Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cinéaste change de style et de ton pour chacun de ses films avec une seule constante : le talent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Hélène Vincent et Josiane Balasko s’abandonnent à la bienveillance attentive d’Ozon. Mais Ozon ne serait pas Ozon, s’il n’y avait du trouble qui s’insinue, de la violence liée à l’amour.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film intime dans lequel on retrouve des thèmes chers au réalisateur (...). Et, par-dessus tout, cette capacité à créer des portraits de femmes complexes.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Quand vient l'automne est un très beau film. Il bouscule une certaine vision figée de la vieillesse qui laisse croire que passé un certain âge, la vie est un long fleuve tranquille pour des êtres vidés de leur substance. À contre-pied, François Ozon fait de cette vieillesse le terreau d'un thriller mettant en jeu tous les ingrédients d'un bon drame.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Eléonore Houée
De retour au registre dramatique, François Ozon signe un bon cru avec ses comédiens, malgré des symboles forcés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Ozon ellipse les scènes clés pour attiser le doute, sème les non-dits. Mais ce qu’il réussit surtout avec l’aide de ses deux immenses actrices de « Grâce à Dieu », Hélène Vincent et Josiane Balasko, c’est un film résilient sur le temps qui s’écoule, la fatigue qui s’installe, la rotation des heures solitaires, la rousseur des frondaisons et les curieux méandres de la transmission avant que ne se déploie le grand ciel de l’hiver.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans une veine très chabrolienne, François Ozon signe une comédie délicieusement incorrecte sur une grand-mère prête à tout pour l’amour de son petit-fils et nous offre le plaisir de voir deux grandes comédiennes à l’œuvre, Hélène Vincent et Josiane Balasko, dans un duo délectable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Tout est trouble dans ce film : les personnages, leurs choix, la frontière entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge… L’ensemble est réussi grâce à un excellent casting (l’autre force de François Ozon) qui nous offre le plaisir de redécouvrir tout le talent d’Hélène Vincent, capable de faire passer ses beaux yeux bleu clair au noir profond en l’espace d’une seconde.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Sous les feuilles de la vieillesse, un humus d’ombres et d’ambiguïtés, François Ozon signe un drame du troisième âge qui distille lentement son poison.
Le Figaro
par Jean-Christophe Buisson
Une mise en scène d’une simplicité minérale au service d’une histoire tordue: encore un film réussi du réalisateur français.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
François Ozon sème le doute et l’ambiguïté le long de ce récit à la mélancolie automnale, subtil dans son écriture comme dans sa mise en scène, épousant le rythme tranquille de son cadre et de sa mamie gâteau potentiellement vénéneuse mais si touchante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Cette histoire très bien ficelée, teintée d’un délicieux humour noir, est portée par des comédiens tout en nuances. Autour de la remarquable Hélène Vincent, Josiane Balasko et Pierre Lottin sont d’une grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film dérangeant qui offre l'un de ses plus beaux rôles à Hélène Vincent.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
François Ozon fait preuve d’un talent dans la direction d’acteur·rices (tous et toutes bon·nes) qui force l’admiration. Hélène Vincent et Josiane Balasko, géniales, forment un duo de vieilles amies totalement déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans sa nouvelle fiction, l’éclectique et infatigable François Ozon (23 films à son actif depuis 1998) ne lâche pas d’une semelle une sympathique et paisible retraitée qui coule des jours heureux en Bourgogne. Sympathique et paisible, vraiment ? Allez découvrir le film pour en avoir le cœur net.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Joyeusement vénéneux.
Positif
par Ariane Allard
Une intrigue originale, basée sur des héroïnes atypiques.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dans ce scénario habilement tissé, François Ozon manie l'ambiguïté, l’ironie, l’amoralité, sans sombrer dans le cynisme. Il détricote l’édifice familial, mais célèbre l’alliance entre deux copines septuagénaires aussi généreuses que mystérieuses. Quand vient l’automne, il reste l’amitié.
Transfuge
par Serge Kaganski
"Quand vient l'automne" rejoint les meilleurs Ozon à nos yeux, quand le cinéaste explore sérieusement ses personnages et son sujet sans chercher à transgresser à tout prix.
