Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Plus Schrader assume la substitution des corps d’un plan à l’autre, plus il se rapproche d’une conception du cinéma opposée à toute unification identitaire. Chaque plan institue une différence d’avec soi, son corps, sa parole.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Le récit autobiographique de Fife ne fait que servir un vieux rêve d’homme sur le déclin, qui est sûrement aussi celui de Schrader : revivre sa jeunesse comme une épopée et renaître, qui sait, dans une version améliorée de soi-même.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La présence de Richard Gere dans un grand rôle est sans doute pour beaucoup dans l'épaisseur de "Oh, Canada".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Tribune Dimanche
par Charlotte Langrand et Aurélien Cabrol
C’est ainsi que le film et la réalité n’en finissant pas de se croiser : ce que disent les acteurs à propos du film, leurs personnages auraient pu le dire dans ce même film. Un effet miroir aussi troublant que saisissant et qui fait d’Oh, Canada tout à la fois un film crépusculaire et un magnifique portrait de la star Richard Gere, défauts et qualités comprises.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Encore un beau portrait d'homme en quête de salut, rongé par un tourment intérieur, thème dont raffole le metteur en scène américain.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Au cœur de cette exploration profondément réflexive et morale, Paul Schrader se regarde en tant que cinéaste et interroge la facilité avec laquelle on peut mythifier la vie d’un·e autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Séverine Danflous
Le film s'offre telle une passionnante réflexion sur le temps et la mémoire.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Retrouvant Richard Gere quarante-quatre ans après "American Gigolo", Paul Schrader multiplie les pistes dans une enquête mémorielle qui émeut comme une œuvre testamentaire.
Voici
par Daniel Bois
Une expérience de cinéma singulière, souvent bouleversante.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il y a quelque chose de dylanesque dans cette ba(l)lade mentale d’un vieux mâle blanc, enveloppée par le folk neurasthénique de Phosphorescent. Entre confession freudienne et déraison funèbre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Voilà l’exemple d’un film faussement modeste et classique mais dont la mise en scène, entre ombre et lumière, couleurs et noir et blanc, dévoile peu à peu la richesse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Renaud Baronian
Si « Oh, Canada » donne parfois dans le morbide, le comédien de 75 ans y livre une composition de haute volée dans la peau usée de cet homme à bout de forces, qui s’oblige à se confronter à ses lâchetés et ses mensonges passés…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Clément Colliaux
Cette logique de bifurcation – on aperçoit d’ailleurs régulièrement Fife, un plan à la main, essayer de se repérer en voiture – constitue autant l’attrait que la limite d’Oh, Canada : volontairement morcelé et décousu, le dispositif s’avère aussi ludique que frustrant, dessinant un puzzle dont les pièces ne s’emboîtent pas tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Paul Schrader réussit à adapter le verbe de Banks en ne gardant que la substantifique moelle de l’intrigue, mais aussi des gestes ou des mots qui offrent à ce récit une portée nouvelle, plus accessible sans doute, mais non moins poignante. Le casting y est pour beaucoup (...).
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jacques Morice
Un film émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Ce film (…) est une réflexion sensible sur la mort, la mémoire et le poids du souvenir. Porté par un casting de haut vol qui compte, autour du bouleversant Richard Gere et de la subtile Uma Thurman, les excellents Jacob Elordi et Michael Imperioli, il s'impose en outre comme une élégante fiction.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Les autres comédiens ne déméritent absolument pas face aux deux monstres du cinéma que sont Gere et Thurman. Ils apportent un vrai plaisir dans les échanges, en dépit, on l’a dit, d’une mise en scène très classique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Guillaume Gas
On a beau sentir que Schrader a des idées de plans et d’ambiance, il sacrifie tout à la logique d’un scénario trop carré et encadré qui aurait gagné à n’être qu’un prétexte à faire naître un vertige total des souvenirs et des vérités possibles. D’où ce film de timoré qui laisse dans un profond état de frustration.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Parfois confus, « Oh Canada » souffre également d’un rythme lancinant et d’un scénario marqué par de nombreux flashbacks sans relief sur la jeunesse du documentariste, qui prend alors les traits de Jacob Elordi, transfuge de la série « Euphoria ».
Première
par Thomas Baurez
Malheureusement, tout ça finit par donner une impression de statu quo émotionnel. La mise en scène bien que solide retient des personnages maintenus prisonniers d’un récit qui refuse bec et ongles de se déployer. Quant à Gere, flamboyant malgré la détérioration programmée de son personnage, il est la lumière intérieure de ce film-cercueil.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Plus Schrader assume la substitution des corps d’un plan à l’autre, plus il se rapproche d’une conception du cinéma opposée à toute unification identitaire. Chaque plan institue une différence d’avec soi, son corps, sa parole.
