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Votre avis sur Les Bronzés font du ski ?
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Jèrôme et Gigi, Bernard et Nathalie, Popeye et Jean-Claude sont de retour pour des fous rires garantis! Un an après leurs aventures sous le soleil de Côte d'Ivoire, la bande du Splendid se retrouvent à la station de sports d'hiver de Val-d'Isère! Malgrè l'altitude et le froid, le ton est ici plus fèroce et acide avec une multitude de gags qui deviendront tous cèlèbres! Les adeptes des rèpliques culte vont se règaler! Du chalet ringard aux pistes de ski, en passant par le refuge occupè par des italiens en chaleur et la maison de rugueux montagnards (attention, la liqueur de crapaud a du retour), les situations cocasses s'enchaînent sans aucun temps mort! Rafraîchissante et très divertissante, cette suite est aussi poilant que le premier volet avec la chanson mythique, « Just Because of You » , ècrite et composèe par le regrettè Pierre Bachelet . « Bon allez, dans dix minutes je nous considère comme dèfinitivement perdus ! »...
🎬 RENGER 📼
Après lénorme succès remporté par Les Bronzés (1978), il était tout naturel que lon retrouve léquipe du Splendide au grand complet, dans un second opus, celui des Bronzés font du ski.
Après le « sea, sex and sun », on retrouve toute la tribu déjantée sur les pistes de ski, avec au programme, les mêmes ingrédients qui ont fait quaujourdhui, le premier comme le deuxième volet de cette saga reste toujours culte, grâce aux dialogues, aux scènes, aux gags et aux personnages qui sont tous plus drôles les uns que les autres, du début à la fin. Tous ces ingrédients qui ont fait, au fur et à mesure du temps, que ce film puisse devenir culte dans lhistoire du cinéma français.
Toujours réalisé par Patrice Leconte et accompagné par ses acolytes de toujours : Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Josiane Balasko, Gérard Jugnot, Michel Blanc, Dominique Lavanant & Bruno Moynot.
Ils nous réservent tout au long du film, une multitude de surprise, en passant par les scènes cultes comme le refuge en pleine montagne sur le massif de la Touffe entouré par des Italiens plus bruyants que jamais, le planté de bâton avec Jean-Claude Dusse avec ses rencards foireux, la fondue savoyarde avec le fil dentaire, la dégustation de la tartine aux vers blanc et lalcool fermenté au crapaud et au jus dail. Et le must, les dialogues cultes, tous plus drôles les uns que les autres comme : « Quand te reverraaaaaaaaais-jeeeeee, pays merveilleuuuuuuuuux ! », « Je sens que ce soir, je vais conclure », « Toi et moi on a le même problème, on peut pas compter sur notre physique, enfin surtout toi ! » ou encore : « J'ai pas accroché, j'ai ripé ! Parle pas de choses que tu connais pas ! Mais qu'elle est conne celle-là ! ! ».
Un film maintes-fois vu et revu, que toutes les générations confondues connaissent. Un chef duvre de la comédie française.
Hélas, cette richesse cest perdue, avec larrivée vingt-sept ans plus tard des « Bronzés 3 » qui à été une véritable déception.
Après le « sea, sex and sun », on retrouve toute la tribu déjantée sur les pistes de ski, avec au programme, les mêmes ingrédients qui ont fait quaujourdhui, le premier comme le deuxième volet de cette saga reste toujours culte, grâce aux dialogues, aux scènes, aux gags et aux personnages qui sont tous plus drôles les uns que les autres, du début à la fin. Tous ces ingrédients qui ont fait, au fur et à mesure du temps, que ce film puisse devenir culte dans lhistoire du cinéma français.
Toujours réalisé par Patrice Leconte et accompagné par ses acolytes de toujours : Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Josiane Balasko, Gérard Jugnot, Michel Blanc, Dominique Lavanant & Bruno Moynot.
Ils nous réservent tout au long du film, une multitude de surprise, en passant par les scènes cultes comme le refuge en pleine montagne sur le massif de la Touffe entouré par des Italiens plus bruyants que jamais, le planté de bâton avec Jean-Claude Dusse avec ses rencards foireux, la fondue savoyarde avec le fil dentaire, la dégustation de la tartine aux vers blanc et lalcool fermenté au crapaud et au jus dail. Et le must, les dialogues cultes, tous plus drôles les uns que les autres comme : « Quand te reverraaaaaaaaais-jeeeeee, pays merveilleuuuuuuuuux ! », « Je sens que ce soir, je vais conclure », « Toi et moi on a le même problème, on peut pas compter sur notre physique, enfin surtout toi ! » ou encore : « J'ai pas accroché, j'ai ripé ! Parle pas de choses que tu connais pas ! Mais qu'elle est conne celle-là ! ! ».
