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Ce conte lumineux offre un antidote à la course effrénée au profit ; il ménage un espace de résonance et fait jaillir la plus belle musique qui soit : une ode à la bonté agissante et à la beauté qui lui emboîte le pas.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dans sa capacité à nouer une tragi-comédie dans des petites choses très quotidiennes, simples, parfois triviales, La Pie voleuse s’apparenterait plutôt, toutes proportions gardées, aux miniatures de Pagnol ou d’Ozu.
Robert Guédiguian revient avec un 24e long-métrage qui renoue avec l'esprit engagé, mais léger, de ses premières chroniques marseillaises en forme de fables.
Avec "La Pie Voleuse", le cinéaste [Robert Guédiguian ] ne déroge pas non plus à la règle d'une chronique en forme de fable sociale. On pourra certes juger le propos moins ambitieux que celui du film précédent (Et la fête continue !) mais on aura tort.
Mais à travers ses évocations de la solitude, de la tentation, du désir d’atteindre le bonheur auquel d’autres ont accès, et à travers une fable mélodieuse animée par la troupe habituelle du cinéaste, Robert Guédiguian nous invite surtout à porter notre regard sur une succession d’erreurs qui sauront forcément trouver réparation. Il suffit d’y porter un regard juste, bienveillant… et ensoleillé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Robert Guédiguian nous arrive une nouvelle fois à l’Estaque, dans cette belle fable qui distille, en musique et à plaisir, de la légèreté, de la grâce et de la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec "La Pie voleuse", Robert Guédiguian revient dans le quartier emblématique de l’Estaque, qui a façonné son cinéma social et poétique. Il tisse une intrigue intime et sensible où de petits larcins révèlent l’humanité des oubliés du capitalisme.
Que celui ou celle qui ne verse pas de petites larmes à la vision de ce beau film aux émotions pagnolesques, et donc dignes et pudiques, ne m’adresse plus jamais la parole.
Le récit ne cesse de rebondir, oscillant habilement entre chronique sociale et polar. On entre en sympathie avec cette redoutable pie voleuse, aussi manipulatrice que généreuse. Le réalisateur aime ses personnages, roublards, coquins, pas méchants. Rieurs, mais lestés d’une mélancolie profonde.
Guédiguian fait du Guédignian dans une comédie dramatique marseillaise, douce amère, où encore une fois, il réunit ses comédiens favoris qui se donnent à cœur joie pour illuminer leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
On passera sur les quelques maladresses qui empêchent « la Pie voleuse » d’atteindre l’altitude des tout meilleurs films du conteur de l’Estaque : sa délicatesse à l’égard des tragédies qui rongent ces « gens de peu » (formule hugolienne citée ici) le rend néanmoins précieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De retour dans son quartier de l’Estaque, le cinéaste signe un conte social et sentimental qui renoue avec l’esprit de ses grands succès, sans en retrouver tout à fait la magie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Il faut bien reconnaître que le réalisateur ronronne avec cet opus moins inspiré et politique où l’on retrouve sa fidèle troupe d’acteurs emmenée par une Ariane Ascaride (là encore formidable) dans la peau d’une auxiliaire de vie qui soutire un peu d’argent aux personnes âgées auxquelles elle se dévoue.
Joliment écrite – à l’exception de quelques raccourcis et facilités scénaristiques dans sa partie polar –, cette « Pie voleuse » amuse et appelle à la solidarité plutôt qu’à l’opposition entre les classes sociales. En somme, c’est frais, humaniste et agrémenté d’un propos bienvenu sur le « prendre soin ». Valeur magnifiée pendant l’époque Covid avant de retomber un peu trop vite dans l’oubli.
La beauté du geste tient dans cette façon anti-spectaculaire (mise en scène à l’épure souveraine) mais efficace (ça va vite) de tenir en haleine un spectateur qui n’est jamais pris pour un touriste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si le film laisse un goût d'inachevé, on aime retrouve la fidèle troupe d'acteurs de Guédiguian, un échantillon de cette humanité en laquelle le cinéaste n'a jamais cessé de croire.
