Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par N.A
Il y a de la générosité dans la façon dont Féret décharge ses personnages du lourd fardeau qu'ils portent. Ils (s')en sortent un peu plus légers, plus à même de se supporter pour continuer leur chemin.
Cine Libre
par Mélanie Lemaire
(...) il ne s'agit pas seulement d'un délire entre potes. Les frères Gravet est bien plus que cela. C'est une histoire de famille dont les membres sont à la fois proches et lointains, cyniques et sentimentaux.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par B.B
Une jolie évocation de la fratrie, par petites touches pleines de tendresse. Le film est aussi servi par une excellente distribution (...).
Libération
par Annick Peigne-Giuly
Belle idée donc de ressortir, dans la foulée de ces Frères Gravet, les six autres films de René Féret. Avec Histoire de Paul (1975), la Communion solennelle (1977), Fernand (1981), Mystère Alexina (1985), Baptême (1989) et la Place de l'autre (1993) se trouve quelque chose de Féret gravé dans la pellicule. Du Féret-Gravet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Même si le film péche parfois par des baisses de rythme et les premiers pas hésitants de Julien Féret dans un rôle primordial qui semble trop grand et écrasant pour lui, le film vaut bien que l'on s'y arrête. (...). Dans la perspective d'un cinéma français exigeant, LES FRERES GRAVET mérite votre attention.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par S.B
Effleurant certains sentiments avec mélancolie, en en délaissant habilement d'autres, René Féret signe un tableau de famille tragi-comique à l'authenticité indiscutable.
Aden
par Philippe Piazzo
(...) quelques très belles captures de vie ne parviennent pas à sortir le reste du film d'une certaine pesanteur démonstrative.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce cinéma d'artisan modeste et dosé rappelle fortement le travail de Sautet - notamment dans ses films de groupe des années soixante-dix -, mais sans son acuité ni son intensité psychologique. Féret, lui, s'arrête toujours en deçà du débordement libérateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On ne va pas prononcer le mot qui nous brûle les lèvres, mais il est difficile de ne pas associer ce film aux sagas concensuelles, franchouillardes, parfaitement dosées, minutieuses, entre névrose et bonne humeur, qui fleurissent sur le petit écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par J.P.G
Un subtil portrait de groupe avec drames dont le charme évoque parfois celui de "Vincent, François, Paul et les Autres" par sa densité chorale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Première
par Jean-Baptiste Drouet
Calqué sur la complexe trame narrative des Frères Karamazov, de Dostoïevski, et autobiographique (...), ce film souffre d'une confusion scénaristique (...), aggravée par une tendance à théâtraliser la souffrance des héros.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
(...) leurs accolades, boutades et fous rires autour d'un tonneau de bon bourgogne tournent désespérément à vide. Les caractères individuels restent flous, sans qu'aucune dynamique de groupe n'émerge de cette réunion de famille manquée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Il y a de la générosité dans la façon dont Féret décharge ses personnages du lourd fardeau qu'ils portent. Ils (s')en sortent un peu plus légers, plus à même de se supporter pour continuer leur chemin.
Cine Libre
(...) il ne s'agit pas seulement d'un délire entre potes. Les frères Gravet est bien plus que cela. C'est une histoire de famille dont les membres sont à la fois proches et lointains, cyniques et sentimentaux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Une jolie évocation de la fratrie, par petites touches pleines de tendresse. Le film est aussi servi par une excellente distribution (...).
Libération
Belle idée donc de ressortir, dans la foulée de ces Frères Gravet, les six autres films de René Féret. Avec Histoire de Paul (1975), la Communion solennelle (1977), Fernand (1981), Mystère Alexina (1985), Baptême (1989) et la Place de l'autre (1993) se trouve quelque chose de Féret gravé dans la pellicule. Du Féret-Gravet.
MCinéma.com
Même si le film péche parfois par des baisses de rythme et les premiers pas hésitants de Julien Féret dans un rôle primordial qui semble trop grand et écrasant pour lui, le film vaut bien que l'on s'y arrête. (...). Dans la perspective d'un cinéma français exigeant, LES FRERES GRAVET mérite votre attention.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Effleurant certains sentiments avec mélancolie, en en délaissant habilement d'autres, René Féret signe un tableau de famille tragi-comique à l'authenticité indiscutable.
Aden
(...) quelques très belles captures de vie ne parviennent pas à sortir le reste du film d'une certaine pesanteur démonstrative.
L'Humanité
Ce cinéma d'artisan modeste et dosé rappelle fortement le travail de Sautet - notamment dans ses films de groupe des années soixante-dix -, mais sans son acuité ni son intensité psychologique. Féret, lui, s'arrête toujours en deçà du débordement libérateur.
Les Inrockuptibles
On ne va pas prononcer le mot qui nous brûle les lèvres, mais il est difficile de ne pas associer ce film aux sagas concensuelles, franchouillardes, parfaitement dosées, minutieuses, entre névrose et bonne humeur, qui fleurissent sur le petit écran.
TéléCinéObs
Un subtil portrait de groupe avec drames dont le charme évoque parfois celui de "Vincent, François, Paul et les Autres" par sa densité chorale.
Première
Calqué sur la complexe trame narrative des Frères Karamazov, de Dostoïevski, et autobiographique (...), ce film souffre d'une confusion scénaristique (...), aggravée par une tendance à théâtraliser la souffrance des héros.
Télérama
(...) leurs accolades, boutades et fous rires autour d'un tonneau de bon bourgogne tournent désespérément à vide. Les caractères individuels restent flous, sans qu'aucune dynamique de groupe n'émerge de cette réunion de famille manquée.