Gentille comédie avec une très bonne idée de départ . Kad Merad est un peu neutre, toujours dans le même genre de role mais le jeune acteur s'en sort bien et Cornillac est tres drôle en cinéaste "inspiré". On sourit souvent surtout si on connaît les nombreuses allusions faites à différents films culte ou a l'histoire. Re-initialiser ses enfants, quel parent n'en n'a pas rêvé. ..
Voici une comédie légère et facile à suivre, un tantinet trop même car il est difficile de rentrer dans cette histoire malgré les moyens et les acteurs à l'affiche. On sent le plagiat à plein nez, entre Les Visiteurs et Retour vers le futur (que l'on cite en référence dans le film, honteux de s'en rapprocher si prés ?), il faut avoir 10 ans pour s’émerveiller de cette improbable aventure. A part l'excellente prestation de Clovis Cornillac, peu d'acteurs se démarquent, certains sont franchement déconcertants, invisibles. Tout se passe dans les jardins d’un grand domaine (avec le château en toile de fond qui ne sert à rien...), un grand jeu à ciel ouvert entre comédiens et figurants qui tournent devant des cameras sans vraiment croire à ce qu'ils font. Même Kad Merad ne semble être pas dans le film... L'idée n'est donc pas originale mais l'ion ne s'ennuie pas pour autant, ce "divertissement" que l'on oubliera vite joue pourtant bien son rôle...
Franchement, un bon petit film pour se détendre. Peu de longueur ni de temps morts. Des scènes très drôles et des scènes émouvantes sont présentes dans ce film. Les acteurs sont bons, les décors sont beaux, la mise en scène est assez bien travaillé, le scénario et les dialogues sont très bien écrits et la musique est superbe. Bref, un bon film pour se détendre et pour bien rigoler. Une assez belle surprise. Je vous conseillerais d'aller le voir au cinéma. Il vaut le coup !!! Vous ne serez pas déçu !!!
L'idée est sympa, même si d'autres l'ont déjà eue, d'un retour vers le passé et d'un choc de civilisations. Le scénario est quand même crédible, même si les ficelles sont un peu grosses. C'est un film moyen. Un tel casting peut mieux faire et a déjà beaucoup mieux fait !
Quel dommage je n'ai pas envie de mettre une note si basse mais les dialogues sont trop mal écrits ! L'idée était très bonne et l'acteur principal tellement mignon. Mais c'est pas drôle du tout alors que c'est fait pour rire on le voit, on a envie que çaa soit drôle, mais non. C'en est gênant. Par contre j'ai aimé l'histoire, c'est vraiment du gachis.
C'est un petit film gentillet qui se termine avec un filet d'eau de rose. Bon en fait le suspense consiste en " Quand est ce que le Larbin ( Louis) va se rendre compte que tout cela est une gigantesque mise en scène" ? Une interrogation existentielle demeure : Peux t -on vraiment re-éduquer les petits jeunes - fils de milliardaires - aux réalités de la vie ? Les scènes de teuf dans la suite royale, sont assez parlantes ! Sinon les reconstitutions tiennent la route. Une mention spéciale à Clovis Cornillac qui se prend pour Orson Welles et qui émarge ses discours de locutions anglaises... Bref un film a aller voir pour se changer - un peu - les idées
Comédie somme toute déjantée d'Alexandre Charlot et Franck Magnier, qui fait tout de suite penser aux "Visiteurs" ( Plus de 30 ans !) dans un scénario franchement improbable et qui surprend par construction et mise en scène amusante. Le plus déjanté est bien Clovis Cornillac ( Chris Pamler ) parodiant les réalisateurs américains ( attitude, cheveux longs, accent ), dans une reconstitution style "retour vers le passé", destinée à remettre dans le bon chemin le petit Louis ( Adrien Cattin ) fils du géant de l’hôtellerie : Jean-François Casteigne ( Kad Merad ). Il faut reconnaître un grand nombre de scènes cocasses, puisque le poste de "Valet de pisse", c'est à dire valet d'aisance, lui revient, et qu'une intrigue romanesque lui est concoctée. Evidemment, tout ce se passe pas comme prévu, et le jeune va "retrouver" ses repères dans les yeux de Lison ( Jade Pedri ). Énormément de rires et de situations burlesques. Bien que les critiques ne semblent pas suivre, j'ai apprécié cette comédie assez osée, qui vous fera passer un très agréable moment ( comme tous mes voisins de salle ). Un regret : le talent d' Isabelle Carre ( la maman ) n'est pas du tout utilisé, dommage... !!**
Une comédie avec Merad et Cornillac qui a son originalité et même une certaine légitimité mais à côté d'un côté romantique un peu trop convenu il y a les excès du réalisateur mégalo avec des bêtises dans la représentation du début du XVIIIème siècle alors que l'ensemble était bien élaboré et le vrai faux débat sur les abus des riches car jamais abouti.
