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Dan Berk et Robert Olsen s’amusent comme des petits fous et leur film ressemble à un cartoon en prises de vues réelles tant ils placent le héros dans de situations de folie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Malgré quelques scènes horribles, même si l’effroi se mêle toujours d’humour, « Novocaine » se présente aussi comme une comédie. Et c’est bien l’histoire d’amour entre Nathan et Sherry qui constitue le déclencheur de l’histoire, certes abracadabrante, mais toujours plaisante à suivre et aux multiples rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Une série B générique qui n’a d’autre intérêt que d’exploiter à fond l’insensibilité à la douleur du personnage. Heureusement, il le fait assez bien pour être à la hauteur de sa modeste promesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Nonobstant son esprit de dérision, « Novocaine » met toutefois en scène la méfiance mutuelle de deux Amérique blanches : celle des cadres du tertiaire jugés fragiles par la seconde, manuelle, survivaliste, rêvant d’en découdre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Même si le film est à déconseiller aux âmes sensibles, le mélange des genres opère avec jubilation, faisant de cette comédie d’action gore et sentimentale un moment de cinéma totalement irréaliste, mais diablement amusant et romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
S’il ne réinvente pas la roue, qu’il ne multiplie pas les effets de style et ne tranche pas dans le lard comme on aurait pu le croire, Novocaïne séduit principalement grâce à son héros gauche et naïf.
Avec son postulat de départ peu banal d’un héros ne pouvant ressentir la douleur à cause d’une maladie, "Novocaïne" tâche de l’exploiter au maximum scénaristiquement et de maltraiter (physiquement) son personnage principal tout au long du film et ce de plus en plus intensément, le tout dans un emballage de comédie d’action.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Il n'est pas certain que l'exhibition gratuite d'un tel niveau de brutalité soit vraiment nécessaire pour conduire une telle réflexion. Reste que le casting est sympathique
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
Dan Berk et Robert Olsen s’amusent comme des petits fous et leur film ressemble à un cartoon en prises de vues réelles tant ils placent le héros dans de situations de folie.
Le Journal du Dimanche
Un film festif, inventif et résolument euphorisant.
Le Parisien
Malgré quelques scènes horribles, même si l’effroi se mêle toujours d’humour, « Novocaine » se présente aussi comme une comédie. Et c’est bien l’histoire d’amour entre Nathan et Sherry qui constitue le déclencheur de l’histoire, certes abracadabrante, mais toujours plaisante à suivre et aux multiples rebondissements.
Ecran Large
Une série B générique qui n’a d’autre intérêt que d’exploiter à fond l’insensibilité à la douleur du personnage. Heureusement, il le fait assez bien pour être à la hauteur de sa modeste promesse.
L'Obs
Nonobstant son esprit de dérision, « Novocaine » met toutefois en scène la méfiance mutuelle de deux Amérique blanches : celle des cadres du tertiaire jugés fragiles par la seconde, manuelle, survivaliste, rêvant d’en découdre.
Le Figaro
Même si le film est à déconseiller aux âmes sensibles, le mélange des genres opère avec jubilation, faisant de cette comédie d’action gore et sentimentale un moment de cinéma totalement irréaliste, mais diablement amusant et romanesque.
Le Journal du Geek
S’il ne réinvente pas la roue, qu’il ne multiplie pas les effets de style et ne tranche pas dans le lard comme on aurait pu le croire, Novocaïne séduit principalement grâce à son héros gauche et naïf.
Les Fiches du Cinéma
Ultraviolence jouissive vs. envolées sentimentales : la comédie d’action mise sur le mariage - prévisible, mais efficace - des contraires.
Abus de Ciné
Avec son postulat de départ peu banal d’un héros ne pouvant ressentir la douleur à cause d’une maladie, "Novocaïne" tâche de l’exploiter au maximum scénaristiquement et de maltraiter (physiquement) son personnage principal tout au long du film et ce de plus en plus intensément, le tout dans un emballage de comédie d’action.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une comédie de braquage loufoque qui vire à la rom com et au pugilat d'un héros malgré lui. Pour amateur de baston saignante et de série B défouloir.
Le Dauphiné Libéré
Le héros ne souffre pas mais le spectateur, lui, a le cœur au bord des lèvres et la tête sonnée par l’ultraviolence.
Le Point
Il n'est pas certain que l'exhibition gratuite d'un tel niveau de brutalité soit vraiment nécessaire pour conduire une telle réflexion. Reste que le casting est sympathique
Nice-Matin
Le potentiel est là, mais n’est que rarement exploité.
Télérama
Un film d’action sans grande originalité, à la violence excessive.