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Je continue d’arpenter la filmographie de Claude Lelouch que j’apprécie beaucoup. Comme je l’ai déjà écrit : avec Lelouch, on ne sait jamais à quoi s’attendre d’un film à l’autre.
Je ne connaissais pas du tout « Un autre homme une autre chance ».
Dès l’entame du film, Claude Lelouch nous révèle la fin. Ce qui fait que le récit est bien balisé. Il n’offre aucune surprise. Claude Lelouch s’est offert un western. ll paraît qu’un grand nombre de metteurs en scène ont ce fantasme : tourner un western.
Un Lelouch mineur avec le plaisir de voir Geneviève Bujold, Francis Huster et la brève apparition de Jacques Villeret.
Un Claude Lelouch peu inspirant…
Je ne connaissais pas du tout « Un autre homme une autre chance ».
Dès l’entame du film, Claude Lelouch nous révèle la fin. Ce qui fait que le récit est bien balisé. Il n’offre aucune surprise. Claude Lelouch s’est offert un western. ll paraît qu’un grand nombre de metteurs en scène ont ce fantasme : tourner un western.
Un Lelouch mineur avec le plaisir de voir Geneviève Bujold, Francis Huster et la brève apparition de Jacques Villeret.
Un Claude Lelouch peu inspirant…
Malgré son grand écart romanesque, entre l'Ouest américain en 1871 et le Paris assiégé par les prussiens, le début du film de Claude Lelouch ne convainc pas vraiment, trop fade, trop factice. On comprend assez vite l'idée directrice et les contours de son sujet qui, suivant l'émigration d'un jeune couple français désireux de commencer une nouvelle vie en Amérique, doit faire converger deux récits longtemps parallèles.
C'est la thématique chère au cinéaste du déterminisme, de la destinée et la rencontre écrites à l'avance et fondatrices des générations suivantes que développe une nouvelle fois Lelouch au pays des cow-boys. D'un côté, le vétérinaire James Caan, de l'autre le couple charmant de photographes parisiens Bujold-Huster. On suit la vie et les drames de l'un ou des autres, dont Lelouch ne fait pas un récit très riche malgré l'exotisme du Far-West, mais on n'est guère séduit par les personnages et leur histoire trop lisible, leur histoire qui ressemble tellement à d'autres du réalisateur...
Cependant, Lelouch étant le cinéaste qu'il est, si son intention romanesque peut parfois indifférer, elle n'en procure pas moins quelques moments de grâce.
C'est la thématique chère au cinéaste du déterminisme, de la destinée et la rencontre écrites à l'avance et fondatrices des générations suivantes que développe une nouvelle fois Lelouch au pays des cow-boys. D'un côté, le vétérinaire James Caan, de l'autre le couple charmant de photographes parisiens Bujold-Huster. On suit la vie et les drames de l'un ou des autres, dont Lelouch ne fait pas un récit très riche malgré l'exotisme du Far-West, mais on n'est guère séduit par les personnages et leur histoire trop lisible, leur histoire qui ressemble tellement à d'autres du réalisateur...
Cependant, Lelouch étant le cinéaste qu'il est, si son intention romanesque peut parfois indifférer, elle n'en procure pas moins quelques moments de grâce.
Alain D.
Dans un contexte et un genre inaccoutumé, Claude Lelouch exprime son affection pour l'aventure et les belles histoires d'amour. Il réalise une intéressante reconstitution des années 1870 en France (durant la Commune de Paris) et en Arizona (au pays des Indiens). Lelouch nous offre de belles images et un scénario solide. Outre la sympathique participation de Jacques Villeret, et la belle présence de Susan Tyrrell dans le rôle d'Alice l'institutrice, ce bon "western" bénéficie d'acteurs de talent avec le charisme de James Caan, la fraicheur de Geneviève Bujold et un Francis Huster méconnaissable.
Avec "un autre homme, une autre chance", Claude Lelouch nous offre un western atypique mais finalement bien plaisant à suivre. L'histoire qui est bien écrite se trouve être une chronique de l'Europe et de l'Amérique à travers deux couples et ce durant les années 1870-1880. La mise en scène est également de qualité et propose d'ailleurs quelques passages bien émouvants, tandis que les comédiens s'avèrent bien impliqués dans leurs personnages, comme le prouve les performances de Geneviève Bujold et de James Caan. A noter également la présence d'une belle BO signée Francis Lai qui apporte une certaine mélancolie au film.
Une heureuse surprise! On retrouve ici les ingrèdients de "Un homme et une femme" mais cette fois dans un contexte global, avec des èlèments historiques comme la photographie, le western ou la guerre! Ce n'est pas un remake, c'est plus subtil que ça et c'est l'idèe de dèvelopper les mêmes thèmes! Avec "Un autre homme, une autre chance", Claude Lelouch avait donc envie de reprendre un sujet intime en mèlangeant les sentiments, petits et grands, dans le même plat! Tout ça à travers un film amèricain, parlè essentiellement en anglais, où le rèalisateur offre au public de l'Oncle Sam ses obsessions françaises et personnelles! Pari risquè, mais rèussi! Comme toujours chez Lelouch, il y a beaucoup de pudeur dans l'expression des sentiments! C'est un homme amoureux de l'amour...et du cinèma français! Un vrai mariage entre Hollywood et son intimitè! Le casting est proprement ètonnant (qui aurait cru un jour qu'on croiserait dans un même film Jacques Villeret, Michael Berryman et Jacques Higelin) où se distingue le toujours excellent James Caan! Rèalisè avec des grands moyens, "Un autre homme, une autre chance" est un film passionnant, virtuose, imaginatif, fort bien menè, èmouvant, avec la magnifique partition de Francis Lai! La grande pèriode du western comme si vous y ètiez...
