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Votre avis sur Joe contre le volcan ?
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AMCHI
Voici le 1er film qui réunit le couple Meg Ryan/Tom Hanks. Après un bon début notamment la scène de l'usine enfumée ou tout est triste Joe contre le volcan est une comédie qui s'essouffle et c'est plutôt l'ennui que le rire que je ressentis en voyant ce film. Dommage cela aurait pu être une bonne comédie délirante.
Un film singulier, dèroutant, en marge! Produit par Steven Spielberg, "Joe contre le volcan" est rèalisè par un inconnu John Patrick Stanley, scènariste et homme de thèâtre! Celui-ci dèlivre un message tout bête mais essentiel: halte à l'aliènation, halte au système! Après un dèbut à l'intersection de "Brazil" et de "Pink Floyd, The Wall", cette comèdie fantastique cherche sa voie! A tatillon, il finit par la trouver! Gentil, idèaliste, onirique, fonctionnant sur des ressorts surrèalistes, le film passe de la comèdie sentimentale au dèlire burlesque avec un duo plein de charme: Tom Hanks-Meg Ryan! Sans attache rèaliste, balottè par une imagination toujours à l'affût de l'insolite, "Joe contre le volcan" se dèroule au rythme d'une bande sonore fournie! Ray Charles, Elvis Presley ("Blue Moon"), Jorge Ben...Beau comme un mèlodrame en cinèmascope des annèes 50, le film de John Patrick Stanley laisse un souvenir particulièrement agrèable! Et durable...
Ca commence très bien dans l'usine lugubre avec un tom hanks super marrant et attachant, mais le film s'essouffle, bref ça en vaut la peine juste pour la 1ere moitié du film
Joe contre le volcan fait partie de ces curiosités filmiques qui se soldent le plus souvent en échecs. Non pas que le film soit mauvais, il est juste déstabilisant. En effet, ce premier long-métrage écrit et réalisé par un sombre inconnu nous entraîne dans une aventure déroutante construite sur plusieurs paliers où un hypocondriaque sur le point de mourir se voit offrir par un riche industriel l'occasion de dépenser une folle somme d'argent en 48h s'il saute dans le volcan d'une petite île tropicale méconnue. Sa vie étant d'un morne considérable, notre héros accepte... Joe, c'est Tom Hanks, angélique et parfois déjanté comme on l'aime, un jeune homme solitaire et dépressif qui va peu à peu reprendre goût à la vie en dépensant l'argent du contribuable, s'achetant des costumes hors de prix, voyageant en limousine et dînant dans les meilleurs restaurants avant de s'envoler en première classe vers son funeste destin. Avant cela, il rencontrera Angelica et sa demi-sœur jumelle Patricia (Meg Ryan, qui endosse trois rôles distincts tous aussi délurés les uns que les autres), cette dernière étant le capitaine du yacht l'emmenant sur l'île et avec qui il va devoir rester arrivé sur place suite à un naufrage... Sans cesse évolutive tout en restant dans sa principale optique, Joe contre le volcan demeure indéniablement singulier, le film de s'apparentant plus à un conte moderne qu'à une aventure épique. Commençant par le fameux "Il était une fois..." pour s'achever sur une morale ambiguë, le film ne contient pas vraiment de rebondissements marquants et préfère avancer lentement par étapes (la vie de Joe au début, ses emplettes en ville, son voyage pour l'île et son arrivée définitive). Toutefois, malgré un rythme dénoué de toute dynamique - pour ne pas dire extrêmement lent - et des scènes humoristiques relativement absentes, le long-métrage parvient à nous toucher justement grâce à sa singularité et à son dénouement inattendu. Ainsi, sans être une comédie burlesque ou un film d'aventures trépidant comme on pourrait le penser, Joe contre le volcan est une œuvre textuellement bizarre qui peut aisément ne pas trouver son public mais qui a le mérite de proposer une fable contemporaine sur le besoin d'exister.
L'humour est fade, le jeu des acteurs est moyen, cela sent le bricolage malgré quelques très bons titres dans la BO. Le couple Tom Hanks / Meg Ryan sera reformé plusieurs autres fois pour notre grand plaisir. J'ai trouvé le rythme trop lent. Il y a cependant quelques belles scènes, celle de la lune et du radeau, par exemple. Mais dans son ensemble, cette comédie romantique est décevante.
Frédéric M.
Un peu déçu malgré le casting (fan de Tom Hanks). Le film se veut raconter à la manière d'un conte, distillé par quelques bonnes idées visuelles, et une histoire qui a le mérite d'etre original. Le film vieillit un peu mal. Se laisse voir par curiosité, mais ne me marquera pas.
RealPrime
Produit par le trio parfait (Spielberg/Kennedy/Marshall), et démarrant par une bande son démente pour un générique parfaitement orchestrer, une photographie sublime pour démontrer la banalité et le sombre d'un milieu professionnel très peu passionnant ou toutes et tous sont moroses, ce film est une petite perle d'interprétation ou tous cela est superbement montrer.
spoiler:
Tom Hanks y joue lui un excellent responsable des pub dont la lassitude est génialement montrer, une scène avec son patron ou se dernier lui dénonce son "manque de professionnalisme" et ou il doit considérablement se remettre dans le droit chemin.
