Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Philippe Lemoine
Éprouvant mais passionnant.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film diaboliquement précis, qui assoit Gustav Möller comme le nouveau cerveau du cinéma danois.
Culturopoing.com
par Emmanuelle Spadacenta
Un film diaboliquement précis, qui assoit Möller comme le nouveau cerveau du cinéma danois.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sidse Babett Knudsen, pour qui le film a été écrit, porte haut les contradictions d’un personnage hanté et désespéré, pour lequel s‘éprouve une profonde empathie.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Après The Guilty, Gustav Möller signe un nouveau huis-clos anxiogène, et un portrait touchant de deux âmes esseulées en quête de rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Sons, un film puissant, physique, sur l'impossible deuil et l'inévitable combat, parfois contre soi-même, pour le pardon et la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un revenge movie éclatant, oppressant et viscéral.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Dans une atmosphère pesante et anxiogène, Sidse Babett Knudsen est méconnaissable en surveillante implacable qui dissimule un secret et met en scène sa vengeance à travers un jeu diu chat et de la souris insidieux et sadique. Une femme de pouvoir magnifiée par la mise en scène qui immerge au coeur d'un microcosme où règnent chaos et violence.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film carcéral interprété par l’excellente Sidse Babett Knudsen.
Marie Claire
par Emily Barnett
On avait rangé depuis longtemps les thrillers carcéraux dans la malle des scénarios désuets, cantonnés aux années 90, brièvement dépoussiérés par Un prophète de Jacques Audiard, mais Sons donne un sérieux coup de neuf à l'exercice : un lifting réussi grâce à la féminisation du genre, qui en régénère les codes.
Positif
par Jean-Loup Bourget
La brutalité et les humiliations, les pièges tendus et le chantage, mais aussi une forme d'empathie composent un jeu fascinant de chat et souris.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un drame carcéral oppressant et maîtrisé, d’une noirceur extrême, et magistralement interprété par Sidse Babett Knudsen.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Figure materno-policière ici, devenue depuis la série Borgen une sorte d’image parfaite de la démocratie, Sidse Babette Knudsen incarne, entre force protectrice et vengeresse, dans sa commisération comme dans son sadisme, une inquiétante détresse des figures étatiques européennes dont Möller (The Guilty, 2018) peine à faire quelque chose de plus qu’un truc narratif.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après l’époustouflant The Guilty, le cinéaste danois Gustav Möller livre un thriller carcéral d’une grande noirceur qui interroge la possibilité du pardon.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par É.N.
Le film tient beaucoup à la performance de ses interprètes, la toujours juste Sidse Babett Knudsen et l'inflammable Sebastian Bull Sarning.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Cau.
A ce face-à-face Sidse Babett Knudsen et Sebastian Bull donnent la puissance d’un corps-à-corps. Dans ce dédale, chacun des protagonistes tente de se réparer à travers l’autre, engageant un jeu de chat et de la souris au fil duquel on finit par ne plus savoir lequel des personnages manipule l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
« Sons » se déroule presque entièrement entre les murs d’une prison et l’atmosphère y est oppressante. Elle devient même de plus en plus sombre et violente au fil de l’intrigue. Heureusement, on se laisse porter par le charisme et les nuances de jeu de la formidable Sidse Babett Knudsen… Mais ce long-métrage reste âpre et profondément sans espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Un thriller carcéral efficace, sec comme un coup de matraque et, il faut bien le dire, plutôt pessimiste sur l'aptitude de la prison à réellement réinsérer ses pensionnaires dans une vie normale.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Entre drame carcéral et thriller, Sons dévie peu de son récit lisse sur la relativité de la morale et la vacuité de la vengeance, tout en peinant à l’incarner.
Première
par LC
Avec son cadre serré, presque étouffant, Sons dépeint sans concession la violence du système carcéral et brouille la morale : jusqu’où est-il acceptable d’aller pour se débarrasser d’un monstre ? Et surtout, qui est le véritable monstre de cette histoire ?
Télé 2 semaines
par M.L.
Un thriller carcéral sous tension.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le format carré de l’image et l’utilisation efficace du son spatial renforcent la dimension oppressante de cette histoire de vengeance en milieu carcéral, qui oppose une surveillante en apparence modèle (Sidse Babett Knudsen, étonnante dans un rôle pour une fois très sombre) et un jeune détenu particulièrement dangereux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Isabelle Danel
Ce huis clos carcéral entre une matonne et le meurtrier de son fils passe par l’acceptation d’une grosse ficelle de scénario. Mais, pour son deuxième long après l’excellent « The Guilty » (2018), Gustav Möller prouve qu’il sait faire monter la tension.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Clément Colliaux
Mais le relatif dépouillement formel de Möller, qui participait dans son précédent film à recentrer l’attention sur l’écoute, échoue ici à creuser le potentiel de ce voyeurisme carcéral au-delà des simples surcadrages de circonstance au travers des grilles de la prison.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Éprouvant mais passionnant.