Télé 2 semaines
par Cédric Choukroun
Lent au démarrage, le film trouve son rythme et nous embarque jusqu'à la fin.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un casting impeccable porte ce thriller qui ne va jamais où on l'attend.
Télé Loisirs
par C.C.
Un peu long au démarrage, le film trouve son rythme de croisière et nous embarque totalement.
Télérama
par Hélène Marzolf
POUR : François Ozon nous balade au cœur d’un puzzle criminel dont la force repose sur les ellipses, les hors-champ, et qui nous oblige à cheminer, à remplir les blancs, à épouser tous les points de vue, et à douter, sans arrêt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
Sous la forme du polar existentiel, François Ozon explore de manière aussi fine que retorse le poids du passé et les névroses propres aux dynamiques claniques.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
La réussite de "Quand vient l’automne" tient non seulement au brouillage des genres mais aussi à sa mise en scène précise qui manie l’art de l’ellipse avec brio. L’académisme de la forme n’est qu’une illusion savamment orchestrée par François Ozon qui parvient à injecter de l’étrangeté à l’intérieur de la banalité des situations.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Pierre Fageolle
Loin de l'éclatant Mon Crime, François Ozon s'essaie aux demi-teintes, à l'infériorité feutrée — comme un pianiste passerait de Gershwin à Fauré.
Le Monde
par M. Dl.
En plaçant cette observation méticuleuse dans l’ombre du thriller – un plat de champignons empoisonnés servi en pleine dispute familiale – le cinéaste produit une image inédite et très juste de la vieillesse, sous-tendue par la question du désir…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Dans ce rôle complexe, Hélène Vincent est remarquable, tout comme Josiane Balasko qui joue toujours sans fard. Dans ce petit jeu des apparences, François Ozon laisse au spectateur le choix de se faire sa propre opinion sur un mystère qu'il prend plaisir à embrumer.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Ozon, qui n’a pas attendu Mona Chollet pour s’intéresser au thème de la culpabilité, l’étudie ici de manière frontale à travers une sorte de conte moral sympathiquement ambigu, mais un peu artificiellement maquillé en polar simenono-chabrolien.
Libération
par Sandra Onana
C’est de saison, Quand vient l’automne est de ces films qui cherchent essentiellement à être regardés sous un plaid et plus encore : s’offre comme l’équivalent d’une soupe butternut ou d’un cake au yaourt un dimanche de pluie, perdant en caractère ce qu’il gagne en velouté ou en enrobage, gentil, hors modes, slurp, pas meilleur quand servi tiède.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Tel est le canevas de ce film assez jouissif, méchant et fielleux sans en avoir l’air, où la toujours parfaite Hélène Vincent et son binôme, Josiane Balasko, s’en donnent à cœur joie en rivalisant d’ambivalence. Les grandes actrices connaissent les meilleures recettes…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sans doute pas le meilleur des Ozon, mais tout de même un spectacle entre le policier et le drame familial qui n’est pas désagréable à regarder.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Elie Bartin
Quand vient l’automne n’atteint pas le vertige de complexité de Miséricorde, autre film champignonnesque où l’adage «Tout le monde a ses raisons » trouve bien mieux grâce.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Si l’hypothèse de l’acte manqué pouvait ouvrir sur un mélodrame assez trouble, elle est assez vite abandonnée au profit d’un récit faussement subversif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Damien Leblanc
Si le scénario prend plaisir à laisser planer les non-dits, le rythme souffre précisément de cette indécision qui nous laisse entre deux feux et cadre assez mal avec l’ambition d’un thriller vénéneux. Car plutôt que de nous inciter à remplir émotionnellement les hors-champs, ces ellipses narratives limitent la possibilité de ressentir un authentique vertige.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
CONTRE : Petit film du dimanche soir, à regarder avec ses parents ou ses grands-parents pour débattre de la toxicité des liens familiaux, cet Ozon nouveau sent déjà le renfermé. L’automne est une saison tout en nuances qui méritait mieux qu’un film vieillot.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le cinéaste change de style et de ton pour chacun de ses films avec une seule constante : le talent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Hélène Vincent et Josiane Balasko s’abandonnent à la bienveillance attentive d’Ozon. Mais Ozon ne serait pas Ozon, s’il n’y avait du trouble qui s’insinue, de la violence liée à l’amour.
