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    Anora
    Note moyenne
    4,2
    45 titres de presse
    • Abus de Ciné
    • Bande à part
    • CinemaTeaser
    • Culturopoing.com
    • GQ
    • La Septième Obsession
    • La Voix du Nord
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Fiches du Cinéma
    • Ouest France
    • Positif
    • Transfuge
    • Télé Loisirs
    • Cahiers du Cinéma
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Ecran Large
    • Elle
    • Femme Actuelle
    • Franceinfo Culture
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • LCI
    • La Croix
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Le Point
    • Les Echos
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Marie Claire
    • Nice-Matin
    • Paris Match
    • Première
    • Rolling Stone
    • Télé 2 semaines
    • Télé 7 Jours
    • Version Femina
    • Voici
    • Critikat.com
    • Konbini
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    45 critiques presse

    Abus de Ciné

    par Christophe Brangé

    Si son personnage rêvait de changer de vie, ce rôle-là devrait en faire de même pour l’actrice tant elle irradie la pellicule. Une Palme d’Or grand public, sexy, cocasse et surprenante.

    La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné

    Bande à part

    par Benoit Basirico

    Sean Baker nous entraîne dans une odyssée sentimentale à travers les marges étincelantes de l’Amérique, où se mêlent l’amour et la fureur, les éclats de rire et les larmes.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CinemaTeaser

    par Renan Cros

    Porté par l’énergie d’un casting brillant qui donne tout, Anora s’impose comme le meilleur film de Sean Baker et le meilleur d’un cinéma indépendant américain capable de faire du grand cinéma avec des personnages et des récits pas formatés. Tout ça en regardant l’Amérique et ses fictions de travers. Que demander de plus ?

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Culturopoing.com

    par Vincent Nicolet et Jean-François Dickeli

    "Anora" s’inscrit dans la lignée (rare) de Palmes d’Or qui se posent en classiques pop instantanés [...]. Du très grand art.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    GQ

    par Adam Sanchez

    D'une drôlerie et d'une férocité inouïes (imaginez la Julia Roberts de "Pretty Woman" jetée dans le New York féroce d'"Uncut Gems" des frères Safdie) [...].

    La critique complète est disponible sur le site GQ

    La Septième Obsession

    par Jérémie Oro

    Curieuse fin que celle d’ANORA, qui, en faisant se rencontrer deux âmes n’ayant jamais été définies comme telles, mais par leur corps et la meilleure manière de s’en servir, met soudain le spectateur face à ses responsabilités dans toute cette histoire. À vous de faire mieux la prochaine fois, nous susurre Sean Baker. Comment dit-on déjà ? Ah oui. Ça valait bien une Palme d’or.

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    On se croirait dans After Hours, de Scorsese. Et puis, quand on commence à se dire que c’est peut-être limite de rire des tuiles de tous ces personnages, l’une désespérément accrochée à son unique sortie de secours, les autres littéralement pitoyables, Sean Baker remet les pendules à l’heure avec un final à l’intensité émotionnelle terrassante.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Le récit nous entraîne dans des directions inattendues, joue sur les ruptures de ton et ne cesse de se réinventer, sans aucun temps mort, pathos ni jugement moral.

    Les Fiches du Cinéma

    par Michael Ghennam

    À la fois chronique de mœurs lancinante et road movie frénétique jusqu’au vertige, la Palme d’or de Sean Baker dresse un portrait ludique et désabusé de l’Amérique.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Ouest France

    par Philippe Lemoine

    Une pure comédie déjantée.

    Positif

    par Frédéric Mercier

    Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité.

    Transfuge

    par Jean-Noël Orengo

    Un grand film sur le sexe.

    Télé Loisirs

    par M.L.

    "Anora" possède une énergie et un charme dévastateurs.

    Cahiers du Cinéma

    par Yal Sadat

    Terrain de jeu mystificateur où seuls les jeunes maraboutés par les règles du jeu libéral semblent avoir un idéal, le décor d’Anora n’a pas besoin de papiers peints criards pour changer l’Amérique en chambre d’enfant ou en parc Disney. 

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Les liaisons bling-bling sont dangereuses.

    Ecran Large

    par Alexandre Janowiak

    "Anora" est le meilleur film de Sean Baker, une odyssée enivrante, hilarante et déchirante qui déconstruit un peu plus l’American Dream.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    Elle

    par Françoise Delbecq

    Dans ce film drôle, enlevé et déjanté, Mikey Madison irradie à chaque plan.

    Femme Actuelle

    par La Rédaction

    Parmi les points forts qui justifient la Palme d'or reçue à Cannes, notons la maîtrise du récit, son habile mélange tragi-comique, la force du personnage d'Anora, et des effets visuels savamment dosés.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    "Anora" reflète l'air du temps dans le récit d'une femme, a priori soumise par sa dépendance pécuniaire à l'égard des hommes et qui, en fait, mène le jeu. Le film en tire une originalité et une identité fortes, exigeantes et en même temps populaires, au sujet et au traitement très contemporain, dans sa photographie, son rythme et sa psychologie.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Humanité

    par Cyprien Caddeo

    Pour son huitième long métrage, Sean Baker épouse la forme du conte de fées pour mieux lui remettre les pendules à l’heure, déviante, du capitalisme sauvage américain.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Casting parfait – de Mikey Madison (Anora), entraperçue dans « Once Upon a Time… in Hollywood » de Tarantino, à Yuriy Borisov (un des sbires russes), découvert dans « Compartiment n°6 » –, caractérisation subtile et critique sociale nourrissent cette réinvention contemporaine, crue et attachante, de la screwball comedy.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    LCI

    par Jérôme Vermelin

    Ce film épatant, qui casse les codes de la comédie romantique, révèle une brillante comédienne, Mikey Madison.

