de Tarantino, à Yuriy Borisov (un des sbires russes), découvert dans « Compartiment n°6 » –, caractérisation subtile et critique sociale nourrissent cette réinvention contemporaine, crue et attachante, de la screwball comedy.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Ce film épatant, qui casse les codes de la comédie romantique, révèle une brillante comédienne, Mikey Madison.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
Un conte de fées des temps modernes tout en énergie survoltée, mâtiné de thriller et de comédie, mais aussi une satire puissante du capitalisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La comédie romantique la plus intense, folle et imprévisible vue depuis longtemps.
Le Figaro
par F.D.
Avec Anora, Sean Baker passe du trivial au sentimental, du rire au serrement de cœur avec un naturel rafraîchissant et une sincérité qui fait mouche. Il en résulte un film qui étonne et réjouit par sa tonalité. On lit la patte d'un cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Hanté par Le Magicien d’Oz, dont il adopte souvent sa structure scindée entre rêve et réalité, Sean Baker organise la collision entre beauté des mirages et lucidité politique. Anora, ce serait Pretty Woman, mais monté à l’envers – en somme, remis dans le bon ordre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très réussi, formidablement interprété – Sean Baker a le chic pour révéler d’épatants comédiens « atypiques », ici l’incroyable Mikey Madison, 25 ans, sidérante d’énergie –, l’iconoclaste et déjanté « Anora » n’a certainement pas volé sa Palme (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
On rit, on pleure, on est pris dans un tourbillon de charme nommé Mikey Madison.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Fable new-yorkaise et vrai conte cruel sur les travailleuses du sexe, « Anora » est un beau film tissé d'humour et de mélancolie, lesté d'une Palme d'or surdimensionnée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
La dette aux frères Safdie est indéniable, le film virant vers une sorte de thriller new-yorkais hyperréel à partir de sa scène centrale, la plus marquante (...). S’ensuit un tunnel de poursuites sans sommeil faisant défiler un Little Odessa aussi tangible et saisissant de réalité que le Queens de "Good Time" (Josh et Ben Safdie), mixture de travail, de rites, de fête où chaque visage anonyme s’incarne avec une puissance d’épiphanie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Du Anton Tchekhov dans les rues d’Abel Ferrara.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Sans renoncer à ses obsessions et à sa gaité, Sean Baker, longtemps cantonné à un cinéma indépendant, s'est hissé sous les feux de la rampe, réalisant, lui aussi, un peu de son rêve américain.
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Ce pur film indépendant prend constamment des risques et réussit à insérer un véritable propos sans oublier de divertir.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Paris Match
par Yannick Vely
Voici donc la Palme d’or du dernier Festival de Cannes, un film généreux, grand public, avec un cœur gros comme ça et des acteurs fabuleux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Car si Anora se présente comme une comédie, c’est la puissance émotionnelle de son dernier acte qui fait vraiment son prix – et permet d’excuser les détours parfois un peu longuets pris en chemin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Résultat des courses (-poursuites) : un film mémorable, une Palme méritée.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par M.L.
Une comédie matinée de romance, aussi émouvante que burlesque dans laquelle la jeune Mikey Madison emporte tout.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une Palme jubilatoire.
Version Femina
par Hadrien Machart
Malgré quelques longueurs, Anora justifie son prestigieux prix par une écriture audacieuse, une mise en scène maîtrisée, une image soignée et une interprétation irréprochable. A voir.
Voici
par V.C.
Cette anti rom-com, entre le Spring Breakers d'Harmony Korine et le film noir grinçant sous l'influence des frères Coen, se pose comme l’œuvre miroir du nihilisme affectif qui caractérise notre époque.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Pour faire le récit de cet amour contrarié, Anora carbure à une esthétique de la vitesse. Mais c'est lorsque le film ralentit qu'il convainc le plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Konbini
par Adrien Delage
Si l’on a pris un plaisir certain devant le nouveau film du réalisateur américain, son plus drôle à ce jour, Anora ne tient malheureusement pas la promesse, pourtant simple, de son titre, en n’épousant qu’assez peu le point de vue de l’héroïne pour finalement s’avérer être un film de cavale, certes jouissif, mais assez classique dans sa construction.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une épopée inventive, divertissante, et tranchante dans sa description de la société américaine : les sentiments d'Anora se fracassent contre le mur du mépris de classe. Sean Baker nous captive, mais nous émeut moins que dans ses précédentes perles.
