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Pâle récit d’un inceste. La victime se cherche en vain des témoins pour la soutenir. Elle se retrouve seule face à ce souvenir qui la hante. Récit monotone.
Ufuk K
"Une famille" bien accueilli par la presse, est un documentaire autobiographique convenable. En effet la réalisatrice Christine Angot part à la rencontre de plusieurs personnes de son entourage (la veuve de son père incestueux, sa mère Rachel, sa fille Léonore, son ex-mari Claude) et les interroge vis-à-vis de l'inceste qu'elle a subi par son père, même si j'ai trouvé l'ensemble parfois théâtral et un peu trop mécanique, ce documentaire est utilité publique pour toutes les personnes qui ont subi des violences sexuelles avec en prime une belle leçon de résilience de la part de la réalisatrice Christine Angot.
Fort, poignant, utile, comme toute parole qui se libère, comme toute porte qui s'ouvre enfin, même s'il faut mettre le pied dedans pour ne pas qu'elle se referme.
L'inceste est une violence. Le viol est une violence. Le silence est une violence. Ce film tente de priser le silence, malheureusement par la violence aussi.
Comme le dit son avocat dans le film, cela dépasse la "petite" histoire de chacun des protagonistes, c'est devenu d'utilité et d'intérêt public ! C'est ce qui donne à ce film tout son intérêt et finalement en fait un miroir sur le mal crée par nos propres secrets familiaux.
Le combat d'une vie pour un peu de compassion et d''empathie, la quête de paroles à faire sortir à tout prix du silence cruel. et parfois il faut savoir mettre un pieds dans la porte, pour faire enfin parler certaines personnes. C'est un documentaire qui montre les dégâts fait par le choix du silence ou les non dits, par le nombrilisme et la volonté de ne pas voir ce qui pourrait dérangé son petit confort. La colère de Christine Angot est tellement légitime, qu'on accepte le malaise qu'elle crée en aiguillonnant ceux dont elle a toujours attendu qques mots de soutien et de réconfort, si ce n'est de vérité. Christine Angot nous propose une psychothérapie collective, un peu au forceps, mais malgré tout captivante et dont on devrait s'inspirer dans son caractère libératoire.
C'est bouleversant de sincérité et finalement d'exemplarité.
Un documentaire qui s''inscrit dans le mouvement de libération de la parole des victimes de crimes ou d'agression sexuels, mais qui montre aussi le long chemin depuis la fin du 20ème siècle suivi par une femme écrivaine à qui il a fallu bcp de courage, un talent littéraire et qques amies fidèles pour ne pas sombrer.
Le combat d'une vie pour un peu de compassion et d''empathie, la quête de paroles à faire sortir à tout prix du silence cruel. et parfois il faut savoir mettre un pieds dans la porte, pour faire enfin parler certaines personnes. C'est un documentaire qui montre les dégâts fait par le choix du silence ou les non dits, par le nombrilisme et la volonté de ne pas voir ce qui pourrait dérangé son petit confort. La colère de Christine Angot est tellement légitime, qu'on accepte le malaise qu'elle crée en aiguillonnant ceux dont elle a toujours attendu qques mots de soutien et de réconfort, si ce n'est de vérité. Christine Angot nous propose une psychothérapie collective, un peu au forceps, mais malgré tout captivante et dont on devrait s'inspirer dans son caractère libératoire.
C'est bouleversant de sincérité et finalement d'exemplarité.
Un documentaire qui s''inscrit dans le mouvement de libération de la parole des victimes de crimes ou d'agression sexuels, mais qui montre aussi le long chemin depuis la fin du 20ème siècle suivi par une femme écrivaine à qui il a fallu bcp de courage, un talent littéraire et qques amies fidèles pour ne pas sombrer.
Tout le monde connaît l’univers de Christine Angot fait de rage, de colère, en écriture, en littérature. Ce documentaire autobiographique est très malséant à voir. On y voit sa propre fille. Ce qui m’a paru très choquant compte tenu de l’histoire de sa mère. Mettre les enfants dans les histoires des ascendants n’est pas la chose la plus efficiente.
Film très difficile. Non par la thématique mais par la réalisation. Difficile à voir tellement c’est mal filmé.