Elle
Un film intime dans lequel on retrouve des thèmes chers au réalisateur (...). Et, par-dessus tout, cette capacité à créer des portraits de femmes complexes.
Franceinfo Culture
Quand vient l'automne est un très beau film. Il bouscule une certaine vision figée de la vieillesse qui laisse croire que passé un certain âge, la vie est un long fleuve tranquille pour des êtres vidés de leur substance. À contre-pied, François Ozon fait de cette vieillesse le terreau d'un thriller mettant en jeu tous les ingrédients d'un bon drame.
L'Humanité
De retour au registre dramatique, François Ozon signe un bon cru avec ses comédiens, malgré des symboles forcés.
L'Obs
Ozon ellipse les scènes clés pour attiser le doute, sème les non-dits. Mais ce qu’il réussit surtout avec l’aide de ses deux immenses actrices de « Grâce à Dieu », Hélène Vincent et Josiane Balasko, c’est un film résilient sur le temps qui s’écoule, la fatigue qui s’installe, la rotation des heures solitaires, la rousseur des frondaisons et les curieux méandres de la transmission avant que ne se déploie le grand ciel de l’hiver.
La Croix
Dans une veine très chabrolienne, François Ozon signe une comédie délicieusement incorrecte sur une grand-mère prête à tout pour l’amour de son petit-fils et nous offre le plaisir de voir deux grandes comédiennes à l’œuvre, Hélène Vincent et Josiane Balasko, dans un duo délectable.
La Voix du Nord
Tout est trouble dans ce film : les personnages, leurs choix, la frontière entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge… L’ensemble est réussi grâce à un excellent casting (l’autre force de François Ozon) qui nous offre le plaisir de redécouvrir tout le talent d’Hélène Vincent, capable de faire passer ses beaux yeux bleu clair au noir profond en l’espace d’une seconde.
Le Dauphiné Libéré
Sous les feuilles de la vieillesse, un humus d’ombres et d’ambiguïtés, François Ozon signe un drame du troisième âge qui distille lentement son poison.
Le Figaro
Une mise en scène d’une simplicité minérale au service d’une histoire tordue: encore un film réussi du réalisateur français.
Le Journal du Dimanche
François Ozon sème le doute et l’ambiguïté le long de ce récit à la mélancolie automnale, subtil dans son écriture comme dans sa mise en scène, épousant le rythme tranquille de son cadre et de sa mamie gâteau potentiellement vénéneuse mais si touchante.
Le Parisien
Cette histoire très bien ficelée, teintée d’un délicieux humour noir, est portée par des comédiens tout en nuances. Autour de la remarquable Hélène Vincent, Josiane Balasko et Pierre Lottin sont d’une grande justesse.
Les Echos
Un film dérangeant qui offre l'un de ses plus beaux rôles à Hélène Vincent.
Les Inrockuptibles
François Ozon fait preuve d’un talent dans la direction d’acteur·rices (tous et toutes bon·nes) qui force l’admiration. Hélène Vincent et Josiane Balasko, géniales, forment un duo de vieilles amies totalement déchirant.
Marianne
Dans sa nouvelle fiction, l’éclectique et infatigable François Ozon (23 films à son actif depuis 1998) ne lâche pas d’une semelle une sympathique et paisible retraitée qui coule des jours heureux en Bourgogne. Sympathique et paisible, vraiment ? Allez découvrir le film pour en avoir le cœur net.
Ouest France
Joyeusement vénéneux.
Positif
Une intrigue originale, basée sur des héroïnes atypiques.
Sud Ouest
Dans ce scénario habilement tissé, François Ozon manie l'ambiguïté, l’ironie, l’amoralité, sans sombrer dans le cynisme. Il détricote l’édifice familial, mais célèbre l’alliance entre deux copines septuagénaires aussi généreuses que mystérieuses. Quand vient l’automne, il reste l’amitié.