Télérama
par Samuel Douhaire
L’énergie communicative du film, malgré une durée excessive, doit beaucoup aussi à la prestation ébouriffante de son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Récit d’un état d’instrumentalisation des femmes vulnérables aux États-Unis et d’une oligarchie méprisante russe dans nos sociétés contemporaines, Anora met à l’honneur une actrice talentueuse au service d’un scénario cousu de fil blanc et assez superficiel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
Si son personnage rêvait de changer de vie, ce rôle-là devrait en faire de même pour l’actrice tant elle irradie la pellicule. Une Palme d’Or grand public, sexy, cocasse et surprenante.
Bande à part
Sean Baker nous entraîne dans une odyssée sentimentale à travers les marges étincelantes de l’Amérique, où se mêlent l’amour et la fureur, les éclats de rire et les larmes.
CinemaTeaser
Porté par l’énergie d’un casting brillant qui donne tout, Anora s’impose comme le meilleur film de Sean Baker et le meilleur d’un cinéma indépendant américain capable de faire du grand cinéma avec des personnages et des récits pas formatés. Tout ça en regardant l’Amérique et ses fictions de travers. Que demander de plus ?
Culturopoing.com
"Anora" s’inscrit dans la lignée (rare) de Palmes d’Or qui se posent en classiques pop instantanés [...]. Du très grand art.
GQ
D'une drôlerie et d'une férocité inouïes (imaginez la Julia Roberts de "Pretty Woman" jetée dans le New York féroce d'"Uncut Gems" des frères Safdie) [...].
La Septième Obsession
Curieuse fin que celle d’ANORA, qui, en faisant se rencontrer deux âmes n’ayant jamais été définies comme telles, mais par leur corps et la meilleure manière de s’en servir, met soudain le spectateur face à ses responsabilités dans toute cette histoire. À vous de faire mieux la prochaine fois, nous susurre Sean Baker. Comment dit-on déjà ? Ah oui. Ça valait bien une Palme d’or.
La Voix du Nord
On se croirait dans After Hours, de Scorsese. Et puis, quand on commence à se dire que c’est peut-être limite de rire des tuiles de tous ces personnages, l’une désespérément accrochée à son unique sortie de secours, les autres littéralement pitoyables, Sean Baker remet les pendules à l’heure avec un final à l’intensité émotionnelle terrassante.
Le Journal du Dimanche
Le récit nous entraîne dans des directions inattendues, joue sur les ruptures de ton et ne cesse de se réinventer, sans aucun temps mort, pathos ni jugement moral.
Les Fiches du Cinéma
À la fois chronique de mœurs lancinante et road movie frénétique jusqu’au vertige, la Palme d’or de Sean Baker dresse un portrait ludique et désabusé de l’Amérique.
Ouest France
Une pure comédie déjantée.
Positif
Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité.
Transfuge
Un grand film sur le sexe.
Télé Loisirs
"Anora" possède une énergie et un charme dévastateurs.
Cahiers du Cinéma
Terrain de jeu mystificateur où seuls les jeunes maraboutés par les règles du jeu libéral semblent avoir un idéal, le décor d’Anora n’a pas besoin de papiers peints criards pour changer l’Amérique en chambre d’enfant ou en parc Disney.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les liaisons bling-bling sont dangereuses.
Ecran Large
"Anora" est le meilleur film de Sean Baker, une odyssée enivrante, hilarante et déchirante qui déconstruit un peu plus l’American Dream.
Elle
Dans ce film drôle, enlevé et déjanté, Mikey Madison irradie à chaque plan.
Femme Actuelle
Parmi les points forts qui justifient la Palme d'or reçue à Cannes, notons la maîtrise du récit, son habile mélange tragi-comique, la force du personnage d'Anora, et des effets visuels savamment dosés.
Franceinfo Culture
"Anora" reflète l'air du temps dans le récit d'une femme, a priori soumise par sa dépendance pécuniaire à l'égard des hommes et qui, en fait, mène le jeu. Le film en tire une originalité et une identité fortes, exigeantes et en même temps populaires, au sujet et au traitement très contemporain, dans sa photographie, son rythme et sa psychologie.
L'Humanité
Pour son huitième long métrage, Sean Baker épouse la forme du conte de fées pour mieux lui remettre les pendules à l’heure, déviante, du capitalisme sauvage américain.
L'Obs
Casting parfait – de Mikey Madison (Anora), entraperçue dans « Once Upon a Time… in Hollywood » de Tarantino, à Yuriy Borisov (un des sbires russes), découvert dans « Compartiment n°6 » –, caractérisation subtile et critique sociale nourrissent cette réinvention contemporaine, crue et attachante, de la screwball comedy.
LCI
Ce film épatant, qui casse les codes de la comédie romantique, révèle une brillante comédienne, Mikey Madison.
