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Punch Drunk Love procède d'une espèce de collage aux couleurs violentes, au formes abruptes, concentré dans la durée (le film dure moitié moins que Magnolia, la précédente réalisation de Paul Thomas Anderson), dont émerge une poésie étonnamment délicate.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Il faut souhaiter tout le bonheur possible à ce film très réussi (...). Il y a même parfois du Jacques Tati dans cette affaire qui se nourrit d'une jolie romance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paul Thomas Anderson a du succès et du talent. Seule crainte : qu'il le sache. Seul espoir : qu'il le sache et s'en moque. Pour mieux continuer à tourner des films audacieux et insolents. Ou, comme Punch-Drunk Love, radieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Il y a du Blake Edwards (celui de La Party) dans Punch-Drunk Love : c'est-à-dire un grain de folie (pour ravager les toiles d'un restaurant chic pour calmer une contrariété), de la musique (direction Hawaii) et une envie (dingue, bien sûr) de profiter de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Peut-être n'y a-t-il dans Punch-drunk love que très peu d'enjeux psychologiques, une tendance effrontée à la désincarnation et à l'épure, mais qu'importe : le mélodrame, fusse-t-il une simple boîte à vent, petit orgue de barbarie aux allures d'harmonium lunaire, y retrouve pour un instant ses lettres de noblesse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le résultat peut, si l'on est mal luné, agacer par ce qu'il contient, à l'évidence, d'artifice revendiqué. Mais on devrait plutôt en sortir tout sourire avec, en prime, le sentiment que derrière l'histoire farfelue et la romance de carton pâte, quelque chose de grinçant reste en suspens, et qui pourrait bien être une nouvelle pierre dans le jardin d'une Amérique où les Candide ont bien du mal à tirer leur naïveté d'un jeu truqué par l'argent et les préjugés. Un film qui, en tout cas, prouve l'éclectisme de son auteur, et son esprit d'indépendance.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Avec une entrée en matière saisissante de précision et d'imprévu, le réalisateur prouve qu'il est bien l'un des enfants terribles les plus doués du jeune cinéma américain. Navigant efficacement entre comédie romantique et humour cartoonesque, ce plaisir finit, hélas, par tomber trop vite dans la facilité.
Prix de la mise en scène à Cannes 2002. Pas étonnant, il n'y a que ça, de la mise en scène dans cette fable sur un semi-demeuré, énième Forrest Gump. Une fois passé l'étonnement des premières minutes, énigmatiques, le héros, très gadget avec ses manies pittoresques, ses idio(t)syncrasies, s'avère aussi abstrait que le récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mais le problème de Punch-drunk Love est comparable à la durée de vie d'un chewing-gum. Au début, on mâche, le goût emporte le palais mais, à force de mastiquer, on se retrouve avec un vieux plastique dans la bouche. Qui a envie de ça ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
Un bataclan composé d'éléments en eux-mêmes intéressants : Adam Sandler surprend, Emily Watson est à croquer, la musique de percussion est singulière , mais qui, réunis, forment un tout aussi indigeste qu'une montagne de pudding.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Bref, voilà une oeuvre décalée et poétique, une belle réussite.
Le Monde
Punch Drunk Love procède d'une espèce de collage aux couleurs violentes, au formes abruptes, concentré dans la durée (le film dure moitié moins que Magnolia, la précédente réalisation de Paul Thomas Anderson), dont émerge une poésie étonnamment délicate.
Le Parisien
Il faut souhaiter tout le bonheur possible à ce film très réussi (...). Il y a même parfois du Jacques Tati dans cette affaire qui se nourrit d'une jolie romance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Adam Sandler est épatant dans un rôle anti Forrest Gump, et Emily Watson et Philip Seymour Hoffman sont excellents.
Obejctif-Cinema.com
Fragile et magnifique entre-deux : Barry, comme le film, incarne le merveilleux et la violence instinctive. Strident et larmoyant à la fois.
Télérama
Paul Thomas Anderson a du succès et du talent. Seule crainte : qu'il le sache. Seul espoir : qu'il le sache et s'en moque. Pour mieux continuer à tourner des films audacieux et insolents. Ou, comme Punch-Drunk Love, radieux.
Aden
Il y a du Blake Edwards (celui de La Party) dans Punch-Drunk Love : c'est-à-dire un grain de folie (pour ravager les toiles d'un restaurant chic pour calmer une contrariété), de la musique (direction Hawaii) et une envie (dingue, bien sûr) de profiter de la vie.
Chronic'art.com
Peut-être n'y a-t-il dans Punch-drunk love que très peu d'enjeux psychologiques, une tendance effrontée à la désincarnation et à l'épure, mais qu'importe : le mélodrame, fusse-t-il une simple boîte à vent, petit orgue de barbarie aux allures d'harmonium lunaire, y retrouve pour un instant ses lettres de noblesse.
Les Echos
Le résultat peut, si l'on est mal luné, agacer par ce qu'il contient, à l'évidence, d'artifice revendiqué. Mais on devrait plutôt en sortir tout sourire avec, en prime, le sentiment que derrière l'histoire farfelue et la romance de carton pâte, quelque chose de grinçant reste en suspens, et qui pourrait bien être une nouvelle pierre dans le jardin d'une Amérique où les Candide ont bien du mal à tirer leur naïveté d'un jeu truqué par l'argent et les préjugés. Un film qui, en tout cas, prouve l'éclectisme de son auteur, et son esprit d'indépendance.
Positif
(...) Punch-Drunk Love est un film réjouissant, et il n'est pas si fréquent de voir des comédies aussi bien mises en scène.
Première
Parions que Punch-Drunk Love sera à Adam Sandler ce que The Truman Show a été à Jim Carrey...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
C'est une bluette charmante, une love story cacophonique, rapide et drôle (...).
Cahiers du Cinéma
L'insolite est ce qui échappe et s'accommode mal d'une bizarrerie à ce point contrôlée.
Les Inrockuptibles
Sous des apparences loufoques, une comédie verrouillée. Mais Adam Sandler tire son épingle du jeu.
Zurban
Avec une entrée en matière saisissante de précision et d'imprévu, le réalisateur prouve qu'il est bien l'un des enfants terribles les plus doués du jeune cinéma américain. Navigant efficacement entre comédie romantique et humour cartoonesque, ce plaisir finit, hélas, par tomber trop vite dans la facilité.
L'Humanité
Prix de la mise en scène à Cannes 2002. Pas étonnant, il n'y a que ça, de la mise en scène dans cette fable sur un semi-demeuré, énième Forrest Gump. Une fois passé l'étonnement des premières minutes, énigmatiques, le héros, très gadget avec ses manies pittoresques, ses idio(t)syncrasies, s'avère aussi abstrait que le récit.
Libération
Mais le problème de Punch-drunk Love est comparable à la durée de vie d'un chewing-gum. Au début, on mâche, le goût emporte le palais mais, à force de mastiquer, on se retrouve avec un vieux plastique dans la bouche. Qui a envie de ça ?
Télérama
Un bataclan composé d'éléments en eux-mêmes intéressants : Adam Sandler surprend, Emily Watson est à croquer, la musique de percussion est singulière , mais qui, réunis, forment un tout aussi indigeste qu'une montagne de pudding.