TTNOUGAT
Avec celui de Henri Verneuil ce western américain constitue notre petite part de patrimoine au genre. Il est dommage qu’il soit si peu connu car c’est un très beau film qui contient tout ce que Lelouch à de meilleur. En le voyant, Il est impossible de ne pas penser à ‘’Un homme et une femme’’ et à l’influence de John Ford dans les scènes tournées en extérieur. ‘’Un autre homme, une autre chance’’ est aussi un témoignage des qualités de cinéaste de Lelouch, il n’est pas donné à tous de réussir un western et en plus une belle histoire d’amour. Avec quelques longueurs en moins, quelques caméras sur l’épaule en trop et la musique inadaptée des 20 premières minutes, je lui aurais mis 5 étoiles car James Caan est un vétérinaire doublé d’un cow-boy parfait et Geneviève Bujold aussi crédible en épouse de Francis Huster qu’en amoureuse de son futur remplaçant. Le coté documentaire et historique est remarquable avec des reconstitutions soignées et des vraies photos d’époque. Enfin la sensibilité française constitue une rareté fort appréciable, c’est un film à revoir pour le plaisir.
J'ai voulu voir ce film car le sujet historique m'intéressait beaucoup (j'ai moi-même des personnes de ma famille qui ont tentées de fuir la France et la misère pour l'Amérique malgré que les conditions étaient difficiles à cette période de la conquête de L'Ouest ) et il y a très peu de réalisateur français qui ont fait des westerns. Claude Lelouch a voulu rendre hommage à John Ford. James Caan prouve que c'est un vrai cow-boy il est très doué, d'ailleurs dans le film il a son propre cheval qui se nomme Durango. Il est aussi très rare de voir un vétérinaire dans un western. Geneviève Bujold est magnifique. C'est aussi une histoire d'amour bouleversante et magnifique Je suis un passionné de westerns mais celui là est celui qui m'a le plus touché. Un grand coup de chapeau à Claude Lelouch.
J'ai vu ce film quand il est sorti. J'avais 20 ans. J'avais adoré.
Je l'ai revu 35 ans après. Quelle déception ! C'est long, cela n'en finit pas. Le scénario est pratiquement inexistant. Côté photo c'est navrant, aucun cadrage, mais des prises de vue en mode série télé des années 70. Et la musique est indigente avec cette utilisation répétitive des accords de la 5ème de Beethoven.
Je l'ai revu 35 ans après. Quelle déception ! C'est long, cela n'en finit pas. Le scénario est pratiquement inexistant. Côté photo c'est navrant, aucun cadrage, mais des prises de vue en mode série télé des années 70. Et la musique est indigente avec cette utilisation répétitive des accords de la 5ème de Beethoven.
La grande force de ce film, c'est sans doute la manière dont il parvient à nous présenter les grands espaces du far-west. Et puis il démontre qu'il n'y a pas que les amerloques à pouvoir réaliser des films censés se dérouler dans le reste du monde, mais que le reste du monde est aussi habilité à jeter un regard sur le monde typiquement américain des cow-boys.
En l'occurence, le regard de Claude Lelouch m'est apparu relativement pertinent. Je me suis certes parfois un peu ennuyé, mais plus sur la fin.
En l'occurence, le regard de Claude Lelouch m'est apparu relativement pertinent. Je me suis certes parfois un peu ennuyé, mais plus sur la fin.
Une très belle histoire qui inclut deux histoires d'amour brisé et un nouvel amour qui va naître avec au départ l'Histoire avec un grand H, la Commune de Paris et sa misère et le départ pour le Nouveau Monde des 2 héros qui mettront le cap vers l'Ouest où la vie n'était pas un long fleuve tranquille.
C'est un film merveilleux du début à la fin avec plein de trouvailles signées Lelouch, de bons acteurs, de bons dialogues,des extérieurs sublimes. Chapeau: ça c'est du cinéma! L'ai déjà vu 10 fois au bas mot et continuerai à m'en régaler à intervalles réguliers !
C'est un film merveilleux du début à la fin avec plein de trouvailles signées Lelouch, de bons acteurs, de bons dialogues,des extérieurs sublimes. Chapeau: ça c'est du cinéma! L'ai déjà vu 10 fois au bas mot et continuerai à m'en régaler à intervalles réguliers !
Un film de Lelouch assez peu connu avec J.Caan, G.Bujold, F.Huster et J.Villeret (petit rôle)
L'histoire se déroule à Paris puis dans l'Ouest américain à la fin du 19e. C'est un drame, une romance plus précisemment, maquillé en western.
C'est assez longuet malgré une réalisation audacieuse: steady cam, plans séquences, flash-back muets...Lelouch utilise sa caméra de divers façon sans convaincre à cause d'une histoire un peu plate. fatigue.
Je me suis ennuyé par moment (le film fait plus que ses 2h10 mn) mais si vous avez l'occasion de le voir allez-y. Le casting vaut le détour à lui seul.
L'histoire se déroule à Paris puis dans l'Ouest américain à la fin du 19e. C'est un drame, une romance plus précisemment, maquillé en western.
C'est assez longuet malgré une réalisation audacieuse: steady cam, plans séquences, flash-back muets...Lelouch utilise sa caméra de divers façon sans convaincre à cause d'une histoire un peu plate. fatigue.
Je me suis ennuyé par moment (le film fait plus que ses 2h10 mn) mais si vous avez l'occasion de le voir allez-y. Le casting vaut le détour à lui seul.
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