Film très difficile. Non par la thématique mais par la réalisation. Difficile à voir tellement c’est mal filmé.
La narcissique Angot continue son auto exploration au cinéma.
Le culot phénoménal qui l'anime la pousse à rencontrer les protagonistes de son récit, afin qu'ils expient leurs péchés. Largement évitable.
Le culot phénoménal qui l'anime la pousse à rencontrer les protagonistes de son récit, afin qu'ils expient leurs péchés. Largement évitable.
Tout le monde n'a pas lu les livres de Christine Angot. Alors ce film est nécessaire. Mettre un visage sur les protagonistes ( mère, belle-mère, ex-mari, fille, compagnon actuel) n'est pas fondamental. Ce que chacun répond aux interrogations de Mme Angot permet par contre d'éclairer l'attitude ( le silence pour beaucoup) de chaque personne. Mention particulièrement glaçante pour la mère et la belle-mère. La voix off qui accompagne les images apparemment idylliques de l'été 1993 donne envie de pleurer. Quant à Mr Ardisson et sa clique, chacun se fera son opinion ...
Un chef-d'œuvre. On assiste à la duplicité de ceux qui protègent les bourreaux, on voit malheureusement l'impuissance de ceux qui veulent comprendre. La fin est magnifique et nous porte. Merci à vous et à votre famille Christine Angot.
Un film que tout le monde devrait voir tant il est puissant, bouleversant mais surtout nécessaire… Merci de continuer à libérer la parole !
Le discours désincarné de sa belle-mère qui ne cherche qu'à éloigner le crime dont elle dit ne pas avoir la preuve...Le tableau de son entrée d'appartement représentant un corps de femme déstructuré...Cette façon d'utiliser la langue allemande histoire de bien faire ressentir qu'elle est étrangère à tout ça, ce truc indicible, qui n'est pas son truc...Tout ça est éloquent.
C'est trop sale pour elle !
Sa mère est plus authentique même si elle n'a pas les mots pour vraiment consoler sa fille.
Heureusement que son ex-mari et leur fille sont eux touchés et émouvants.
Il est tellement compliqué de guérir de la honte, d'expliquer la force de l'emprise et pourtant c'est bien ainsi que cela se passe.
C'est trop sale pour elle !
Sa mère est plus authentique même si elle n'a pas les mots pour vraiment consoler sa fille.
Heureusement que son ex-mari et leur fille sont eux touchés et émouvants.
Il est tellement compliqué de guérir de la honte, d'expliquer la force de l'emprise et pourtant c'est bien ainsi que cela se passe.
C'est un bien mauvais reportage sur la seule personne de Christine Angot, toujours aussi brouillonne dans ses propos comme l'est d'ailleurs le film. Bien entendu que l'indifférence qu'a connue Angot face à l'inceste est révoltante et que l'on n'a guère d'empathie pour la femme du père incestueux mais il ne ressort pas grand chose de ce film sinon ce que l'on savait déjà par des témoignages ou des livres bien plus bouleversants et moins auto-centres. Mais a- t'on le droit aujourd'hui de critiquer ce film sans passer pour indifférente au phénomène de l'inceste...... je me le demande
Très bon docu salutaire par ce qu'il dit et montre de la réaction des proches face à l'inceste...touchant et percutant par la volonté de vérité, dans les mots notamment par Christine Angot. j'ai beaucoup aimé
Heureusement que je n’ai pas payé ma place
Ce film est long mal filmé, c’est un docu d’après-midi de France 3 région - je parle cinématographiquement
D’abord parce que je suis sorti au bout de 30min
Ensuite parce que ça reste une psychothérapie et ce ne va pas plus loin
Cet entre soi est méprisant pour toutes celles qui souffrent
Ce film est long mal filmé, c’est un docu d’après-midi de France 3 région - je parle cinématographiquement
D’abord parce que je suis sorti au bout de 30min
Ensuite parce que ça reste une psychothérapie et ce ne va pas plus loin
Cet entre soi est méprisant pour toutes celles qui souffrent
Non je ne trouve pas Christine Angot violente. Elle est toujours prête à entendre ce que l'autre a à lui dire. Ce qui est tout le contraire de la violence. Âpre et dérangeante par moments peut-être mais violente jamais.
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