Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un film intime dans lequel on retrouve des thèmes chers au réalisateur (...). Et, par-dessus tout, cette capacité à créer des portraits de femmes complexes.
Le Figaro
par Jean-Christophe Buisson
Une mise en scène d’une simplicité minérale au service d’une histoire tordue: encore un film réussi du réalisateur français.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Cette histoire très bien ficelée, teintée d’un délicieux humour noir, est portée par des comédiens tout en nuances. Autour de la remarquable Hélène Vincent, Josiane Balasko et Pierre Lottin sont d’une grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dans ce scénario habilement tissé, François Ozon manie l'ambiguïté, l’ironie, l’amoralité, sans sombrer dans le cynisme. Il détricote l’édifice familial, mais célèbre l’alliance entre deux copines septuagénaires aussi généreuses que mystérieuses. Quand vient l’automne, il reste l’amitié.
Transfuge
par Serge Kaganski
"Quand vient l'automne" rejoint les meilleurs Ozon à nos yeux, quand le cinéaste explore sérieusement ses personnages et son sujet sans chercher à transgresser à tout prix.
Télé 2 semaines
par Cédric Choukroun
Lent au démarrage, le film trouve son rythme et nous embarque jusqu'à la fin.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un casting impeccable porte ce thriller qui ne va jamais où on l'attend.
Voici
par V.C.
Sous la forme du polar existentiel, François Ozon explore de manière aussi fine que retorse le poids du passé et les névroses propres aux dynamiques claniques.
Femme Actuelle
par Pierre Fageolle
Loin de l'éclatant Mon Crime, François Ozon s'essaie aux demi-teintes, à l'infériorité feutrée — comme un pianiste passerait de Gershwin à Fauré.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sans doute pas le meilleur des Ozon, mais tout de même un spectacle entre le policier et le drame familial qui n’est pas désagréable à regarder.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Si l’hypothèse de l’acte manqué pouvait ouvrir sur un mélodrame assez trouble, elle est assez vite abandonnée au profit d’un récit faussement subversif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Damien Leblanc
Si le scénario prend plaisir à laisser planer les non-dits, le rythme souffre précisément de cette indécision qui nous laisse entre deux feux et cadre assez mal avec l’ambition d’un thriller vénéneux. Car plutôt que de nous inciter à remplir émotionnellement les hors-champs, ces ellipses narratives limitent la possibilité de ressentir un authentique vertige.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Un film intime dans lequel on retrouve des thèmes chers au réalisateur (...). Et, par-dessus tout, cette capacité à créer des portraits de femmes complexes.
Le Figaro
Une mise en scène d’une simplicité minérale au service d’une histoire tordue: encore un film réussi du réalisateur français.
Le Parisien
Cette histoire très bien ficelée, teintée d’un délicieux humour noir, est portée par des comédiens tout en nuances. Autour de la remarquable Hélène Vincent, Josiane Balasko et Pierre Lottin sont d’une grande justesse.
Sud Ouest
Dans ce scénario habilement tissé, François Ozon manie l'ambiguïté, l’ironie, l’amoralité, sans sombrer dans le cynisme. Il détricote l’édifice familial, mais célèbre l’alliance entre deux copines septuagénaires aussi généreuses que mystérieuses. Quand vient l’automne, il reste l’amitié.
Transfuge
"Quand vient l'automne" rejoint les meilleurs Ozon à nos yeux, quand le cinéaste explore sérieusement ses personnages et son sujet sans chercher à transgresser à tout prix.
Télé 2 semaines
Lent au démarrage, le film trouve son rythme et nous embarque jusqu'à la fin.
Télé 7 Jours
Un casting impeccable porte ce thriller qui ne va jamais où on l'attend.
Voici
Sous la forme du polar existentiel, François Ozon explore de manière aussi fine que retorse le poids du passé et les névroses propres aux dynamiques claniques.
Femme Actuelle
Loin de l'éclatant Mon Crime, François Ozon s'essaie aux demi-teintes, à l'infériorité feutrée — comme un pianiste passerait de Gershwin à Fauré.
aVoir-aLire.com
Sans doute pas le meilleur des Ozon, mais tout de même un spectacle entre le policier et le drame familial qui n’est pas désagréable à regarder.
Critikat.com
Si l’hypothèse de l’acte manqué pouvait ouvrir sur un mélodrame assez trouble, elle est assez vite abandonnée au profit d’un récit faussement subversif.
Première
Si le scénario prend plaisir à laisser planer les non-dits, le rythme souffre précisément de cette indécision qui nous laisse entre deux feux et cadre assez mal avec l’ambition d’un thriller vénéneux. Car plutôt que de nous inciter à remplir émotionnellement les hors-champs, ces ellipses narratives limitent la possibilité de ressentir un authentique vertige.