Avis : Amityville 2, Le Possédé - Page 3

le meilleur de la saga... excellent!

sans aucun doute le meilleur de la serie,presqu'aussi angoissant que l exorciste, les interpretes sont excellents,notemment burt young dans un role de brute epaisse qui rappelle par moment ernest borgnine.ce film merite d etre mieux connu.

Alors là, c'est le summum du film de maison hantée et du poltergeist. Le scenariste a même su y incorporer une dimension psychologique forte. C'est un film à ne pas regarder seul, dans une grande maison perdue dans la campagne, la nuit, à moins d'être trés trés solide...et ne croire en rien...
Ps: l'évolution de la possession est parfaite...

La photographie est très laide, l'éclairage en option, le choix du format 4/3 fait pour des raisons budgétaires, on imagine. Tout cela vieilli un film pas trop mauvais dans l'ensemble. On reste tout de même dans de la série B malgré quelques audaces scénaristiques.

On reprend l'histoire des DeFoe pour faire le 2ème Amityville... Pourquoi pas? Mais le scénario n'est pas génial. Les acteurs sont assez bons mais le film a mal vieilli et les effets spéciaux sont risibles. La voix qui parle au jeune est plutôt humaine pour une voix démoniaque, contrairement au premier film.
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Amityville 2 est un assez bon film d’horreur mais qui manque d’angoisse et qui possède un dernier quart d’heure décevant.
Le film est divertissant et l’horreur arrive progressivement. Le film possède une atmosphère assez pesante par moment, aidée par une bande son très « lourde » mais les scènes de frissons sont trop peu nombreuses ou ne sont pas assez réussies pour me faire stresser. Seule la scène que je retiens est celle du massacre de la famille qui donne froid dans le dos mais qui est un peu trop courte.
Après cette scène là, j’ai trouvé le film beaucoup moins intéressant et assez ennuyeux.

Amityville est donc assez bon film qui est divertissant mais qui manque un peu d’angoisse et qui est peu gâché par le dernier quart d’heure.

Autant le premier Amityville de 1979 est un chef d'œuvre du film d' horreur , où le suspens nous tient en haleine pendant tout le film , du début à la fin et auquel , j' ai mis 5 étoiles comme note .

Autant le 2 éme est beaucoup moins bien , il n' est pas terrible , une histoire malsaine , trop triste et morbide .

Et en plus , il n' y a pas du suspens pendant tout le film , contrairement au premier , il y a un peu de lenteurs .

À noter , que parmis les acteurs , il y a l' excellent acteur : " Burt Young " , qui interprête le beau frére de Rocky Balboa : " Paulie " dans les films " Rocky " .

Honnêtement, je ne sais pas comment ce film se retrouve avec une note moyenne de 3/5, alors qu'il est sans aucun doute un des meilleurs films d'épouvante jamais tourné... Son aîné étant lui-même excellent, je dois avouer que cette suite est pour sa part encore meilleure. Ça c'est du film d'horreur !
La trame est excellente, les acteurs parfaits dans leurs rôles, la peur est filmée de telle manière qu'on la ressent vraiment pour le coup,
spoiler: Comme cette scène où Johnny se retrouve tout seul chez lui qui est vraiment terrifiante...

Le film flirte parfois avec les tabous,
spoiler: Je pense à cette scène d'inceste entre le frère et la sœur, c'est tellement rare de voir ça au cinéma !

En tout cas il y a une ambiance extraordinaire dans ce film, la VF a un côté rétro vraiment exquis, le casting est parfait, chacun est excellent dans son rôle...
Le film prend des libertés par rapport à l'histoire réelle d'Amityville (ne serait-ce que pour les meurtres en eux-mêmes, qui se sont déroulés différemment), mais cela ne dérange en rien, il s'agit d'une interprétation.
J'espère sincèrement qu'ils ne feront pas de remake. Le massacre du premier épisode nous a suffit.