Puis l'autre grande scène ou il annonce clairement sa démission en grande fanfare et ou il montre sa haine profonde envers son boss mais son amitié profonde pour son unique collègue féminine. Un moment unique. Puis viens le moment ou on lui annonce son départ pour cette île bien inconnue ou il doit clairement se jeter dans un volcan pour en assouvir la soif spirituelle (LOL). En arrivant sur cette île, et même bien avant avec cet immense orage superbement filmer avec ce qu'il faut d'action. Puis bienvenu sur cette île ou ses habitants tous à moitié obèse (délicate satire de l'Amérique sucrée/salée) et aux accessoires très bien penser, des décors géniaux et non ridicule pour nous faire parfaitement voyager à l'autre bout de notre quotidien. Une romance simplement filmée mais très bonne, un très bonne humour et des dialogues géniaux. Le final par contre sera l’incompréhension totale en raison de ce sacrifice inachevé ou nos héros se jetant dans le volcan, en ressorte catapulter comme si de rien n'était, pas compris du tous. Mais dans l'ensemble, s'il on en oublie ce petit détail, un moment génial sur le monde professionnel sombre ou l'isolement quotidien nous enferme littéralement, ou cette ambiance est presque tournée vers une satire très bien penser. Ou Tom Hanks excelle littéralement, une petite bombe.
Puis l'autre grande scène ou il annonce clairement sa démission en grande fanfare et ou il montre sa haine profonde envers son boss mais son amitié profonde pour son unique collègue féminine. Un moment unique. Puis viens le moment ou on lui annonce son départ pour cette île bien inconnue ou il doit clairement se jeter dans un volcan pour en assouvir la soif spirituelle (LOL). En arrivant sur cette île, et même bien avant avec cet immense orage superbement filmer avec ce qu'il faut d'action. Puis bienvenu sur cette île ou ses habitants tous à moitié obèse (délicate satire de l'Amérique sucrée/salée) et aux accessoires très bien penser, des décors géniaux et non ridicule pour nous faire parfaitement voyager à l'autre bout de notre quotidien. Une romance simplement filmée mais très bonne, un très bonne humour et des dialogues géniaux. Le final par contre sera l’incompréhension totale en raison de ce sacrifice inachevé ou nos héros se jetant dans le volcan, en ressorte catapulter comme si de rien n'était, pas compris du tous. Mais dans l'ensemble, s'il on en oublie ce petit détail, un moment génial sur le monde professionnel sombre ou l'isolement quotidien nous enferme littéralement, ou cette ambiance est presque tournée vers une satire très bien penser. Ou Tom Hanks excelle littéralement, une petite bombe.
Un film à accepter tel qu'il est, avec sa radicalité de ton, qui le distingue des produits hollywoodiens habituels. Tom Hanks et Meg Ryan sont évidemment excellents, mais c'est la musique de Delerue qui mérite le plus d'éloges dans ce film qui se revoit assez facilement, chaque scène ayant quelque chose de culte. Hélas on pourra reprocher que les scènes s'enchaînent mal, et ont des tons radicalement différents, ce qui pourra déstabiliser certains spectateurs, d'autres accepteront cette singularité et apprécieront pleinement le film. Tout colle à l'évolution du personnage et à la singularité de son regard sur le monde. De fait, tout est exagéré ou décalé. 4/5
Surprenante production AMBLIN ENTERTAINMENT méconnue du grand public car peu diffuser sur nos ondes. Bon divertissement familial.
Un film surprenant, surtout quand on se rappelle des autres films réunissant Meg Ryan et Tom Hanks (nuit blanche à Seattle, vous avez un nouveau message) qui sont eux, pour le coup, totalement insipide. Le début du film reste selon moi un pur moment qui vaut vraiment la peine d'être vu, avec une longue métaphore filée de la descente à l'usine comme d'une digestion lente et inversée. Par la suite le film s'essouffle un peu, pour finir bâclé.
Dans la série "film décalé", on peut piocher entre autre "Brazil", "Toys", "Einstein junior", "Pee wee big adventure" et/ou ce qui nous amène ici, "Joe contre le volcan".
Qu'est-ce qu'un film décalé : Bah c'est qu'il est décalé et de par ce fait ne perd pas son temps à décalquer la réalité mais à la sublimer. Du coup il ne nous reste plus qu'à suivre des images oniriques avec soit un sourire de circonstance soit un bâillement sans équivoque. Et c'est bien là tout le problème de ce genre de film. Soit on accroche et on crie au génie soit on décroche et on crie au scandale, un peu comme devant un tableau d'art abstrait.
