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Quelques détails furtifs (un regard caméra, un rire hors champ, son prénom prononcé par une mère) prouvent la complicité du cinéaste avec les parents, et peut-être même son amitié ; il ne la met cependant jamais en avant car elle n’est pas le sujet mais plutôt la trame secrète du film.
« Revivre » est un hymne à la dignité, à la foi païenne et inouïe dans un avenir possible, où le cinéaste capte et restitue par le montage la fébrilité et l’épuisement de ce voyage vers l’inconnu. Si l’on sort de là bouleversé (mais jamais manipulé), c’est bien grâce à sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le documentaire de Karim Dridi accompagne durant une année, deux jeunes couples auprès de leur enfant entre la vie et la mort, à l’hôpital de la Timone de Marseille. Jamais ce qu’est devenir parent n’a été montré avec une telle intensité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Revivre s’affirme comme un documentaire attachant et sensible, assez éloigné du cinéma auquel Karim Dridi nous avait habitués. Toute la beauté de la vie est joliment filmée pendant plus d’une heure et demie avec, en arrière plan, un hommage ému aux parents qui ont vu leur enfant mourir pour donner vie à d’autres enfants au bord de l’agonie, grâce à la greffe d’un organe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Karim Dridi tisse ensemble ces deux parcours et ces deux sauvetages, en glissant en guise de respiration des images de Notre-Dame-de-la-Garde, immuable dans des écrins de ciels changeants. Ces récits fortement chargés d’émotions portent haut les couleurs d’un hôpital public et de services pédiatriques capables d’incroyables prouesses.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
En s’enfonçant ainsi dans la réalité avec autant de simplicité, le réalisateur y a trouvé tous les éléments de la fiction : des personnages et des visages inoubliables, un immense suspense, la mort qui rôde, et la vie qui n’est jamais trop loin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Jamais trop éloigné pour tenir son ambition immersive mais jamais trop proche afin d’éviter tout voyeurisme, tout en restant fidèle à son parti pris de rester concentré sur les parents et de faire des soignants des personnages secondaires célébrés par l’impact de leurs petits et grands gestes du quotidien sur ces familles oscillant entre angoisse et espoir. Un retour gagnant donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Quelques détails furtifs (un regard caméra, un rire hors champ, son prénom prononcé par une mère) prouvent la complicité du cinéaste avec les parents, et peut-être même son amitié ; il ne la met cependant jamais en avant car elle n’est pas le sujet mais plutôt la trame secrète du film.
Culturopoing.com
Un film bouleversant d'humanisme, au plus près de son sujet et à la portée universelle.
L'Obs
« Revivre » est un hymne à la dignité, à la foi païenne et inouïe dans un avenir possible, où le cinéaste capte et restitue par le montage la fébrilité et l’épuisement de ce voyage vers l’inconnu. Si l’on sort de là bouleversé (mais jamais manipulé), c’est bien grâce à sa mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
Une bouleversante ode à la vie, à l’amour et au personnel médical.
Sud Ouest
Le documentaire de Karim Dridi accompagne durant une année, deux jeunes couples auprès de leur enfant entre la vie et la mort, à l’hôpital de la Timone de Marseille. Jamais ce qu’est devenir parent n’a été montré avec une telle intensité.
Télé Loisirs
Le résultat, simple et plein d'humanité, est très émouvant.
Télérama
Un grand film sur l’amour.
aVoir-aLire.com
Revivre s’affirme comme un documentaire attachant et sensible, assez éloigné du cinéma auquel Karim Dridi nous avait habitués. Toute la beauté de la vie est joliment filmée pendant plus d’une heure et demie avec, en arrière plan, un hommage ému aux parents qui ont vu leur enfant mourir pour donner vie à d’autres enfants au bord de l’agonie, grâce à la greffe d’un organe.
La Croix
Karim Dridi tisse ensemble ces deux parcours et ces deux sauvetages, en glissant en guise de respiration des images de Notre-Dame-de-la-Garde, immuable dans des écrins de ciels changeants. Ces récits fortement chargés d’émotions portent haut les couleurs d’un hôpital public et de services pédiatriques capables d’incroyables prouesses.
Le Monde
En s’enfonçant ainsi dans la réalité avec autant de simplicité, le réalisateur y a trouvé tous les éléments de la fiction : des personnages et des visages inoubliables, un immense suspense, la mort qui rôde, et la vie qui n’est jamais trop loin.
Première
Jamais trop éloigné pour tenir son ambition immersive mais jamais trop proche afin d’éviter tout voyeurisme, tout en restant fidèle à son parti pris de rester concentré sur les parents et de faire des soignants des personnages secondaires célébrés par l’impact de leurs petits et grands gestes du quotidien sur ces familles oscillant entre angoisse et espoir. Un retour gagnant donc.