Transfuge
"Quand vient l'automne" rejoint les meilleurs Ozon à nos yeux, quand le cinéaste explore sérieusement ses personnages et son sujet sans chercher à transgresser à tout prix.
Télé 2 semaines
Lent au démarrage, le film trouve son rythme et nous embarque jusqu'à la fin.
Télé 7 Jours
Un casting impeccable porte ce thriller qui ne va jamais où on l'attend.
Télé Loisirs
Un peu long au démarrage, le film trouve son rythme de croisière et nous embarque totalement.
Télérama
POUR : François Ozon nous balade au cœur d’un puzzle criminel dont la force repose sur les ellipses, les hors-champ, et qui nous oblige à cheminer, à remplir les blancs, à épouser tous les points de vue, et à douter, sans arrêt.
Voici
Sous la forme du polar existentiel, François Ozon explore de manière aussi fine que retorse le poids du passé et les névroses propres aux dynamiques claniques.
Culturopoing.com
La réussite de "Quand vient l’automne" tient non seulement au brouillage des genres mais aussi à sa mise en scène précise qui manie l’art de l’ellipse avec brio. L’académisme de la forme n’est qu’une illusion savamment orchestrée par François Ozon qui parvient à injecter de l’étrangeté à l’intérieur de la banalité des situations.
Femme Actuelle
Loin de l'éclatant Mon Crime, François Ozon s'essaie aux demi-teintes, à l'infériorité feutrée — comme un pianiste passerait de Gershwin à Fauré.
Le Monde
En plaçant cette observation méticuleuse dans l’ombre du thriller – un plat de champignons empoisonnés servi en pleine dispute familiale – le cinéaste produit une image inédite et très juste de la vieillesse, sous-tendue par la question du désir…
Le Point
Dans ce rôle complexe, Hélène Vincent est remarquable, tout comme Josiane Balasko qui joue toujours sans fard. Dans ce petit jeu des apparences, François Ozon laisse au spectateur le choix de se faire sa propre opinion sur un mystère qu'il prend plaisir à embrumer.
Les Fiches du Cinéma
Ozon, qui n’a pas attendu Mona Chollet pour s’intéresser au thème de la culpabilité, l’étudie ici de manière frontale à travers une sorte de conte moral sympathiquement ambigu, mais un peu artificiellement maquillé en polar simenono-chabrolien.
Libération
C’est de saison, Quand vient l’automne est de ces films qui cherchent essentiellement à être regardés sous un plaid et plus encore : s’offre comme l’équivalent d’une soupe butternut ou d’un cake au yaourt un dimanche de pluie, perdant en caractère ce qu’il gagne en velouté ou en enrobage, gentil, hors modes, slurp, pas meilleur quand servi tiède.
Paris Match
Tel est le canevas de ce film assez jouissif, méchant et fielleux sans en avoir l’air, où la toujours parfaite Hélène Vincent et son binôme, Josiane Balasko, s’en donnent à cœur joie en rivalisant d’ambivalence. Les grandes actrices connaissent les meilleures recettes…
aVoir-aLire.com
Sans doute pas le meilleur des Ozon, mais tout de même un spectacle entre le policier et le drame familial qui n’est pas désagréable à regarder.
Cahiers du Cinéma
Quand vient l’automne n’atteint pas le vertige de complexité de Miséricorde, autre film champignonnesque où l’adage «Tout le monde a ses raisons » trouve bien mieux grâce.
Critikat.com
Si l’hypothèse de l’acte manqué pouvait ouvrir sur un mélodrame assez trouble, elle est assez vite abandonnée au profit d’un récit faussement subversif.
Première
Si le scénario prend plaisir à laisser planer les non-dits, le rythme souffre précisément de cette indécision qui nous laisse entre deux feux et cadre assez mal avec l’ambition d’un thriller vénéneux. Car plutôt que de nous inciter à remplir émotionnellement les hors-champs, ces ellipses narratives limitent la possibilité de ressentir un authentique vertige.
Télérama
CONTRE : Petit film du dimanche soir, à regarder avec ses parents ou ses grands-parents pour débattre de la toxicité des liens familiaux, cet Ozon nouveau sent déjà le renfermé. L’automne est une saison tout en nuances qui méritait mieux qu’un film vieillot.