Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Une prouesse cinématographique inattendue, cruelle, drôle, sans concession, et incontournable pour plus d’une raison.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Télé Loisirs
par S.O.
Un petit miracle.
20 Minutes
par Caroline Vié
L’humour féroce est aussi une composante très présente dans le film qui évoque ainsi les grands moments de la comédie italienne.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Pas étonnant que la jeune génération italienne ait été particulièrement sensible à Il reste encore demain. Se déploie au fil du film l’intelligence redoutable d’une femme – devant et derrière la caméra – qui va déjouer les pièges d’un système patriarcal et vieillissant en multipliant les faux-semblants.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Une tragi-comédie lumineuse sur le patriarcat.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film utile.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
"Il reste encore demain" est une histoire de résilience rondement menée, une belle surprise dans un cinéma italien où Paola Cortellesi prendra désormais place aux côtés de Matteo Garrone ou de Paolo Sorrentino.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Pauline Conradsson
La force de ce film féministe, c’est qu’il traite d’un sujet sombre de façon très originale, oscillant entre humour, légèreté et drame. Les scènes de violences sont dansées, les personnages font sourire autant qu’ils peuvent nous glacer et le twist final est bien amené. Le film porte un souffle, une énergie qui fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Avec ce film qui trouve le juste équilibre entre rire et larmes, Paola Cortellesi signe le retour de la grande comédie italienne, celle qui parle de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Un premier film certes imparfait, mais qui se révèle audacieux, habile et traversé de fulgurances. Et surtout franchement bouleversant.
Voici
par La Rédaction
Ce premier film de l'actrice Paola Cortellesi fait rimer féminité avec liberté.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Le MacGuffin est assez lourd – Delia survivra-t-elle à une énième volée de coups si Ivano venait à lire la lettre ? – mais vient, in extremis, nouer l’alliance entre une aventure individuelle et celle collective du féminisme politique.
L'Obs
par Isabelle Danel
Jouant sur une lueur d’espoir tangible, dans le tunnel du patriarcat, Cortellesi, dupe de rien, ose tout et fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans cette démonstration appuyée des méfaits du patriarcat, père et fils devisent tranquillement du nombre et de la force des coups à porter sur l’épouse pour plus d’efficacité. Le récit semble entraîner le spectateur vers une issue donnée, avant une embardée finale inattendue – le fameux « demain » du titre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
[Un] récit d'émancipation poignant [...].
Le Monde
par V. Cau.
Si sombre soit-il, et parfois glaçant, le film contourne le drame par l’humour et l’usage d’artifices formels. Conduit avec vitalité, illuminé d’instants de folle gaieté, teinté d’une ironie quasi burlesque, Il reste encore demain se tient sur le fil d’une tragi-comédie qui a le mérite de laisser entendre, au milieu des vieilles voix du passé, l’espoir d’un avenir meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sous l’ironie, un film éminemment politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Lucie Chiquer
En invoquant le passé, la réalisatrice italienne signe ici un film poignant et actuel qui résonnera chez chaque femme, qu’importe sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Si l’on peut être dérouté par la chorégraphie des scènes de violences conjugales (qui cherche, là aussi, à esquiver les clichés voyeuristes), on est séduit par le jeu fougueux de Cortellesi, figure populaire du petit écran transalpin.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
Paola Cortellesi navigue avec grâce et intelligence entre la fantaisie, la gravité, l’humour, la poésie, emprunte aux comédies musicales autant qu’au néoréalisme. La bande originale se promène entre variété, opéra, hip-hop… Belle liberté.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si la question des violences faites aux femmes demeure un enjeu d’intérêt majeur, son traitement parfois à la limite de la dérision nuit quelque peu à la profondeur du sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Paola Cortellesi la filme dans un noir et blanc léché, propret, style publicité pour pâtes al dente. La débutante hésite sur le ton à donner, néoréalisme ou comédie italienne. N'est pas Dino Risi qui veut. Si le propos est louable, touchant, la naïveté conduit ici à la maladresse, avec une bande-son anachronique, des chansons à la guimauve et des accents de roman-photo.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si la dénonciation des violences faites aux femmes et le combat pour l’égalité des sexes sont des sujets universels, la forme, hommage appuyé et suranné au néoréalisme italien, trouvera moins d’écho de notre côté des Alpes.
Télérama
par Marie Sauvion
Entre hommage en noir et blanc au néoréalisme et comédie d’émancipation, la première réalisation de l’actrice Paola Cortellesi apparaît comme une curiosité ne sachant guère sur quel pied danser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Hélène Frappat
"Il reste encore demain" est-il le gaslight movie qu’attendait l’Italie ? […] Il reste encore du chemin pour que le gaslighting, ancré dans la culture catholique, cesse de manipuler les citoyen·nes/ spectateur·trices dont l’Italie nous offre de reflet agrandi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
On veut bien se réjouir de l’existence de cet objet de synthèse d’un goût très incertain si on obtient une dispense pour le suivant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Une prouesse cinématographique inattendue, cruelle, drôle, sans concession, et incontournable pour plus d’une raison.
Télé Loisirs
Un petit miracle.