Un film maintes-fois vu et revu, que toutes les générations confondues connaissent. Un chef duvre de la comédie française.
Hélas, cette richesse cest perdue, avec larrivée vingt-sept ans plus tard des « Bronzés 3 » qui à été une véritable déception.
selenie
On constate avant tout que les personnages ont bien changé et pas franchement en bien. L'idée de passer le plage estivale et exotique aux sports d'hiver est aussi logique que judicieuse, ce qui amène aussi des gags forcément nouveaux. Le scénario est aussi jouissif que le premier opus avec des scènes inspirées et toujours drôles. Il y a peut-être un chouïa moins de gags et un rythme un chouïa moins relevés notamment sur quelques passages un peu longuet avec la scène pourtant culte du télésiège qui aurait gagné à être un peu plus courte, comme la partie dans la grotte en salle d'attente. Mais évidemment le film surnage largement avec son lot de scènes cultissimes et hilarantes de la liqueur de crapaud à l'opération vétérinaire en passant par l'essayage au magasin de Popeye devant sa femme et son amant, ou encore la séquence du télésiège bloqué et la célèbre chanson de "Quand te reverrai-je...". Les scènes fonctionnent souvent aussi bien visuellement qu'à l'oreille avec une nouvelle anthologie de répliques cultes. En conclusion une comédie assurément drôle, que beaucoup considèrent même meilleure que le film original, ce que confirme les succès des rediffusions télé.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
AMCHI
Les Bronzés font du ski est sans aucun doute le meilleur de la série et fait partie des classiques des films comiques français, nombreux sont les scènes et les dialogues hilarants dans ce film. Les acteurs sont tous épatants, on rigole vraiment un bon coup en regardant Les Bronzés font
du ski.
du ski.
Supérieur au premier car plus cohérent et plus cynique. Avec le recul on se rend compte comment Michel Blanc domine d'assez loin la distribution. Quant au couple atypique formé par Dominique Lavanant et Maurice Chevit qui n'a qu'un rôle secondaire, il offre cependant l'un des meilleurs moments du film. Si certain gags tombent à plat (la crise de nerf de Clavier), on passe néanmoins un excellent moment.
NeoLain
"Quand te reverrai-je, pays merveilleux ? Ou ceux qui s'aiment s'en vont par deux...", Beugle Jean-Claude Dusse, toujours "de Paris" en vacances aux sports d'hiver. Ils sont tous là : Popeye, devenu monteur et vendeur de skis aux ordres du "cousin" de sa femme. Christiane qui pleure dans ses huîtres, Gigi qui a épousé Jérôme et a monté une crêperie, et Bernard et Nathalie toujours aussi beaufs, mais en plus riche. Citer les meilleurs moments, c'est raconter tout le film. Allez, en vrac : Michel Blanc, paumé en montagne, aui attend les secours avec Balasko et Chazel, impatient de "conclure". Un acceuil franchement rustique des bergers du coin, avec tartine de gras et alcool de batracien. Du fil dentaire dans la fondue. Quand aux problèmes de planté de bâton et de vin chaud de Jean-Claude Dusse, c'est l'edelweiss sur le gâteau.
Un an après la sortie du premier film, voilà l'équipe du Splendid de retour pour une suite, cette fois-ci en montagne. Il n'y a que le décor qui change, la qualité est toujours au rendez-vous. En effet, "Les Bronzés font du ski", en mettant un peu plus de côté l'aspect critique de son aîné, se concentre plus sur le comique dans sa plus pure tradition. Le résultat est acide et, évidemment, bourré de répliques et de scènes cultes qui font désormais partie intégrante du cinéma français. Il y a Michel Blanc chantant "étoile des neiges" coincé en haut du télésiège, espérant conclure un de ces soirs, Thierry Lhermitte tentant de se rabibocher avec sa femme, Josiane Balasko balançant par la fenêtre un scrabble ou encore Gérard Jugnot urinant sur une voiture qui n'est pas la sienne. Et il y a, inoubliables, les italiens au refuge et l'eau de vie marinée au crapaud. On a beau quasiment tout connaître par cœur, ça fonctionne encore à plein tubes et c'est un vrai régal.
Roub E.
C est drôle, follement drôle car les personnages sont encore plus pathétiques que dans le premier épisode. Jean Claude Dus accumule les déceptions sentimentales, Bernard et Nathalie sont odieux en petits bourgeois, Popeye en dragueur minable ... Comme le père Noel la plupart des dialogues sont passés dans l un inconscient collectif !