Pensé comme un conte social où une aide à domicile abuse financièrement des personnes qui l’emploient à Marseille, le film de Robert Guédiguian multiplie les scènes malaisantes, quitte à tomber dans la caricature sexiste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
On a beau admettre que la naïveté peut être vectrice d’espoirs et d’utopies humanistes, un registre aussi sensible que le drame social nécessite malgré tout du tact et de la nuance. Pour le coup, le temps d’un film, Guédiguian semble avoir péché par excès de facilité. Tant pis, il fera mieux la prochaine fois.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Plus belle la vie à l’Estaque ? Oui et non. La nostalgie, politique et sentimentale, de Guédiguian vire à l’aigre. C’est moins systématique que dans le très réactionnaire Gloria Mundi , qui accablait la jeunesse de tous les maux, de la débauche à la cupidité, mais c’est tout de même triste de penser et filmer cette fracture générationnelle avec si peu de nuances.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
C’est un cinéma très marseillais, très Guédiguian, très l’Estaque, filmé de façon somptueuse par le réalisateur.
Bande à part
Ce conte lumineux offre un antidote à la course effrénée au profit ; il ménage un espace de résonance et fait jaillir la plus belle musique qui soit : une ode à la bonté agissante et à la beauté qui lui emboîte le pas.
Cahiers du Cinéma
Dans sa capacité à nouer une tragi-comédie dans des petites choses très quotidiennes, simples, parfois triviales, La Pie voleuse s’apparenterait plutôt, toutes proportions gardées, aux miniatures de Pagnol ou d’Ozu.
Critikat.com
La beauté de La Pie voleuse, film moins révolutionnaire que proprement utopique, tient à son romantisme teinté de candeur.
Elle
Une fable rafraîchissante.
Franceinfo Culture
Robert Guédiguian revient avec un 24e long-métrage qui renoue avec l'esprit engagé, mais léger, de ses premières chroniques marseillaises en forme de fables.
La Tribune Dimanche
Avec "La Pie Voleuse", le cinéaste [Robert Guédiguian ] ne déroge pas non plus à la règle d'une chronique en forme de fable sociale. On pourra certes juger le propos moins ambitieux que celui du film précédent (Et la fête continue !) mais on aura tort.
La Voix du Nord
Mais à travers ses évocations de la solitude, de la tentation, du désir d’atteindre le bonheur auquel d’autres ont accès, et à travers une fable mélodieuse animée par la troupe habituelle du cinéaste, Robert Guédiguian nous invite surtout à porter notre regard sur une succession d’erreurs qui sauront forcément trouver réparation. Il suffit d’y porter un regard juste, bienveillant… et ensoleillé.
Le Monde
Robert Guédiguian nous arrive une nouvelle fois à l’Estaque, dans cette belle fable qui distille, en musique et à plaisir, de la légèreté, de la grâce et de la lumière.
Les Echos
Un nouveau chapitre dans une saga de quarante ans où chaque page écrit aussi l'amour qu'il porte à son actrice.
Les Fiches du Cinéma
Avec "La Pie voleuse", Robert Guédiguian revient dans le quartier emblématique de l’Estaque, qui a façonné son cinéma social et poétique. Il tisse une intrigue intime et sensible où de petits larcins révèlent l’humanité des oubliés du capitalisme.
Les Inrockuptibles
Que celui ou celle qui ne verse pas de petites larmes à la vision de ce beau film aux émotions pagnolesques, et donc dignes et pudiques, ne m’adresse plus jamais la parole.
Ouest France
Un regard comme toujours pertinent sur la société d’aujourd’hui.
Sud Ouest
Le récit ne cesse de rebondir, oscillant habilement entre chronique sociale et polar. On entre en sympathie avec cette redoutable pie voleuse, aussi manipulatrice que généreuse. Le réalisateur aime ses personnages, roublards, coquins, pas méchants. Rieurs, mais lestés d’une mélancolie profonde.