20 Minutes
L’humour féroce est aussi une composante très présente dans le film qui évoque ainsi les grands moments de la comédie italienne.
CinemaTeaser
Pas étonnant que la jeune génération italienne ait été particulièrement sensible à Il reste encore demain. Se déploie au fil du film l’intelligence redoutable d’une femme – devant et derrière la caméra – qui va déjouer les pièges d’un système patriarcal et vieillissant en multipliant les faux-semblants.
Elle
Une tragi-comédie lumineuse sur le patriarcat.
Femme Actuelle
Un film utile.
Franceinfo Culture
"Il reste encore demain" est une histoire de résilience rondement menée, une belle surprise dans un cinéma italien où Paola Cortellesi prendra désormais place aux côtés de Matteo Garrone ou de Paolo Sorrentino.
Le Parisien
La force de ce film féministe, c’est qu’il traite d’un sujet sombre de façon très originale, oscillant entre humour, légèreté et drame. Les scènes de violences sont dansées, les personnages font sourire autant qu’ils peuvent nous glacer et le twist final est bien amené. Le film porte un souffle, une énergie qui fait un bien fou.
Le Point
Avec ce film qui trouve le juste équilibre entre rire et larmes, Paola Cortellesi signe le retour de la grande comédie italienne, celle qui parle de la réalité.
Télé 2 semaines
Un premier film certes imparfait, mais qui se révèle audacieux, habile et traversé de fulgurances. Et surtout franchement bouleversant.
Voici
Ce premier film de l'actrice Paola Cortellesi fait rimer féminité avec liberté.
Cahiers du Cinéma
Le MacGuffin est assez lourd – Delia survivra-t-elle à une énième volée de coups si Ivano venait à lire la lettre ? – mais vient, in extremis, nouer l’alliance entre une aventure individuelle et celle collective du féminisme politique.
L'Obs
Jouant sur une lueur d’espoir tangible, dans le tunnel du patriarcat, Cortellesi, dupe de rien, ose tout et fait mouche.
La Croix
Dans cette démonstration appuyée des méfaits du patriarcat, père et fils devisent tranquillement du nombre et de la force des coups à porter sur l’épouse pour plus d’efficacité. Le récit semble entraîner le spectateur vers une issue donnée, avant une embardée finale inattendue – le fameux « demain » du titre.
Le Journal du Dimanche
[Un] récit d'émancipation poignant [...].
Le Monde
Si sombre soit-il, et parfois glaçant, le film contourne le drame par l’humour et l’usage d’artifices formels. Conduit avec vitalité, illuminé d’instants de folle gaieté, teinté d’une ironie quasi burlesque, Il reste encore demain se tient sur le fil d’une tragi-comédie qui a le mérite de laisser entendre, au milieu des vieilles voix du passé, l’espoir d’un avenir meilleur.
Les Fiches du Cinéma
Sous l’ironie, un film éminemment politique.
Première
En invoquant le passé, la réalisatrice italienne signe ici un film poignant et actuel qui résonnera chez chaque femme, qu’importe sa génération.
Rolling Stone
Si l’on peut être dérouté par la chorégraphie des scènes de violences conjugales (qui cherche, là aussi, à esquiver les clichés voyeuristes), on est séduit par le jeu fougueux de Cortellesi, figure populaire du petit écran transalpin.
Sud Ouest
Paola Cortellesi navigue avec grâce et intelligence entre la fantaisie, la gravité, l’humour, la poésie, emprunte aux comédies musicales autant qu’au néoréalisme. La bande originale se promène entre variété, opéra, hip-hop… Belle liberté.
aVoir-aLire.com
Si la question des violences faites aux femmes demeure un enjeu d’intérêt majeur, son traitement parfois à la limite de la dérision nuit quelque peu à la profondeur du sujet.
Le Figaro
Paola Cortellesi la filme dans un noir et blanc léché, propret, style publicité pour pâtes al dente. La débutante hésite sur le ton à donner, néoréalisme ou comédie italienne. N'est pas Dino Risi qui veut. Si le propos est louable, touchant, la naïveté conduit ici à la maladresse, avec une bande-son anachronique, des chansons à la guimauve et des accents de roman-photo.
Télé 7 Jours
Si la dénonciation des violences faites aux femmes et le combat pour l’égalité des sexes sont des sujets universels, la forme, hommage appuyé et suranné au néoréalisme italien, trouvera moins d’écho de notre côté des Alpes.
Télérama
Entre hommage en noir et blanc au néoréalisme et comédie d’émancipation, la première réalisation de l’actrice Paola Cortellesi apparaît comme une curiosité ne sachant guère sur quel pied danser.
Les Inrockuptibles
"Il reste encore demain" est-il le gaslight movie qu’attendait l’Italie ? […] Il reste encore du chemin pour que le gaslighting, ancré dans la culture catholique, cesse de manipuler les citoyen·nes/ spectateur·trices dont l’Italie nous offre de reflet agrandi.
Libération
On veut bien se réjouir de l’existence de cet objet de synthèse d’un goût très incertain si on obtient une dispense pour le suivant.