Plus burlesque mais aussi beaucoup plus drôle que le précédent : ce film est une franche rigolade truffée de répliques cultes. Le paroxisme du comique français !
Culte, comme le premier. Toujours aussi bon de le revoir, mais voyez-le encore à plusieurs. Avis à ceux qui font du ski ^^
soniadidierkmurgia
« Les Bronzés » de Patrice Leconte sorti sur les écrans en novembre 1978 avait remporté un succès inattendu, faisant apparaître sur le devant de la scène la troupe du Splendid. Le comique franchouillard mais surtout féroce qui teintait l’ensemble du film apportait un souffle d’air frais dans l’univers du cinéma comique français qui avait un peu de peine à se ressourcer après la disparition soudaine des monstres sacrés qu’étaient Fernandel et Bourvil suivie par la pré-retraite de Louis de Funès à la suite de ses graves problèmes de santé. Avec plus de deux millions d’entrées dans les salles, le film place Michel Blanc, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, Josiane Balasko et Marie-Anne Chazel immédiatement dans le cœur des spectateurs français se reconnaissant un peu dans ces vacanciers venus au Club Med confier aux gentils GO le soin de les divertir le temps des vacances d’été. Adapté d' « Amour, coquillages et crustacés » une pièce écrite par la bande du Splendid et déjà largement rodée sur les planches de leur café-théâtre du passage Odessa (Paris 14ème), « Les Bronzés » est essentiellement constitué des gags permettant à chacun des acteurs de livrer son numéro. La réalisation qui devait être confiée initialement à Jean-Jacques Annaud revient au débutant Patrice Leconte qui ne compte alors qu’un seul film à son actif avec « Les WC étaient fermés de l’intérieur » qui malgré la présence de Coluche et de Jean Rochefort au casting fut un flop commercial. La tâche du réalisateur ne consiste alors qu’à filmer les gags qui s’enchaînent. Une tâche dont il s’acquittera sans difficulté mais aussi sans trop d’imagination pour donner un peu de corps à une intrigue jouant les absentes. Le succès étant au rendez-vous, le producteur Yves Rousset-Rouard ne se pose pas de question et propose dès la fin de tournage de remettre le couvert. Les vacances d’été pour « Les Bronzés », celles d’hiver pour « Les Bronzés font du ski ». On retrouve les mêmes personnages que le scénario rend encore plus hypocrites, mesquins, vantards, avares, hâbleurs et finalement assez peu sympathiques. Heureusement les gags sont encore meilleurs et les acteurs toujours aussi convaincants. Pourtant le succès sera moindre, le public trouvant peut-être la charge un peu forte. Mais le manque d’intrigue a cette fois-ci été remarqué. Les deux films ont toutefois été par la suite d’énormes succès de télévision. Avec le recul on prend toujours plaisir à revoir des gags que l’on connaît par cœur même si certains sont un peu répétitifs. On ne peut donc pas classer les deux films parmi les chefs d’œuvre du genre que furent « L’Auberge rouge » (Claude Autant-Lara, en 1951), « Le cave se rebiffe » (Gilles Grangier en 1961), « Les tontons flingueurs » (Georges Lautner en 1963), « Le corniaud », « La grande vadrouille » , « La folie des grandeurs » ou encore « Les aventures de Rabbi Jacob » (Gérard Oury en 1965,1966,1971 et 1973). Il faut seulement se rappeler ce que disait le grand Henri-Georges Clouzot repris par Jean Gabin : « Pour faire un film, premièrement, une bonne histoire, deuxièmement, une bonne histoire et troisièmement, une bonne histoire ». Ce défaut initial apparaît désormais un peu flagrant. Un défaut dont ont toujours été conscients les membres du Splendid et Patrice Leconte qui ont montré par la suite qu’ils pouvaient largement relever le défi de faire des films aboutis. "Monsieur Hire" (1989) par exemple de Patrice Leconte avec un Michel Blanc saisissant montre tout le chemin parcouru.
weihnachtsmann
La suite gagne en énergie, en rire et en situations farfelues et franchement hyper bien trouvées.
Un classique indispensable au cinéma français.
Un classique indispensable au cinéma français.
ffred
Dans le trio de tête des comédies françaises les plus drôles avec Le père Noël est une ordure et Papy fait de la résistance. Même constat, on l'a vu cent fois, on le connait par cœur, on se marre toujours autant à chaque fois.
gimliamideselfes
Je l'ai trouvé meilleur que le premier, mais bon, c'est pas un chef d'oeuvre, les blagues grasses ont vite fait de nous donner mal à la tête !
Bon je suppose que tout le monde la vue donc :-))
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