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Votre avis sur N’avoue jamais ?
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L'histoire était peu engageante, mais cette comédie fonctionne diablement bien. L'abattage des comédiens y est pour pas mal, André Dussollier parfait en ex militaire rigide, et Sabine Azema légère, et dont les années semblent avoir bien peu de prise sur elle. Ensuite, il faut aussi dire que l'écriture est beaucoup plus subtile que de prime abord, évitant tout autant l'humour moqueur que le sentimentalisme mielleux. On passe sans effort de situation vaudevillesques à une étude de caractère assez complexe, sans oublier que le film réserve des surprises de bout en bout.
Sabine Azéma, André Dussollier et Thierry Lhermitte dans une comédie, l’affiche (où l’on trouve également Michel Boujenah dans un petit rôle) est assez alléchante ! Le résultat est plutôt à la hauteur de sa promesse grâce à une idée de départ assez amusante. N’avoue jamais d’Ivan Caldérac est donc une comédie qui n’a rien de marquant mais qui est très distrayante et il serait regrettable de bouder son plaisir.
Un excellent moment devant cette comédie portée par un trio d'acteurs inspirés. Dussolier, Azema et Lhermitte font merveille et les dialogues ainsi que les situations sont pleins d'humour. La musique au piano est fort sympa. Bref, on passe un très bon moment.
Un film qui fait du bien comique et plein de bonnes surprises. Le trio Azema Dussolier et L'hermine fonctionne parfaitement sans oublier les trois acteurs qui jouent leurs enfants. Dussolier m'a fait rire tellement en décalage et sans son jeux. Je le conseille vivement pour se lâcher un peu sans prise de tête
Ce vaudeville au scénario bien ciselé et aux dialogues soignés est un régal où l'on ne s’ennuie pas une minute ! Sabine Azéma et André Dussolier endossent à nouveau les rôles d'un couple emblématique qu'ils formaient déjà dans "Tanguy" d'Étienne Chatiliez .
Gentillette comédie française du monde "d'avant".
Acteurs et actrices cabotinent à qui mieux mieux mais sont heureux de jouer ensemble.
Dialogues ciselés qui font souvent rire. Scénario bien écrit surtout en première partie de film. Aprés il s'essoufle...
Agréable mais pas indispensable.
Acteurs et actrices cabotinent à qui mieux mieux mais sont heureux de jouer ensemble.
Dialogues ciselés qui font souvent rire. Scénario bien écrit surtout en première partie de film. Aprés il s'essoufle...
Agréable mais pas indispensable.
Très bon film souvent comique où l'on rit de bon cœur. Il y a longtemps que ce n'était pas arrivé, une bonne comédie servie par des acteurs épatants. André Dussolier, Sabine Azéma et Thierry Lhermitte sont excellents et on passe un très bon moment avec parfois aussi des instants d'émotion. Merci à tous !
Comédie gentillette qui se regarde notamment pour le cabotinage de trois excellents acteurs, Azema, Dusollier et Lhermitte. Un film sur le temps qui passe, parfois un peu triste.
J'ai failli écrire comédie dispensable jusqu'à la fin parfaite qui mérite le coup d'oeil.
J'ai failli écrire comédie dispensable jusqu'à la fin parfaite qui mérite le coup d'oeil.
C'est un petit film sans prétention mais très ficelé.D'abord, c'est un vaudeville un genre théâtral qui fait défaut...au théâtre et donc heureux de retrouver ici. C'est donc une comédie aux couleurs chatoyantes où j'ai vraiment ri de bon coeur comme il est rare de rire dans beaucoup d'autres comédies actuelles et quand on va au cinéma voir une comédie, on y va pour rire!Le trio Sabine Azéma, André Dussolier, Thierry Lhermitte fonctionne merveilleusement bien et on passe un très bon moment même si le film ne restera pas dans vos annales..
Bonne comédie où les plus de 65 ans sont mis en avant. On rit au comique de situations, on est ému sur ces parcours familiaux.
On a découvert le cinéaste Ivan Calbérac il y a vingt ans avec le sympathique et mignon « Irène » qui révélait par la même occasion Cécile de France. Depuis, le cinéaste enchaîne les comédies dramatiques entre feel-good movie, romantisme et ambiance douce-amère parfois teintées d’un zeste de constat sociétal. Si sa carrière alterne œuvre pour le grand écran et formats télévisés, il réalise avec « N’avoue jamais », un film calibré comme jamais pour passer sur le prime-time d’une grande chaîne hertzienne, et d’abord à destination des séniors voire des spectateurs du troisième âge. Mais, en même temps, un long-métrage qu’on dirait issu du théâtre de boulevard pour l’histoire et du vaudeville d’antan pour certaines situations. En somme, si son nouveau film est fait pour le cinéma, il n’en demeure pas moins parfait pour satisfaire une partie de l’audimat télévisé et fortement connoté par le petit théâtre. Dans tous les cas, il nous livre ici son film le plus volontairement comique et axé sur la comédie.