    La critique complète est disponible sur le site LCI

    La Croix

    par Céline Rouden

    Un conte de fées des temps modernes tout en énergie survoltée, mâtiné de thriller et de comédie, mais aussi une satire puissante du capitalisme.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    La comédie romantique la plus intense, folle et imprévisible vue depuis longtemps.

    Le Figaro

    par F.D.

    Avec Anora, Sean Baker passe du trivial au sentimental, du rire au serrement de cœur avec un naturel rafraîchissant et une sincérité qui fait mouche. Il en résulte un film qui étonne et réjouit par sa tonalité. On lit la patte d'un cinéaste.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Monde

    par M. Jo.

    Hanté par Le Magicien d’Oz, dont il adopte souvent sa structure scindée entre rêve et réalité, Sean Baker organise la collision entre beauté des mirages et lucidité politique. Anora, ce serait Pretty Woman, mais monté à l’envers – en somme, remis dans le bon ordre.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    Très réussi, formidablement interprété – Sean Baker a le chic pour révéler d’épatants comédiens « atypiques », ici l’incroyable Mikey Madison, 25 ans, sidérante d’énergie –, l’iconoclaste et déjanté « Anora » n’a certainement pas volé sa Palme (...).

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Le Point

    par La Rédaction

    On rit, on pleure, on est pris dans un tourbillon de charme nommé Mikey Madison.

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    Fable new-yorkaise et vrai conte cruel sur les travailleuses du sexe, « Anora » est un beau film tissé d'humour et de mélancolie, lesté d'une Palme d'or surdimensionnée.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Les Inrockuptibles

    par Théo Ribeton

    La dette aux frères Safdie est indéniable, le film virant vers une sorte de thriller new-yorkais hyperréel à partir de sa scène centrale, la plus marquante (...). S’ensuit un tunnel de poursuites sans sommeil faisant défiler un Little Odessa aussi tangible et saisissant de réalité que le Queens de "Good Time" (Josh et Ben Safdie), mixture de travail, de rites, de fête où chaque visage anonyme s’incarne avec une puissance d’épiphanie.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Luc Chessel

    Du Anton Tchekhov dans les rues d’Abel Ferrara.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Sans renoncer à ses obsessions et à sa gaité, Sean Baker, longtemps cantonné à un cinéma indépendant, s'est hissé sous les feux de la rampe, réalisant, lui aussi, un peu de son rêve américain.

    Nice-Matin

    par Cédric Coppola

    Ce pur film indépendant prend constamment des risques et réussit à insérer un véritable propos sans oublier de divertir.

    La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Voici donc la Palme d’or du dernier Festival de Cannes, un film généreux, grand public, avec un cœur gros comme ça et des acteurs fabuleux.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Frédéric Foubert

    Car si Anora se présente comme une comédie, c’est la puissance émotionnelle de son dernier acte qui fait vraiment son prix – et permet d’excuser les détours parfois un peu longuets pris en chemin.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Rolling Stone

    par Sophie Rosemont

    Résultat des courses (-poursuites) : un film mémorable, une Palme méritée.

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    Télé 2 semaines

    par M.L.

    Une comédie matinée de romance, aussi émouvante que burlesque dans laquelle la jeune Mikey Madison emporte tout.

    Télé 7 Jours

    par Julien Barcilon

    Une Palme jubilatoire.

    Version Femina

    par Hadrien Machart

    Malgré quelques longueurs, Anora justifie son prestigieux prix par une écriture audacieuse, une mise en scène maîtrisée, une image soignée et une interprétation irréprochable. A voir.

    Voici

    par V.C.

    Cette anti rom-com, entre le Spring Breakers d'Harmony Korine et le film noir grinçant sous l'influence des frères Coen, se pose comme l’œuvre miroir du nihilisme affectif qui caractérise notre époque.

    Critikat.com

    par Thomas Grignon

    Pour faire le récit de cet amour contrarié, Anora carbure à une esthétique de la vitesse. Mais c'est lorsque le film ralentit qu'il convainc le plus.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Konbini

    par Adrien Delage

    Si l’on a pris un plaisir certain devant le nouveau film du réalisateur américain, son plus drôle à ce jour, Anora ne tient malheureusement pas la promesse, pourtant simple, de son titre, en n’épousant qu’assez peu le point de vue de l’héroïne pour finalement s’avérer être un film de cavale, certes jouissif, mais assez classique dans sa construction.

    Sud Ouest

    par Julien Rousset

    Une épopée inventive, divertissante, et tranchante dans sa description de la société américaine : les sentiments d'Anora se fracassent contre le mur du mépris de classe. Sean Baker nous captive, mais nous émeut moins que dans ses précédentes perles.

    Télérama

    par Samuel Douhaire

    L’énergie communicative du film, malgré une durée excessive, doit beaucoup aussi à la prestation ébouriffante de son actrice principale.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Récit d’un état d’instrumentalisation des femmes vulnérables aux États-Unis et d’une oligarchie méprisante russe dans nos sociétés contemporaines, Anora met à l’honneur une actrice talentueuse au service d’un scénario cousu de fil blanc et assez superficiel.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
    Les meilleurs films de tous les temps
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