Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec « N’avoue jamais », Ivan Calbérac signe un vaudeville sans surprise mais réjouissant, pimenté par de jolis numéros d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Philippe Lemoine
Leur bonheur de jouer ensemble (André Dussollier et Sabine Azéma) est communicatif dans ce vaudeville classique mais plaisant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
On connaît les ficelles : le jeu des contrastes entre les deux époux, la tempête d’émotions qui chahutent le général psychorigide et le bon sens mâtiné d’une mauvaise foi espiègle de sa femme. Mais N’avoue jamais fait mouche, portée par les jeux cabotins de Sabine Azéma et André Dussollier qui manifestement s’amusent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par B. T.
Face à André Dussollier qui surjoue le côté psychorigide de son personnage, sa fidèle partenaire de cinéma Sabine Azéma (dans les films d’Alain Resnais et Tanguy) s’amuse à écouter les élans de son cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par La Rédaction
On passe un agréable moment, vite oublié.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Quel plaisir de retrouver notre couple préféré à l’écran, impeccable en retraités au bord de la crise de nerfs... Servi par une belle distribution d’ensemble, le film peine hélas à surprendre véritablement, la faute à une vision trop étroite des choses.
Télé Loisirs
par M.A.
D'un sujet Vaudevillesque, Yvan Calbérac ravive un duo aussi efficace que charmant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Pour cette comédie générationnelle, Sabine Azéma et André Dussolier endossent à nouveau les rôles d'un couple emblématique, comme s'ils n'avaient jamais quitté l'écran depuis leur union dans Tanguy d'Étienne Chatiliez en 2001.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
N'avoue jamais raconte son histoire avec un sourire en coin, une dose d'espièglerie et un soupçon de complicité avec ce vieux couple qui jongle avec les tourments du passé, les mensonges et les trahisons anciennes.
Télé 7 Jours
par J.B.
En réunissant Sabine Azéma et André Dussolier, Yvan Calbérac s'est offert un couple de comédie vif-argent. Las, la partition qu'il leur a composée, en plus d'être parfaitement convenue, flirte volontiers avec le balourd.
L'Obs
par Isabelle Danel
Jadis, madame trompa monsieur… Sujet de vaudeville + duo d’acteurs aimés = bonne comédie populaire ? Si c’était écrit et mis en scène, oui, peut-être.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette comédie poids lourd réalisée par Ivan Calbérac cherche à séduire en priorité les spectateurs aux cheveux blancs et parvient – exploit involontaire – à faire déjouer ses deux excellents acteurs principaux. Juste catastrophique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Chèze
Tout est trop convenu pour espérer voir naître un vent de folie capable de tout dynamiter. Celui qu’on perçoit dans les regards de Sabine Azéma et André Dussollier, dont on a pu admirer chez Resnais ou dans Tanguy l’aisance dans la comédie, ici sous- exploitée car se reposant sur leurs acquis, sans les bousculer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Avec « N’avoue jamais », Ivan Calbérac signe un vaudeville sans surprise mais réjouissant, pimenté par de jolis numéros d’acteurs.
Ouest France
Leur bonheur de jouer ensemble (André Dussollier et Sabine Azéma) est communicatif dans ce vaudeville classique mais plaisant.
La Croix
On connaît les ficelles : le jeu des contrastes entre les deux époux, la tempête d’émotions qui chahutent le général psychorigide et le bon sens mâtiné d’une mauvaise foi espiègle de sa femme. Mais N’avoue jamais fait mouche, portée par les jeux cabotins de Sabine Azéma et André Dussollier qui manifestement s’amusent.
Le Journal du Dimanche
Face à André Dussollier qui surjoue le côté psychorigide de son personnage, sa fidèle partenaire de cinéma Sabine Azéma (dans les films d’Alain Resnais et Tanguy) s’amuse à écouter les élans de son cœur.
Le Point
On passe un agréable moment, vite oublié.
Les Fiches du Cinéma
Quel plaisir de retrouver notre couple préféré à l’écran, impeccable en retraités au bord de la crise de nerfs... Servi par une belle distribution d’ensemble, le film peine hélas à surprendre véritablement, la faute à une vision trop étroite des choses.
Télé Loisirs
D'un sujet Vaudevillesque, Yvan Calbérac ravive un duo aussi efficace que charmant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pour cette comédie générationnelle, Sabine Azéma et André Dussolier endossent à nouveau les rôles d'un couple emblématique, comme s'ils n'avaient jamais quitté l'écran depuis leur union dans Tanguy d'Étienne Chatiliez en 2001.
Le Dauphiné Libéré
N'avoue jamais raconte son histoire avec un sourire en coin, une dose d'espièglerie et un soupçon de complicité avec ce vieux couple qui jongle avec les tourments du passé, les mensonges et les trahisons anciennes.
Télé 7 Jours
En réunissant Sabine Azéma et André Dussolier, Yvan Calbérac s'est offert un couple de comédie vif-argent. Las, la partition qu'il leur a composée, en plus d'être parfaitement convenue, flirte volontiers avec le balourd.
L'Obs
Jadis, madame trompa monsieur… Sujet de vaudeville + duo d’acteurs aimés = bonne comédie populaire ? Si c’était écrit et mis en scène, oui, peut-être.
Marianne
Cette comédie poids lourd réalisée par Ivan Calbérac cherche à séduire en priorité les spectateurs aux cheveux blancs et parvient – exploit involontaire – à faire déjouer ses deux excellents acteurs principaux. Juste catastrophique.
Première
Tout est trop convenu pour espérer voir naître un vent de folie capable de tout dynamiter. Celui qu’on perçoit dans les regards de Sabine Azéma et André Dussollier, dont on a pu admirer chez Resnais ou dans Tanguy l’aisance dans la comédie, ici sous- exploitée car se reposant sur leurs acquis, sans les bousculer.