Le postulat de base est peu original et convoque tout un pan de la comédie à quiproquos (donc boulevardière) : un mari cocu qui veut retrouver l’amant de sa femme et lui casser la gueule. Sauf qu’ici l’histoire date d’il y a plus de quarante ans! Les bases ont beau être peu engageantes et rebattues, le déroulement l’est (un peu) moins et réserve quelques petites surprises. On est certes en plein dans le comique de situation et l’humour pourra paraître un peu daté pour les plus jeunes habitués à celui plus potache et grossier de, par exemple, la Bande à Fifi ou autre comique du même acabit. Il n’empêche, si certains gags sont poussifs, prévisibles et presque archaïques, d’autres font mouche et on a le droit à quelques francs éclats de rires sincères et bienvenus. La plupart sont dus à André Dussollier en très grande forme et impeccable en mari trompé et rigide, ancien général dans l’armée française.
L’acteur se donne à fond dans ce rôle un brin caricatural et ses mimiques (sourcils froncés, yeux au ciel et totale incompréhension) valent leur pesant de cacahuètes même si le registre du comédien à ce niveau finit par être limité. Sabine Azéma est en très grande forme et contente d’être là tandis que Thierry Lhermitte était l’acteur tout désigné pour se fondre dans le rôle de l’amant, devenu bobo et vieux beau aux mœurs inconséquentes. « N’avoue jamais » fait clairement le choix de la gaudriole mais il n’empêche qu’il assène gentiment quelques vérités sur le couple et son usure, la fidélité et l’éducation des enfants. Car les seconds rôles ici sont principalement les rejetons adultes du couple et sont assez bien défendus par Joséphine de Meaux, Sébastien Chassagne et Gael Giraudeau en plus d’être amusants. On regrette en revanche que tout cela prenne encore place dans un milieu bourgeois, aseptisé et peu représentatif du français moyen. Également, on peut déplorer un humour facile, un dénouement en forme de happy-end attendu et quelques baisses de rythme sur la fin. En revanche, pour la toute dernière scène on se demande si c’est totalement misogyne ou, à l’inverse féministe à l’extrême. A vous de juger mais voilà une petite comédie sans prétention plus agréable et amusante.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le postulat de base est peu original et convoque tout un pan de la comédie à quiproquos (donc boulevardière) : un mari cocu qui veut retrouver l’amant de sa femme et lui casser la gueule. Sauf qu’ici l’histoire date d’il y a plus de quarante ans! Les bases ont beau être peu engageantes et rebattues, le déroulement l’est (un peu) moins et réserve quelques petites surprises. On est certes en plein dans le comique de situation et l’humour pourra paraître un peu daté pour les plus jeunes habitués à celui plus potache et grossier de, par exemple, la Bande à Fifi ou autre comique du même acabit. Il n’empêche, si certains gags sont poussifs, prévisibles et presque archaïques, d’autres font mouche et on a le droit à quelques francs éclats de rires sincères et bienvenus. La plupart sont dus à André Dussollier en très grande forme et impeccable en mari trompé et rigide, ancien général dans l’armée française.
L’acteur se donne à fond dans ce rôle un brin caricatural et ses mimiques (sourcils froncés, yeux au ciel et totale incompréhension) valent leur pesant de cacahuètes même si le registre du comédien à ce niveau finit par être limité. Sabine Azéma est en très grande forme et contente d’être là tandis que Thierry Lhermitte était l’acteur tout désigné pour se fondre dans le rôle de l’amant, devenu bobo et vieux beau aux mœurs inconséquentes. « N’avoue jamais » fait clairement le choix de la gaudriole mais il n’empêche qu’il assène gentiment quelques vérités sur le couple et son usure, la fidélité et l’éducation des enfants. Car les seconds rôles ici sont principalement les rejetons adultes du couple et sont assez bien défendus par Joséphine de Meaux, Sébastien Chassagne et Gael Giraudeau en plus d’être amusants. On regrette en revanche que tout cela prenne encore place dans un milieu bourgeois, aseptisé et peu représentatif du français moyen. Également, on peut déplorer un humour facile, un dénouement en forme de happy-end attendu et quelques baisses de rythme sur la fin. En revanche, pour la toute dernière scène on se demande si c’est totalement misogyne ou, à l’inverse féministe à l’extrême. A vous de juger mais voilà une petite comédie sans prétention plus agréable et amusante.
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Une bonne petite comédie sans prétention qui vaut le coup d'oeil pour le super duo formé Dussollier/Azéma. Un bonus pour le premier nommé qui donne un plus sur pas mal de scène bien marrante j'ai trouvé. L'ajout de Lhermitte en amant face à lui et l'on voit bien la petite différence d'âge qui là aussi donne des petits moments sympa. Et puis le final...mon dieu!^^
NOTE : 7/10
NOTE : 7/10
Franchement bon film, prenant, actuel et émouvant. Juste dommage la fin est décevante mais le reste est intéressant, à voir
Sabine Azéma et André Dussolier, éternels époux du cinéma français, s'offrent une crise des 50 ans de réflexion. Très cocasse, surtout la partition d'André Dussolier, cette comédie se laisse regarder et est même parfois surprenante d'émotion. On reste néanmoins dans un vaudeville assez classique jusqu'au bout.
Très bonne comédie soutenue du début à la fin. D excellent acteurs. Avec un peu d émotion. Des dialogues et répliques bien amenés. Film à aller voir, on en sort de bonne humeur.
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