Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
La convocation de problématiques ancestrales est déjà magnifiée dans une puissance expressive qui, à l'enthousiasme naïf de la jeunesse (...) associe dans le même temps un élan d'une véritable noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Adrien Gombeaud
Les Historiens du genre tiennent Horus comme la pierre fondatrice de l'animation japonaise. (La) spectaculaire scène d'ouverture suffit à leur donner raison.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Si Horus répond aux directives de la commande (...) un souffle révolutionnaire le traverse. Esthétiquement, au-delà de l'aspect rétro du graphisme et de l'animation, Horus est troué de fulgurances.
Cinéastes
par Hendy Bicaise
La force et la gravité du récit impressionnent, les qualités esthétiques encore plus. Il faut être d'humeur, mais Horus s'apprécie en véritable petit monument restitué de l'animation.
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
En 1968, Horus, prince du soleil promettait que le dessin animé japonais serait un jour en mesure de prendre la relève de ses aînés occidentaux. Il est assez émouvant de découvrir ce serment bien après en avoir éprouvé les conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Premier long métrage indépendant, liberté de de ton, maîtrise du dessin... C'est surtout la psychologie complexe des personnages tiraillés entre le bien et le mal qui frappe.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Bernard Génin
(...) le scénario échappe au manichéisme alors de mise dans les productions pour enfants. Le rythme est sans faille, la nature est sauvage, grouillante de divinités. Bref, ces premiers pas de deux futurs géants méritent le détour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
par Stéphane Benaïm
En dépit de prouesses techniques indéniables, les innombrables plans fixes maladroitement masqués par les travellings saccadés révèlent les contraintes et les limites budgétaires des studios de la Toei (...) Horus, prince du soleil reste une incontestable curiosité.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un conte manichéen, mais dont les thèmes et la vigueur graphique annoncent Princesse Mononoké.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les défauts ne sont pas absents - exagérations dans les combats titanesques (...), et une flopée de chansons un peu mièvres -, mais d'un autre côté on trouve de véritables splendeurs : entre autres, la séquence onirique où Horus a des hallus psychédéliques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) l'animation et le dessin ont tellement vieilli qu'ils ont aujourd'hui des allures de fossiles. Et ce qui en pâtit d'emblée, c'est le rythme (...) Heureusement, pour nous éveiller de temps à autre, Takahata réussit dans son scénario désordonné de beaux moments
Première
par Christophe Narbonne
D'une grande richesse visuelle et narrative, le premier long de Takahata pâtit en revanche d'une animation vieillotte, proche du standard des séries télé des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Richard Vantielcke
(...) une animation extrêmement dynamique et ambitieuse comme seule l'animation japonaise en est capable, mais desservie dans son efficacité par des moyens et une technique limités pour l'époque.
Chronic'art.com
La convocation de problématiques ancestrales est déjà magnifiée dans une puissance expressive qui, à l'enthousiasme naïf de la jeunesse (...) associe dans le même temps un élan d'une véritable noirceur.
Positif
Les Historiens du genre tiennent Horus comme la pierre fondatrice de l'animation japonaise. (La) spectaculaire scène d'ouverture suffit à leur donner raison.
Cahiers du Cinéma
Si Horus répond aux directives de la commande (...) un souffle révolutionnaire le traverse. Esthétiquement, au-delà de l'aspect rétro du graphisme et de l'animation, Horus est troué de fulgurances.
Cinéastes
La force et la gravité du récit impressionnent, les qualités esthétiques encore plus. Il faut être d'humeur, mais Horus s'apprécie en véritable petit monument restitué de l'animation.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
En 1968, Horus, prince du soleil promettait que le dessin animé japonais serait un jour en mesure de prendre la relève de ses aînés occidentaux. Il est assez émouvant de découvrir ce serment bien après en avoir éprouvé les conséquences.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Premier long métrage indépendant, liberté de de ton, maîtrise du dessin... C'est surtout la psychologie complexe des personnages tiraillés entre le bien et le mal qui frappe.
Télérama
(...) le scénario échappe au manichéisme alors de mise dans les productions pour enfants. Le rythme est sans faille, la nature est sauvage, grouillante de divinités. Bref, ces premiers pas de deux futurs géants méritent le détour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
En dépit de prouesses techniques indéniables, les innombrables plans fixes maladroitement masqués par les travellings saccadés révèlent les contraintes et les limites budgétaires des studios de la Toei (...) Horus, prince du soleil reste une incontestable curiosité.
L'Humanité
Un conte manichéen, mais dont les thèmes et la vigueur graphique annoncent Princesse Mononoké.
Les Inrockuptibles
Les défauts ne sont pas absents - exagérations dans les combats titanesques (...), et une flopée de chansons un peu mièvres -, mais d'un autre côté on trouve de véritables splendeurs : entre autres, la séquence onirique où Horus a des hallus psychédéliques.
MCinéma.com
(...) l'animation et le dessin ont tellement vieilli qu'ils ont aujourd'hui des allures de fossiles. Et ce qui en pâtit d'emblée, c'est le rythme (...) Heureusement, pour nous éveiller de temps à autre, Takahata réussit dans son scénario désordonné de beaux moments
Première
D'une grande richesse visuelle et narrative, le premier long de Takahata pâtit en revanche d'une animation vieillotte, proche du standard des séries télé des années 70.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
(...) une animation extrêmement dynamique et ambitieuse comme seule l'animation japonaise en est capable, mais desservie dans son efficacité par des moyens et une technique limités pour l'époque.