Réalisé par Damiano Damiani connu principalement pour ses réalisations westerns et films de mafia je site (El Chuncho,La Mafia fait la loi, Un génie, deux associés, une cloche). En 1981, Damiani se penche vers l'horreur (il avait déjà réalisé un film d'horreur peu connu en 1966 (La strega in amore), mais celui-ci est très spécial car c'est un chef-d'oeuvre ce Amityville 2, le possédé, devançant le premier Amityville, pour ce film sorti donc en 1982 nous retrouvons aux casting Burt Young (paulie dans la saga rocky) qui est vraiment génial dans ce film, Diane Franklin qui joue sa femme (peu connue) et leur deux enfants Jack Magner leurs fils et Rutanya Alda leurs fille. Je disais que ce film est un chef d'oeuvre car l'histoire est génial, la peur est filmée de telle manière qu'on la ressent vraiment pour le coup,l'ambiance est extraordinaire. Cette suite est en faites un prequel au premier, l'intrigue ce déroule avant comme il s'agit de la première famille à être venue habité dans cette maison de l'horreur. Je le redit cette suite est clairement au-dessus du premier épisode. La réalisation est parfaite ici Damiani à fait un travail de maître. Ce film est violent et peut être pour certain dérangeant,enfin voilà "Amityville II : le Possédé" reste tout de même dans le panthéon des meilleurs films du genre et mérite son statut de film culte au la main.

Le second opus des AMITYVILLE est très clairement au dessus du premier. L'histoire met bien plus mal à l'aise en nous confrontant au limites et interdits des valeurs judéo-chrétiennes. Mais surtout, il est visuellement beaucoup plus intéressant et abouti. Il frôle l'esthétique Giallo, et personnellement, j'en redemande. Pour le moment, mon AMITYVILLE préféré.

Aussi bon que le premier, dans la même lignée. Film qui vieillit d'ailleurs plutôt bien, car soft et aux effets spéciaux non exagérés.

cest le meilleur des je ne cest plus combien !!!! amityville 2 est vraiment tres tres bon !! avec une mise en scene magistral ! et des effet speciaux a la hauteur de l exorciste! jack magner est est tellement convainquant quil en ait flippant en possede!!!! je le conseille vivement !!!!

Au moins, il se passe quelque chose. On ne va pas vous le cacher longtemps, Amityville premier du nom est un film qu'on trouve vraiment sur-côté, tant il ne se passe rien (des abeilles qui embêtent un cureton, un chien qui mord un mollet, un peu de sang qui ressemble à un défaut de peinture sur un mur... Clairement, deux heures d'ennui) sur une insupportable BO de fillettes qui chantonnent gaiment, ce qui enfonce le dernier clou dans le cercueil (on enterre gentiment Amityville, pour vous parler de ce Amityville 2 : Le Possédé). On ne démarre pourtant pas ce deuxième opus sous les meilleures auspices, car il met un certain temps à chauffer, se cantonne à quelques voix dans la tête du jeune ado de la famille, puis, quand on commence à craindre de s'ennuyer une nouvelle fois, le curé arrive, et là, c'est la fête. A partir du moment où le religieux franchit le seuil de la porte, le film embraye les vitesses sans regarder dans le rétroviseur : spoiler: le jeune ado commence à ressembler à la gamine de L'Exorciste, le curé balance du sang au lieu de l'eau bénite, l'ado dégomme tout le monde au fusil à pompes, et la police l'embarque.
Fin du film ? Il reste pourtant une grosse demi-heure ! On regarde sa montre sans comprendre ce qu'il se passe dans le scénario qui semble vouloir finir son taff avec une trentaine de minutes d'avance, et on découvre alors que ce Amityville 2 cachait un atout dans sa manche : une deuxième partie de son scénario, qu'on n'a pas (du tout) vu venir. Cette deuxième partie s'occupe donc de spoiler: l'exorcisme du jeune possédé, lâche des fantômes d'indiens dans la cave de la maison, fait flétrir la tronche du Démon avec toujours plus de latex dégoulinant de sang pâteux (c'est mal fait, mais tellement généreux : on aime), et on comprend lors du dernier plan (parce qu'on est un peu niais sur les bords, en ne faisant pas gaffe aux dates données dans cette intrigue, et qu'on ne s'est pas renseigné sur le synopsis de ce film) qui montre le panneau "A vendre" qu'on retrouve au début du premier film, qu'il s'agit d'un préquel. D'où que personne n'a mentionné une seule fois le problème survenu dans la maison, ni ne se questionne sur les événements paranormaux qui y prennent place : malin, tout est justifié.
Pas mal, vraiment, pas mal du tout, pour un film qu'on craignait d'abord d'être aussi barbant que son prédécesseur, et qui finalement préfère à l'inverse l'étalage d'effets spéciaux et d'attaques en tous genres, une générosité bienvenue, et une "fausse fin" qui nous a vraiment beaucoup surpris à 70% du timing du film. Une suite qu'on préfère largement à son original, c'est plutôt rare.