La Croix
Un conte de fées des temps modernes tout en énergie survoltée, mâtiné de thriller et de comédie, mais aussi une satire puissante du capitalisme.
Le Dauphiné Libéré
La comédie romantique la plus intense, folle et imprévisible vue depuis longtemps.
Le Figaro
Avec Anora, Sean Baker passe du trivial au sentimental, du rire au serrement de cœur avec un naturel rafraîchissant et une sincérité qui fait mouche. Il en résulte un film qui étonne et réjouit par sa tonalité. On lit la patte d'un cinéaste.
Le Monde
Hanté par Le Magicien d’Oz, dont il adopte souvent sa structure scindée entre rêve et réalité, Sean Baker organise la collision entre beauté des mirages et lucidité politique. Anora, ce serait Pretty Woman, mais monté à l’envers – en somme, remis dans le bon ordre.
Le Parisien
Très réussi, formidablement interprété – Sean Baker a le chic pour révéler d’épatants comédiens « atypiques », ici l’incroyable Mikey Madison, 25 ans, sidérante d’énergie –, l’iconoclaste et déjanté « Anora » n’a certainement pas volé sa Palme (...).
Le Point
On rit, on pleure, on est pris dans un tourbillon de charme nommé Mikey Madison.
Les Echos
Fable new-yorkaise et vrai conte cruel sur les travailleuses du sexe, « Anora » est un beau film tissé d'humour et de mélancolie, lesté d'une Palme d'or surdimensionnée.
Les Inrockuptibles
La dette aux frères Safdie est indéniable, le film virant vers une sorte de thriller new-yorkais hyperréel à partir de sa scène centrale, la plus marquante (...). S’ensuit un tunnel de poursuites sans sommeil faisant défiler un Little Odessa aussi tangible et saisissant de réalité que le Queens de "Good Time" (Josh et Ben Safdie), mixture de travail, de rites, de fête où chaque visage anonyme s’incarne avec une puissance d’épiphanie.
Libération
Du Anton Tchekhov dans les rues d’Abel Ferrara.
Marie Claire
Sans renoncer à ses obsessions et à sa gaité, Sean Baker, longtemps cantonné à un cinéma indépendant, s'est hissé sous les feux de la rampe, réalisant, lui aussi, un peu de son rêve américain.
Nice-Matin
Ce pur film indépendant prend constamment des risques et réussit à insérer un véritable propos sans oublier de divertir.
Paris Match
Voici donc la Palme d’or du dernier Festival de Cannes, un film généreux, grand public, avec un cœur gros comme ça et des acteurs fabuleux.
Première
Car si Anora se présente comme une comédie, c’est la puissance émotionnelle de son dernier acte qui fait vraiment son prix – et permet d’excuser les détours parfois un peu longuets pris en chemin.
Rolling Stone
Résultat des courses (-poursuites) : un film mémorable, une Palme méritée.
Télé 2 semaines
Une comédie matinée de romance, aussi émouvante que burlesque dans laquelle la jeune Mikey Madison emporte tout.
Télé 7 Jours
Une Palme jubilatoire.
Version Femina
Malgré quelques longueurs, Anora justifie son prestigieux prix par une écriture audacieuse, une mise en scène maîtrisée, une image soignée et une interprétation irréprochable. A voir.
Voici
Cette anti rom-com, entre le Spring Breakers d'Harmony Korine et le film noir grinçant sous l'influence des frères Coen, se pose comme l’œuvre miroir du nihilisme affectif qui caractérise notre époque.
Critikat.com
Pour faire le récit de cet amour contrarié, Anora carbure à une esthétique de la vitesse. Mais c'est lorsque le film ralentit qu'il convainc le plus.
Konbini
Si l’on a pris un plaisir certain devant le nouveau film du réalisateur américain, son plus drôle à ce jour, Anora ne tient malheureusement pas la promesse, pourtant simple, de son titre, en n’épousant qu’assez peu le point de vue de l’héroïne pour finalement s’avérer être un film de cavale, certes jouissif, mais assez classique dans sa construction.
Sud Ouest
Une épopée inventive, divertissante, et tranchante dans sa description de la société américaine : les sentiments d'Anora se fracassent contre le mur du mépris de classe. Sean Baker nous captive, mais nous émeut moins que dans ses précédentes perles.
Télérama
L’énergie communicative du film, malgré une durée excessive, doit beaucoup aussi à la prestation ébouriffante de son actrice principale.
aVoir-aLire.com
Récit d’un état d’instrumentalisation des femmes vulnérables aux États-Unis et d’une oligarchie méprisante russe dans nos sociétés contemporaines, Anora met à l’honneur une actrice talentueuse au service d’un scénario cousu de fil blanc et assez superficiel.