Ici Joe (notre héros) travaille littéralement comme un zombi dans une usine qui n'est pas sans rappeler le bureau du héros de Brazil ou encore celui du building bateau pirate des Monty Python. Joe découvre qu'il a une maladie incurable et décide donc d'accepter la proposition d'un millionnaire, d'aller se jeter dans un volcan pour sauver une peuplade qui se goinfre de jus d'orange avec des bulles. Sur le chemin, Joe croisera trois femmes (toutes incarnées par Meg Ryan) qui seront le reflet de la personnalité de Joe. 3 est d'ailleurs un chiffre qui reviendra régulièrement dans le film puisque le film est découpé en trois parties (New York, Los Angeles, Pacifique), et que le logo de l'entreprise où travaille Joe se retrouve à trois reprises (Le chemin qui mène à l'entreprise, la fissure dans le mur dans l'appartement de Joe, le chemin qui mène au volcan). Chacun y verra ou pas des allusions à notre société plus ou moins déguisées (et que je vous laisse décrypter) et évidemment, comme dans tous contes, une morale sur la vie.
Ce film a été un véritable flop à sa sortie en salle en 1990 et il aura fallu attendre 3 années pour que nos deux acteurs retrouvent le succès, en conjurant le sort, en retournant ensemble dans "Nuits blanches à Seatle".
Quant à mon avis sur ce film, sans aller jusqu'à crier au génie, je dirai qu'il se laisse regarder, que certaines images sont de toutes beautés, que les acteurs sont pétillants mais qu'on les a connu plus déjantés; Le film y aurait grandement gagné.
Qu'est-ce qu'un film décalé : Bah c'est qu'il est décalé et de par ce fait ne perd pas son temps à décalquer la réalité mais à la sublimer. Du coup il ne nous reste plus qu'à suivre des images oniriques avec soit un sourire de circonstance soit un bâillement sans équivoque. Et c'est bien là tout le problème de ce genre de film. Soit on accroche et on crie au génie soit on décroche et on crie au scandale, un peu comme devant un tableau d'art abstrait.
Ici Joe (notre héros) travaille littéralement comme un zombi dans une usine qui n'est pas sans rappeler le bureau du héros de Brazil ou encore celui du building bateau pirate des Monty Python. Joe découvre qu'il a une maladie incurable et décide donc d'accepter la proposition d'un millionnaire, d'aller se jeter dans un volcan pour sauver une peuplade qui se goinfre de jus d'orange avec des bulles. Sur le chemin, Joe croisera trois femmes (toutes incarnées par Meg Ryan) qui seront le reflet de la personnalité de Joe. 3 est d'ailleurs un chiffre qui reviendra régulièrement dans le film puisque le film est découpé en trois parties (New York, Los Angeles, Pacifique), et que le logo de l'entreprise où travaille Joe se retrouve à trois reprises (Le chemin qui mène à l'entreprise, la fissure dans le mur dans l'appartement de Joe, le chemin qui mène au volcan). Chacun y verra ou pas des allusions à notre société plus ou moins déguisées (et que je vous laisse décrypter) et évidemment, comme dans tous contes, une morale sur la vie.
Ce film a été un véritable flop à sa sortie en salle en 1990 et il aura fallu attendre 3 années pour que nos deux acteurs retrouvent le succès, en conjurant le sort, en retournant ensemble dans "Nuits blanches à Seatle".
Quant à mon avis sur ce film, sans aller jusqu'à crier au génie, je dirai qu'il se laisse regarder, que certaines images sont de toutes beautés, que les acteurs sont pétillants mais qu'on les a connu plus déjantés; Le film y aurait grandement gagné.
Voilà un malheureux exemple de film qui se donne tous les moyens techniques pour réaliser quelque chose d'original, mais qui se plante complètement au final. S'appuyant sur le modèle de la fable humaniste hollywoodienne, le réalisateur ne parvient jamais à faire décoller le rythme de son film, qui s'enlise dans ses décors trop opulents, ses situations si peu dynamiques, son manque de charme évident. Les acteurs ont beau y croire, on n'est un peu gêné devant cette sauce qui ne prend pas. La musique de Delerue est magnifique, mais elle ne sauve jamais le film, se place toujours en retrait, ou bien accompagne les séquences les plus lourdes. Un film pesant, qui abandonne son discours naïf en cours de route, pour le remplacer par une pratique de l'auto-dérision franchement mal placée. Le finale sur le volcan est kitsch et sans grand intérêt. Un film sans étincelle, dans lequel rien ne s'envole, surtout pas le spectateur, qui s'enfonce au contraire dans son fauteuil, de plus en plus, imperturbable devant cette fade épopée.
Il faut prendre ce film pour ce qu'il est : une gentille petite comédie sans prétention et savoir que le présence Meg Ryan et Tom Hanks ne sont pas des gages de qualités. Le scénario est improbable, la fin attendue mais une touche d'autodérision dans les dialogues (volontaire ou pas...) sauve le film du naufrage.
Pour ce qui est de la mise en scène rien de plus classique et terne. Ayant vu ce film à la télé la pause pub était la bienvenue...
Je mets quand même une étoile par ce qu'il faut prendre le film pour cu qu'il est.
Pour ce qui est de la mise en scène rien de plus classique et terne. Ayant vu ce film à la télé la pause pub était la bienvenue...
Je mets quand même une étoile par ce qu'il faut prendre le film pour cu qu'il est.
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