CinemaTeaser
Un film diaboliquement précis, qui assoit Gustav Möller comme le nouveau cerveau du cinéma danois.
Culturopoing.com
Un film diaboliquement précis, qui assoit Möller comme le nouveau cerveau du cinéma danois.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sidse Babett Knudsen, pour qui le film a été écrit, porte haut les contradictions d’un personnage hanté et désespéré, pour lequel s‘éprouve une profonde empathie.
Ecran Large
Après The Guilty, Gustav Möller signe un nouveau huis-clos anxiogène, et un portrait touchant de deux âmes esseulées en quête de rédemption.
Franceinfo Culture
Sons, un film puissant, physique, sur l'impossible deuil et l'inévitable combat, parfois contre soi-même, pour le pardon et la liberté.
Le Dauphiné Libéré
Un revenge movie éclatant, oppressant et viscéral.
Le Journal du Dimanche
Dans une atmosphère pesante et anxiogène, Sidse Babett Knudsen est méconnaissable en surveillante implacable qui dissimule un secret et met en scène sa vengeance à travers un jeu diu chat et de la souris insidieux et sadique. Une femme de pouvoir magnifiée par la mise en scène qui immerge au coeur d'un microcosme où règnent chaos et violence.
Marianne
Un film carcéral interprété par l’excellente Sidse Babett Knudsen.
Marie Claire
On avait rangé depuis longtemps les thrillers carcéraux dans la malle des scénarios désuets, cantonnés aux années 90, brièvement dépoussiérés par Un prophète de Jacques Audiard, mais Sons donne un sérieux coup de neuf à l'exercice : un lifting réussi grâce à la féminisation du genre, qui en régénère les codes.
Positif
La brutalité et les humiliations, les pièges tendus et le chantage, mais aussi une forme d'empathie composent un jeu fascinant de chat et souris.
aVoir-aLire.com
Un drame carcéral oppressant et maîtrisé, d’une noirceur extrême, et magistralement interprété par Sidse Babett Knudsen.
Cahiers du Cinéma
Figure materno-policière ici, devenue depuis la série Borgen une sorte d’image parfaite de la démocratie, Sidse Babette Knudsen incarne, entre force protectrice et vengeresse, dans sa commisération comme dans son sadisme, une inquiétante détresse des figures étatiques européennes dont Möller (The Guilty, 2018) peine à faire quelque chose de plus qu’un truc narratif.
La Croix
Après l’époustouflant The Guilty, le cinéaste danois Gustav Möller livre un thriller carcéral d’une grande noirceur qui interroge la possibilité du pardon.
Le Figaro
Le film tient beaucoup à la performance de ses interprètes, la toujours juste Sidse Babett Knudsen et l'inflammable Sebastian Bull Sarning.
Le Monde
A ce face-à-face Sidse Babett Knudsen et Sebastian Bull donnent la puissance d’un corps-à-corps. Dans ce dédale, chacun des protagonistes tente de se réparer à travers l’autre, engageant un jeu de chat et de la souris au fil duquel on finit par ne plus savoir lequel des personnages manipule l’autre.
Le Parisien
« Sons » se déroule presque entièrement entre les murs d’une prison et l’atmosphère y est oppressante. Elle devient même de plus en plus sombre et violente au fil de l’intrigue. Heureusement, on se laisse porter par le charisme et les nuances de jeu de la formidable Sidse Babett Knudsen… Mais ce long-métrage reste âpre et profondément sans espoir.
Le Point
Un thriller carcéral efficace, sec comme un coup de matraque et, il faut bien le dire, plutôt pessimiste sur l'aptitude de la prison à réellement réinsérer ses pensionnaires dans une vie normale.
Les Fiches du Cinéma
Entre drame carcéral et thriller, Sons dévie peu de son récit lisse sur la relativité de la morale et la vacuité de la vengeance, tout en peinant à l’incarner.
Première
Avec son cadre serré, presque étouffant, Sons dépeint sans concession la violence du système carcéral et brouille la morale : jusqu’où est-il acceptable d’aller pour se débarrasser d’un monstre ? Et surtout, qui est le véritable monstre de cette histoire ?
Télé 2 semaines
Un thriller carcéral sous tension.
Télérama
Le format carré de l’image et l’utilisation efficace du son spatial renforcent la dimension oppressante de cette histoire de vengeance en milieu carcéral, qui oppose une surveillante en apparence modèle (Sidse Babett Knudsen, étonnante dans un rôle pour une fois très sombre) et un jeune détenu particulièrement dangereux.
L'Obs
Ce huis clos carcéral entre une matonne et le meurtrier de son fils passe par l’acceptation d’une grosse ficelle de scénario. Mais, pour son deuxième long après l’excellent « The Guilty » (2018), Gustav Möller prouve qu’il sait faire monter la tension.
Libération
Mais le relatif dépouillement formel de Möller, qui participait dans son précédent film à recentrer l’attention sur l’écoute, échoue ici à creuser le potentiel de ce voyeurisme carcéral au-delà des simples surcadrages de circonstance au travers des grilles de la prison.