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    Oh, Canada
    Note moyenne
    3,3
    20 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Franceinfo Culture
    • La Tribune Dimanche
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Inrockuptibles
    • Transfuge
    • Télé Loisirs
    • Voici
    • L'Obs
    • La Voix du Nord
    • Le Parisien
    • Libération
    • Rolling Stone
    • Télérama
    • Version Femina
    • aVoir-aLire.com
    • Abus de Ciné
    • Nice-Matin
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Marie Samocki

    Plus Schrader assume la substitution des corps d’un plan à l’autre, plus il se rapproche d’une conception du cinéma opposée à toute unification identitaire. Chaque plan institue une différence d’avec soi, son corps, sa parole.

    Critikat.com

    par Jean-Sébastien Massart

    Le récit autobiographique de Fife ne fait que servir un vieux rêve d’homme sur le déclin, qui est sûrement aussi celui de Schrader : revivre sa jeunesse comme une épopée et renaître, qui sait, dans une version améliorée de soi-même.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    La présence de Richard Gere dans un grand rôle est sans doute pour beaucoup dans l'épaisseur de "Oh, Canada".

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    La Tribune Dimanche

    par Charlotte Langrand et Aurélien Cabrol

    C’est ainsi que le film et la réalité n’en finissant pas de se croiser : ce que disent les acteurs à propos du film, leurs personnages auraient pu le dire dans ce même film. Un effet miroir aussi troublant que saisissant et qui fait d’Oh, Canada tout à la fois un film crépusculaire et un magnifique portrait de la star Richard Gere, défauts et qualités comprises.

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Encore un beau portrait d'homme en quête de salut, rongé par un tourment intérieur, thème dont raffole le metteur en scène américain.

    Les Inrockuptibles

    par Ludovic Béot

    Au cœur de cette exploration profondément réflexive et morale, Paul Schrader se regarde en tant que cinéaste et interroge la facilité avec laquelle on peut mythifier la vie d’un·e autre.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Transfuge

    par Séverine Danflous

    Le film s'offre telle une passionnante réflexion sur le temps et la mémoire.

    Télé Loisirs

    par Camille Brun

    Retrouvant Richard Gere quarante-quatre ans après "American Gigolo", Paul Schrader multiplie les pistes dans une enquête mémorielle qui émeut comme une œuvre testamentaire.

    Voici

    par Daniel Bois

    Une expérience de cinéma singulière, souvent bouleversante.

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Il y a quelque chose de dylanesque dans cette ba(l)lade mentale d’un vieux mâle blanc, enveloppée par le folk neurasthénique de Phosphorescent. Entre confession freudienne et déraison funèbre.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Voilà l’exemple d’un film faussement modeste et classique mais dont la mise en scène, entre ombre et lumière, couleurs et noir et blanc, dévoile peu à peu la richesse.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    Si « Oh, Canada » donne parfois dans le morbide, le comédien de 75 ans y livre une composition de haute volée dans la peau usée de cet homme à bout de forces, qui s’oblige à se confronter à ses lâchetés et ses mensonges passés…

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Libération

    par Clément Colliaux

    Cette logique de bifurcation – on aperçoit d’ailleurs régulièrement Fife, un plan à la main, essayer de se repérer en voiture – constitue autant l’attrait que la limite d’Oh, Canada : volontairement morcelé et décousu, le dispositif s’avère aussi ludique que frustrant, dessinant un puzzle dont les pièces ne s’emboîtent pas tout à fait.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Rolling Stone

    par Sophie Rosemont

    Paul Schrader réussit à adapter le verbe de Banks en ne gardant que la substantifique moelle de l’intrigue, mais aussi des gestes ou des mots qui offrent à ce récit une portée nouvelle, plus accessible sans doute, mais non moins poignante. Le casting y est pour beaucoup (...).

    La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

    Télérama

    par Jacques Morice

    Un film émouvant.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Version Femina

    par Hadrien Machart

    Ce film (…) est une réflexion sensible sur la mort, la mémoire et le poids du souvenir. Porté par un casting de haut vol qui compte, autour du bouleversant Richard Gere et de la subtile Uma Thurman, les excellents Jacob Elordi et Michael Imperioli, il s'impose en outre comme une élégante fiction.

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Les autres comédiens ne déméritent absolument pas face aux deux monstres du cinéma que sont Gere et Thurman. Ils apportent un vrai plaisir dans les échanges, en dépit, on l’a dit, d’une mise en scène très classique.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Abus de Ciné

    par Guillaume Gas

    On a beau sentir que Schrader a des idées de plans et d’ambiance, il sacrifie tout à la logique d’un scénario trop carré et encadré qui aurait gagné à n’être qu’un prétexte à faire naître un vertige total des souvenirs et des vérités possibles. D’où ce film de timoré qui laisse dans un profond état de frustration.

    La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné

    Nice-Matin

    par Cédric Coppola

    Parfois confus, « Oh Canada » souffre également d’un rythme lancinant et d’un scénario marqué par de nombreux flashbacks sans relief sur la jeunesse du documentariste, qui prend alors les traits de Jacob Elordi, transfuge de la série « Euphoria ».

    Première

    par Thomas Baurez

    Malheureusement, tout ça finit par donner une impression de statu quo émotionnel. La mise en scène bien que solide retient des personnages maintenus prisonniers d’un récit qui refuse bec et ongles de se déployer. Quant à Gere, flamboyant malgré la détérioration programmée de son personnage, il est la lumière intérieure de ce film-cercueil.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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