Le film à une histoire sympa de base, en gros remettre un petit merdeux face à la réalité de la vie et qui, dans le film, en effet, tu as envie de le tarter tellement il a une personnalité désagréable...et j'avoue que j'ai apprécié de le voir un peu se faire remuer (même si cela reste bien gentillet). Mais ce qui fais que le film est vraiment sympa à voir réside dans une chose : le jeu de Clovis Cornillac, top en réalisateur déjanté et au réplique qui claque et à Marc Riso en pote du fils à papa au 17e qui se démène comme un fada pour que Louis se croît revenu dans le passé. Ses deux là éclipse tout les autres. J'ai aimé vraiment cette petite comédie qui ne paye pas de mine mais qui donne le sourire. NOTE : 7/10
Une comédie estivale sans prétention, dans la même inspiration que Pourris gâtés. Néanmoins, là où le film avec Gérard Jugnot s'attardait sur une analyse socio-économique de bon aloi, Le larbin s'intéresse plutôt à la mise en abyme d'un plateau de cinéma, sous la coupe du génial Clovis Cornillac, dans un rôle malin et hilarant de Kubrick + Tarantino sous inhalateur vaporub.
À mi-chemin entre The Truman Show (Peter Weir, 1998), auquel il emprunte le dispositif de mise en scène du quotidien factice d’un homme ignorant qu’il est filmé, et Les Visiteurs (Jean-Marie Poiré, 1993), suivant l’amalgame malheureux du parler médiéval et du parler classique – n’oublions pas non plus les écarts de langage par l’introduction de formules contemporaines dans la bouche de personnages censés évoluer au XVIIe siècle… –, Le Larbin délaisse la critique des médias du premier ainsi que sa réflexion sur l’entrelacs du vrai et du faux inhérent à nos existences d’aujourd’hui, et échoue à extraire du second la singularité de sa drôlerie tout à la fois gestuelle, verbale et visuelle. Son échec relatif, puisqu’il demeure un divertissement regardable, tient alors à la pauvreté de son écriture comique, qui ne repose que sur des anachronismes et des situations faciles (la dance de l’ours, par exemple) ; le rire, s’il advient, est référentiel et ne repose jamais sur un quelconque savoir-faire en matière de rythme, de cadrage ou de montage. Dit autrement, il relève davantage du sitcom ou de la série télévisée diffusée après le journal du soir que du cinéma. Seule la partition musicale signée Alexandre Azaria confère à l’ensemble une originalité tonale, mêlant habilement orchestration classique et sonorités électroniques. Voilà donc un conte des plus convenus, en dépit de la volonté de transgresser le quatrième mur par une explicitation de la position de spectateurs – le réalisateur interprété par Clovis Cornillac mange des pop-corn dans un saut ! – qui conduit à restreindre l’espace de jeu des comédiens confirmés, Isabelle Carré et Kad Merad en tête.
Un petit air de "The Truman show" revisité façon frenchie, ce n'est pas une grande réussite mais un film gentillet, qui est assez maladroit à son début mais se rattrape un peu sur la fin. Inspiré d'un roman d'été (pour la plage ou pour le train certainement). Le film patauge un peu au début et le rôle de Clovis Cornillac qui en fait des tonnes en metteur en scène très très imbu de sa personne et très (peu) inspiré par le cinéma américain est lourd et indigeste. On en ressort avec un sentiment de réussite bien mitigé mais tout de même l'impression d'un bon moment passé dans une salle obscure, mais sans l'extase et sans la grâce d'un grand moment du 7ème art.
Le PDG d’une chaîne d’hôtel, très riche subit les bêtises et le manque d’éducation de son fils. Pour lui donner une bonne leçon, il va lui faire croire qu’il a voyagé dans le temps et qu’il vit désormais sous Louis XIV. Il devient alors valet d’un vicomte et va en baver… Comédie grotesque, lourde et pas drôle.
Bonjour, Que les comédies de nos jours sont mauvaises, beaucoup d argent pour des films sans saveurs Même les comédiens deviennent mauvais, seule Jade Pedri rayonne par son charme et sa beauté Scénar bidon, réalisation et mise en scène ratées, pourtant l idée de l histoire aurait été pas mal..... Juste bon pour un téléfilm d hiver au chaud avec la famille Dommage, encore une fois la comédie a la française est décevante