Télérama
Un très bon cru du cinéaste de l’Estaque, illuminé par une grande Ariane Ascaride !
aVoir-aLire.com
Guédiguian fait du Guédignian dans une comédie dramatique marseillaise, douce amère, où encore une fois, il réunit ses comédiens favoris qui se donnent à cœur joie pour illuminer leurs personnages.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une chronique douce-amère sur les petites gens et les invisibles, avec une Ariane Ascaride lumineuse.
Diverto
Il y a dans La pie voleuse beaucoup d’amour mais aussi pas mal de révolte sociale pour un film aussi amoureux que militant.
L'Obs
On passera sur les quelques maladresses qui empêchent « la Pie voleuse » d’atteindre l’altitude des tout meilleurs films du conteur de l’Estaque : sa délicatesse à l’égard des tragédies qui rongent ces « gens de peu » (formule hugolienne citée ici) le rend néanmoins précieux.
La Croix
De retour dans son quartier de l’Estaque, le cinéaste signe un conte social et sentimental qui renoue avec l’esprit de ses grands succès, sans en retrouver tout à fait la magie.
Le Dauphiné Libéré
Sous l’apparente légèreté de ce conte, des questions profondes.
Le Journal du Dimanche
Il faut bien reconnaître que le réalisateur ronronne avec cet opus moins inspiré et politique où l’on retrouve sa fidèle troupe d’acteurs emmenée par une Ariane Ascaride (là encore formidable) dans la peau d’une auxiliaire de vie qui soutire un peu d’argent aux personnes âgées auxquelles elle se dévoue.
Nice-Matin
Joliment écrite – à l’exception de quelques raccourcis et facilités scénaristiques dans sa partie polar –, cette « Pie voleuse » amuse et appelle à la solidarité plutôt qu’à l’opposition entre les classes sociales. En somme, c’est frais, humaniste et agrémenté d’un propos bienvenu sur le « prendre soin ». Valeur magnifiée pendant l’époque Covid avant de retomber un peu trop vite dans l’oubli.
Paris Match
Un récit parfois minimaliste que le cinéaste sait transcender avec sa patte si particulière en un film solaire, amoureux, cruel, militant.
Première
La beauté du geste tient dans cette façon anti-spectaculaire (mise en scène à l’épure souveraine) mais efficace (ça va vite) de tenir en haleine un spectateur qui n’est jamais pris pour un touriste.
Télé 7 Jours
Si le film laisse un goût d'inachevé, on aime retrouve la fidèle troupe d'acteurs de Guédiguian, un échantillon de cette humanité en laquelle le cinéaste n'a jamais cessé de croire.
Version Femina
Une comédie dramatique aux accents sociétaux dont la mise en scène, classique, offre néanmoins de la tendresse et du romanesque.
Libération
Pensé comme un conte social où une aide à domicile abuse financièrement des personnes qui l’emploient à Marseille, le film de Robert Guédiguian multiplie les scènes malaisantes, quitte à tomber dans la caricature sexiste.
Marianne
Robert Guédiguian toujours à Marseille, mais en petite forme.
Télé 2 semaines
Un film bancal.
Abus de Ciné
On a beau admettre que la naïveté peut être vectrice d’espoirs et d’utopies humanistes, un registre aussi sensible que le drame social nécessite malgré tout du tact et de la nuance. Pour le coup, le temps d’un film, Guédiguian semble avoir péché par excès de facilité. Tant pis, il fera mieux la prochaine fois.
Le Figaro
Plus belle la vie à l’Estaque ? Oui et non. La nostalgie, politique et sentimentale, de Guédiguian vire à l’aigre. C’est moins systématique que dans le très réactionnaire Gloria Mundi , qui accablait la jeunesse de tous les maux, de la débauche à la cupidité, mais c’est tout de même triste de penser et filmer cette fracture générationnelle avec si peu de nuances.