Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Paris Match
par Yannick Vely
Noir et blanc somptueux, propos politique d’une rare puissance sur les États-Unis mais aussi sur l’Afrique : ce film sur un immigré nigérian dans la Californie des Sixties surprend par sa modernité de ton entre ironie mordante et violence sociale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
Bushman doit beaucoup à l'interprétation de Paul Eyam Nzie Okpokam, qui déroute la chronique attendue des errances de la contre-culture vers une réflexion plus profonde sur la solitude de l'exil, l'engagement et la communauté.
Culturopoing.com
par La Rédaction
Représentatif de ce vent de modernité qui souffle sur le cinéma états-unien de la fin des années soixante par son montage affranchi des conventions classiques et sa liberté de ton, Bushman accroît encore davantage l’importance de ce moment cinématographique qui n’a pas livré tous ses secrets. Il ne s’agit pas là, loin s’en faut, du seul mérite de cette œuvre à découvrir.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Exhumation d’un « incunable » précieux pour sa modernité, Bushman, film inédit de 1971, dû à un cinéaste américain inconnu, David Schickele. Celui-ci met en scène les déambulations d’un jeune Nigérian à San Francisco avec une verve et un sens du réel rares à l’époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
A la croisée du cinéma-vérité et des fictions contre-culturelles, filmé dans un noir et blanc somptueux, ce témoignage d’époque est une merveilleuse curiosité aux échos très actuels.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
David Schickele signe un portrait libre et fulgurant d’un jeune intellectuel noir confronté au racisme ordinaire aux Etats-Unis, dans les années 1960.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Le tournage de ce bijou en noir et blanc entre cinéma direct et road fiction sera interrompu par l'expulsion de son acteur principal, Paul Okpokam, dont la vie a nourri cet inédit à, vraiment, ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Trouvant le chemin des salles plus de cinquante ans après sa réalisation, Bushman bouscule par sa dimension politique et son inventivité formelle, en même temps qu’il interroge la notion de frontière, tant dans son propos que dans sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Donnant l’illusion du direct, Bushman est un conte moderne, âpre et très politique, qui met en lumière, sans aucun pathos, la souffrance de l’exil et l’illusion de l’intégration.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Rendu à la mémoire cinéphile et politique plus de cinquante ans après sa réalisation, "Bushman" semblait vouloir offrir une leçon poétique sur le réel, mais le réel ne lui a pas fichu la paix, c’est lui qui est venu donner au film une leçon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par La Rédaction
Bushman pourrait aussi s’appréhender comme un document d’archives vivifiant grâce à ses arrière-plans perspicaces (...).
Première
par Thomas Baurez
Une perle indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par M.G.
A ne rater sous aucun prétexter.
Télérama
par Anne Dessuant
À découvrir, un film-vérité de David Schickele sur les affres d’un Nigérian exilé dans la Californie raciste des années 1960. Aux images au noir et blanc magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
Noir et blanc somptueux, propos politique d’une rare puissance sur les États-Unis mais aussi sur l’Afrique : ce film sur un immigré nigérian dans la Californie des Sixties surprend par sa modernité de ton entre ironie mordante et violence sociale.
Cahiers du Cinéma
Bushman doit beaucoup à l'interprétation de Paul Eyam Nzie Okpokam, qui déroute la chronique attendue des errances de la contre-culture vers une réflexion plus profonde sur la solitude de l'exil, l'engagement et la communauté.
Culturopoing.com
Représentatif de ce vent de modernité qui souffle sur le cinéma états-unien de la fin des années soixante par son montage affranchi des conventions classiques et sa liberté de ton, Bushman accroît encore davantage l’importance de ce moment cinématographique qui n’a pas livré tous ses secrets. Il ne s’agit pas là, loin s’en faut, du seul mérite de cette œuvre à découvrir.
L'Humanité
Exhumation d’un « incunable » précieux pour sa modernité, Bushman, film inédit de 1971, dû à un cinéaste américain inconnu, David Schickele. Celui-ci met en scène les déambulations d’un jeune Nigérian à San Francisco avec une verve et un sens du réel rares à l’époque.
L'Obs
A la croisée du cinéma-vérité et des fictions contre-culturelles, filmé dans un noir et blanc somptueux, ce témoignage d’époque est une merveilleuse curiosité aux échos très actuels.
Le Monde
David Schickele signe un portrait libre et fulgurant d’un jeune intellectuel noir confronté au racisme ordinaire aux Etats-Unis, dans les années 1960.
Le Point
Le tournage de ce bijou en noir et blanc entre cinéma direct et road fiction sera interrompu par l'expulsion de son acteur principal, Paul Okpokam, dont la vie a nourri cet inédit à, vraiment, ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Trouvant le chemin des salles plus de cinquante ans après sa réalisation, Bushman bouscule par sa dimension politique et son inventivité formelle, en même temps qu’il interroge la notion de frontière, tant dans son propos que dans sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
Donnant l’illusion du direct, Bushman est un conte moderne, âpre et très politique, qui met en lumière, sans aucun pathos, la souffrance de l’exil et l’illusion de l’intégration.
Libération
Rendu à la mémoire cinéphile et politique plus de cinquante ans après sa réalisation, "Bushman" semblait vouloir offrir une leçon poétique sur le réel, mais le réel ne lui a pas fichu la paix, c’est lui qui est venu donner au film une leçon.
Positif
Bushman pourrait aussi s’appréhender comme un document d’archives vivifiant grâce à ses arrière-plans perspicaces (...).
Première
Une perle indispensable.
Transfuge
A ne rater sous aucun prétexter.
Télérama
À découvrir, un film-vérité de David Schickele sur les affres d’un Nigérian exilé dans la Californie raciste des années 1960. Aux images au noir et blanc magnifique.