Critikat.com
Le récit autobiographique de Fife ne fait que servir un vieux rêve d’homme sur le déclin, qui est sûrement aussi celui de Schrader : revivre sa jeunesse comme une épopée et renaître, qui sait, dans une version améliorée de soi-même.
Franceinfo Culture
La présence de Richard Gere dans un grand rôle est sans doute pour beaucoup dans l'épaisseur de "Oh, Canada".
La Tribune Dimanche
C’est ainsi que le film et la réalité n’en finissant pas de se croiser : ce que disent les acteurs à propos du film, leurs personnages auraient pu le dire dans ce même film. Un effet miroir aussi troublant que saisissant et qui fait d’Oh, Canada tout à la fois un film crépusculaire et un magnifique portrait de la star Richard Gere, défauts et qualités comprises.
Le Journal du Dimanche
Encore un beau portrait d'homme en quête de salut, rongé par un tourment intérieur, thème dont raffole le metteur en scène américain.
Les Inrockuptibles
Au cœur de cette exploration profondément réflexive et morale, Paul Schrader se regarde en tant que cinéaste et interroge la facilité avec laquelle on peut mythifier la vie d’un·e autre.
Transfuge
Le film s'offre telle une passionnante réflexion sur le temps et la mémoire.
Télé Loisirs
Retrouvant Richard Gere quarante-quatre ans après "American Gigolo", Paul Schrader multiplie les pistes dans une enquête mémorielle qui émeut comme une œuvre testamentaire.
Voici
Une expérience de cinéma singulière, souvent bouleversante.
L'Obs
Il y a quelque chose de dylanesque dans cette ba(l)lade mentale d’un vieux mâle blanc, enveloppée par le folk neurasthénique de Phosphorescent. Entre confession freudienne et déraison funèbre.
La Voix du Nord
Voilà l’exemple d’un film faussement modeste et classique mais dont la mise en scène, entre ombre et lumière, couleurs et noir et blanc, dévoile peu à peu la richesse.
Le Parisien
Si « Oh, Canada » donne parfois dans le morbide, le comédien de 75 ans y livre une composition de haute volée dans la peau usée de cet homme à bout de forces, qui s’oblige à se confronter à ses lâchetés et ses mensonges passés…
Libération
Cette logique de bifurcation – on aperçoit d’ailleurs régulièrement Fife, un plan à la main, essayer de se repérer en voiture – constitue autant l’attrait que la limite d’Oh, Canada : volontairement morcelé et décousu, le dispositif s’avère aussi ludique que frustrant, dessinant un puzzle dont les pièces ne s’emboîtent pas tout à fait.
Rolling Stone
Paul Schrader réussit à adapter le verbe de Banks en ne gardant que la substantifique moelle de l’intrigue, mais aussi des gestes ou des mots qui offrent à ce récit une portée nouvelle, plus accessible sans doute, mais non moins poignante. Le casting y est pour beaucoup (...).
Télérama
Un film émouvant.
Version Femina
Ce film (…) est une réflexion sensible sur la mort, la mémoire et le poids du souvenir. Porté par un casting de haut vol qui compte, autour du bouleversant Richard Gere et de la subtile Uma Thurman, les excellents Jacob Elordi et Michael Imperioli, il s'impose en outre comme une élégante fiction.
aVoir-aLire.com
Les autres comédiens ne déméritent absolument pas face aux deux monstres du cinéma que sont Gere et Thurman. Ils apportent un vrai plaisir dans les échanges, en dépit, on l’a dit, d’une mise en scène très classique.
Abus de Ciné
On a beau sentir que Schrader a des idées de plans et d’ambiance, il sacrifie tout à la logique d’un scénario trop carré et encadré qui aurait gagné à n’être qu’un prétexte à faire naître un vertige total des souvenirs et des vérités possibles. D’où ce film de timoré qui laisse dans un profond état de frustration.
Nice-Matin
Parfois confus, « Oh Canada » souffre également d’un rythme lancinant et d’un scénario marqué par de nombreux flashbacks sans relief sur la jeunesse du documentariste, qui prend alors les traits de Jacob Elordi, transfuge de la série « Euphoria ».
Première
Malheureusement, tout ça finit par donner une impression de statu quo émotionnel. La mise en scène bien que solide retient des personnages maintenus prisonniers d’un récit qui refuse bec et ongles de se déployer. Quant à Gere, flamboyant malgré la détérioration programmée de son personnage, il est la lumière intérieure de ce film-cercueil.