Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Longue focale, absence de plan d’ensemble, éclairage sombre : l’univers diégétique présenté ici est un univers où les aspirations collectives au changement s’effondrent face à la crainte de perdre son emploi, laissant, pour seul lien social, ces écrans de téléphones que les personnages consultent seuls à divers endroits du récit.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Pablo Patarin
Pier-Philippe Chevigny livre un premier film choc où des travailleurs étrangers guatémaltèques subissent de plein fouet la violence sociale dans une usine au Québec.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Plans-séquences, mise en scène immersive, tension suffocante… Pour réaliser cette fiction quasi documentaire, politique et émouvante, qui a raflé pas mal de prix dans les festivals, le cinéaste a enquêté plus de dix ans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste canadien Pier-Philippe Chevigny plante sa caméra dans une usine où des ouvriers étrangers sont exploités. Une fiction réaliste et implacable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un drame prenant, sans concession ni manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 2 semaines
par S.O.
La terreur managériale pervertit les rapports humains à tous les échelons de l'entreprise dans ce film où la tension est palpable grâce à une mise en scène oppressante.
Télé Loisirs
par S.O.
La terreur managériale pervertit les rapports humains à tous les échelons de l'entreprise dans ce film où la tension est palpable grâce à une mise en scène oppressante.
Télérama
par Guillemette Odicino
Prenant de la première à la dernière minute, avec un sens bluffant de l’immersion, Dissidente détaille, sans une once de manichéisme, les rapports de force entre exploités à tous les niveaux de la chaîne économique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film coup de poing pour décrypter sans répit ni manichéisme les différentes states de l’esclavagisme moderne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
S’il déploie une toile sociale où chacun est isolé et tenu à sa place, Dissidente échappe à la misanthropie comme à l’héroïsation. D’Ariane à Manuel, dans sa façon de tisser un lien et d’y tenir, il trouve une voie plus juste et touchante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Chevigny, sans toujours éviter le cliché du méchant patron unidimensionnel, impose une œuvre nécessaire, qui nous force à l’humanité et la solidarité.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Comme dans La loi du marché de Stéphane Brizé, le personnage principal est face à un dilemme moral : pour garder son emploi, peut-elle tout accepter, de la brutalité impitoyable affligée à une main-d’œuvre docile ?
Libération
par Camille Nevers
À la question simpliste de pourquoi réaliser une fiction plutôt qu’un documentaire (...) le cinéaste Pier-Philippe Chevigny, dont Dissidente est le premier long métrage, répond par une défense de la fiction sensée, logique et non idéologique, élaborée au nom de la vérité plutôt que d’une réalité inaccessible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par La rédaction
Un format ciné d'autrefois, le format 1.37: 1, un capitalisme d'aujourd'hui, mais à l'ancienne, soubassement vulgaire et violent catégorie - "Nos profits valent mieux que leurs vies" - de l'esbroufe communicante des PDG de multinationales.
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Loach dans le parcours de cette héroïne coincée entre le marteau et l’enclume qui, cependant, n’a rien d’une simple copie, grâce à la manière avec laquelle Chevigny filme Ariane, toujours au plus près d’elle avec un sentiment d’étouffement donnant ainsi naissance à un film en immersion qui ne laisse pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Longue focale, absence de plan d’ensemble, éclairage sombre : l’univers diégétique présenté ici est un univers où les aspirations collectives au changement s’effondrent face à la crainte de perdre son emploi, laissant, pour seul lien social, ces écrans de téléphones que les personnages consultent seuls à divers endroits du récit.
L'Humanité
Pier-Philippe Chevigny livre un premier film choc où des travailleurs étrangers guatémaltèques subissent de plein fouet la violence sociale dans une usine au Québec.
L'Obs
Plans-séquences, mise en scène immersive, tension suffocante… Pour réaliser cette fiction quasi documentaire, politique et émouvante, qui a raflé pas mal de prix dans les festivals, le cinéaste a enquêté plus de dix ans.
Les Echos
Le cinéaste canadien Pier-Philippe Chevigny plante sa caméra dans une usine où des ouvriers étrangers sont exploités. Une fiction réaliste et implacable.
Les Fiches du Cinéma
Un drame prenant, sans concession ni manichéisme.
Télé 2 semaines
La terreur managériale pervertit les rapports humains à tous les échelons de l'entreprise dans ce film où la tension est palpable grâce à une mise en scène oppressante.
Télé Loisirs
La terreur managériale pervertit les rapports humains à tous les échelons de l'entreprise dans ce film où la tension est palpable grâce à une mise en scène oppressante.
Télérama
Prenant de la première à la dernière minute, avec un sens bluffant de l’immersion, Dissidente détaille, sans une once de manichéisme, les rapports de force entre exploités à tous les niveaux de la chaîne économique.
aVoir-aLire.com
Un film coup de poing pour décrypter sans répit ni manichéisme les différentes states de l’esclavagisme moderne.
Cahiers du Cinéma
S’il déploie une toile sociale où chacun est isolé et tenu à sa place, Dissidente échappe à la misanthropie comme à l’héroïsation. D’Ariane à Manuel, dans sa façon de tisser un lien et d’y tenir, il trouve une voie plus juste et touchante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Chevigny, sans toujours éviter le cliché du méchant patron unidimensionnel, impose une œuvre nécessaire, qui nous force à l’humanité et la solidarité.
Le Dauphiné Libéré
Comme dans La loi du marché de Stéphane Brizé, le personnage principal est face à un dilemme moral : pour garder son emploi, peut-elle tout accepter, de la brutalité impitoyable affligée à une main-d’œuvre docile ?
Libération
À la question simpliste de pourquoi réaliser une fiction plutôt qu’un documentaire (...) le cinéaste Pier-Philippe Chevigny, dont Dissidente est le premier long métrage, répond par une défense de la fiction sensée, logique et non idéologique, élaborée au nom de la vérité plutôt que d’une réalité inaccessible.
Positif
Un format ciné d'autrefois, le format 1.37: 1, un capitalisme d'aujourd'hui, mais à l'ancienne, soubassement vulgaire et violent catégorie - "Nos profits valent mieux que leurs vies" - de l'esbroufe communicante des PDG de multinationales.
Première
Il y a du Loach dans le parcours de cette héroïne coincée entre le marteau et l’enclume qui, cependant, n’a rien d’une simple copie, grâce à la manière avec laquelle Chevigny filme Ariane, toujours au plus près d’elle avec un sentiment d’étouffement donnant ainsi naissance à un film en immersion qui ne laisse pas indemne.