Faire mieux que le premier opus de Stuart Rosenberg, vrai classique de l'horreur, était difficile. Cette suite ne se vautre pas comme le fera la suivante, car il y en aura une autre, mais ce n'est vraiment pas génial. A voir uniquement si on est un grand fan de ce genre de films.

Avec Amityville 2 : Le Possédé, Damiano Damiani réalise un excellent film d'épouvante sans conteste supérieur à son ainé dont il fait office de préquelle. L'histoire nous fait suivre Anthony Montelli, un homme fier d'avoir acheté une grande et somptueuse maison de style colonial à Amityville, dans le Long Island, pas très loin de New York. Emménageant avec sa femme et leurs quatre enfants, ils vont très vite faire face à d'étranges événements. Mais tout ceci n'est que le début d'une terrible descente aux enfers car bientôt la maison maléfique semble avoir une emprise sur Johnny, l'ainé, qui paraît possédé par le mal en personne. Ce scénario nous plonge pendant environ une heure et quarante-cinq minutes dans une intrigue aussi terrifiante que prenante. Et cela démarre dès les premières secondes qui parviennent immédiatement à nous immerger dans une ambiance menaçante et imprévisible qui va s'accentuer au fil du temps. Cette rencontre avec le mal va en effet donner lieu à des scènes ou les événements surnaturels et flippants vont s'enchaîner avec de plus en plus de fracas, faisant peu à peu perdre leurs nerfs aux membres de cette famille dysfonctionnelle. Certains passages sont saisissants tant la violence intrafamiliale est montrée sans concessions de façon sordide. L'ensemble est porté par des personnages bien interprétés par une distribution comportant Burt Young en père de famille violent, Rutanya Alda en mère protectrice, James Olson en prêtre afin d'exorciser le démon, et Jack Magner en jeune homme fortement inquiétant. Diane Franklin, Erika Katz ainsi que Brent Katz complètent la tribu. Tous ces individus entretiennent des rapports conflictuels et compliqués sous fond d'incompréhension face à ces étranges changements de comportement. Des échanges procurant beaucoup de crainte et de peur, soutenus par des dialogues de bonne facture. Sur la forme, la réalisation de Damiano Damiani s'avère particulièrement qualitative. On sent un véritable sens de la mise en scène chez le cinéaste italien qui nous offre des plans marquants, voir carrément traumatisants. Surtout, elle évolue dans une maison ayant un rôle central et primordial. Une bâtisse bénéficiant d'une véritable identité au point d'être vivante. Un effet accentué par les admirables effets spéciaux permettant de crédibiliser le tout. Ce visuel anxiogène est en plus accompagné par une b.o. signée Lalo Schifrin, déjà à l'œuvre sur le premier volet, dont les compositions sont en totale symbiose avec l'ambiance et l'action et renforcent encore plus l'inquiétude. Cette emprise maléfique s'achève sur une fin à la hauteur du reste du récit, venant ainsi mettre un terme à Amityville 2 : Le Possédé, qui, en conclusion, est un très grand film dans son genre cinématographique, faisant de lui un long-métrage à visionner sans hésiter.