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J.Dredd59
107 abonnés
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1,5
Publiée le 3 janvier 2016
Et allez, une suite, bien que nombreux sont les fans qui ne voient pas ça ainsi, ça n'en reste pas moins une suite, avec ce que ça comporte de sous entendus péjoratifs. Déjà que c'était franchouillard avant, mais là ça verse plus dans la beaufitude. Le côté français demeure rassurez-vous : ça râle sans cesse, ça gueule et l'humour en prend un coup. En fait c'est juste une transposition aux vacances de ski, c'est moins bien construit que le 1er volet, moins réussi, et avec beaucoup moins de surprises. Faudra arrêter de penser que parce que c'est le cinéma français les poncifs changent, non, une suite c'est pratiquement toujours d'un calibre en dessous du premier, et les Bronzés ne font pas exception, voyez le 3 pour en être définitivement persuadés.
C'est ma série comédies cultes alors je poursuis. "Les Bronzés font du ski" ou comment devenit un mythe par l'intermédiaire de la troupe de comédiens la plus agréable qui existe. Chaque phrase est à savourer, ce n'est que du bonheur. Les souvenirs se mélangent, ma séquence préférée étant celle de l'arrivée des deux gros beaufs parisiens (Jugnot et Balasko) dans l'appartement. Je tiens quand même à préciser que ce film sera honteusement suivi, très récemment d'ailleurs, mais que seul celui-ci restera dans ma mémoire.
Après la mer, la montagne, avec au menu, dialogues cultes, situations délirantes, personnages drôles. Une succulente galerie d'acteur qui régalent par leur répartie et leur personnalité, Thierry Lhermitte en tête. Une comédie à savourer sans modération.
Beaucoup plus ébouriffant que leurs virées au "Club Med'", "les Bronzés Font du Ski" est la démonstration de l'efficacité du pouvoir comique de l'équipe du Splendid. Du coup, au-delà d'un scénario toujours aussi mince, les muscles zygomatiques et abdominaux n'ont aucun répit. De la musique du générique, signée Pierre Bachelet, aux personnages (mémorable Jean-Claude Dusse alias Michel Blanc), en passant par les situations et les dialogues, tout y est excessivement jouissif. C'est devenu tellement culte d'ailleurs qu'il est quasiment impossible de faire une journée de ski par exemple, sans entendre l'une des répliques du film sur les pistes ou "quand te reverrai-je, pays merveilleux ?" sur un télésiège à l'arrêt.
Les Bronzés font du ski est un film très drôle avec une troupe du Splendid au meilleur de sa forme. On rit toutes les minutes, même si par moment, on se dit que c'est de l'humour beauf. Les scènes et les dialogues sont cultes. Les acteurs sont très bons dans leur rôle. Une comédie culte.
Même si le deuxième opus est moins bien que le premier, notamment en ce qui concerne l'humour ou les répliques, il reste une très bonne comédie française qui ne prend pas une ride. Les Bronzés, c'est un peu le petit nicolas des enfants. On aimerait suivre leur histoire toute notre vie et pourtant on sait qu'on va devoir les laisser un jour. Personnellement, je n'ai jamais oublié les histoires du Petit Nicolas et de même, les scènes des bronzés, qu'il s'agisse de la fondue, du slalom ou de l'hélicopter, je m'en souviendrai toute ma vie. 4/5
Désolé pour les nombreux fans de la troupe du Splendid qui élèvent ce film au rang de culte, mais je n'en fait pas partie. J'ai revu ce film que j'avais bien aimé enfant, en pensant que j'allais pas mal rire vu la réputation, et le fait que j'appréciais également cette troupe à ses débuts, mais quelle déception. En fait on suit le couple de français moyen et très râleur constitué par Jugnot et Balasko, merci mais entre diapos de vieilles vacances et quotidien banal la vision n'est pas passionnante. Ensuite on a affaire à une comédie, ok mais on rit peu, hormis le passage chez les paysans le reste est médiocre, faut dire qu'un Jugnot qui critique tout et des amis/couples qui s'engueulent à tout bout de champ c'est pas spécialement marrant, surtout si on ajoute un Lhermitte fauché, toujours entre 2 problèmes/femmes et ses galères. Pour le reste les acteurs restent dans le rôle qui les a fait connaitre lors du 1er opus, et les prestations ne sont pas du meilleur acabit, peut-être parce que je vois trop ce qu'ils sont devenus de nos jours pour les apprécier mais les batailles d’égos dans un film c'est lourd. Alors quand je lis que les rôles sont attribués par copinage et relations, que les acteurs devenus très friqués continuent des procès à des pauvres mecs pour gagner quelques ronds de plus, désolé mais ça me dégoute, et savoir qu'un long métrage puisse tant ressembler à une opération marketing et de gros sous me fait perdre la foi dans le cinoch français, bravo, d'où la note. Pour le reste on reprend le même réalisateur, la musique, les gags (en changeant juste le décor), la trame (ainsi que les longueurs qui vont avec) et l'histoire en quelque sorte, une suite typique en somme, et en cela moins bon que le 1er. On passe toujours un bon moment, mais à ne voir qu'une fois car les gags ne marchent pas indéfiniment.
Excellente comédie : la troupe du Splendid nous offre là des scènes jubilatoires, et le ton est plus mordant que dans le premier opus ( et donc plus drôle ). On se souviendra de Michel Blanc chantant "Quand te reverrais-je" sur son télésiège en panne, de Bruno Moynot demandant une crêpe au sucre à Marie Anne Chazel, ou encore de Jugnot et Balasko faisant irruption dans la résidence de pauvres vacanciers ( " Hé, vous avez oublié quelque chose !" ). La musique de Pierre Bachelet restera gravée dans toutes les mémoires, ainsi que les dialogues ( écrits par la troupe du Splendid ). Chose étrange, la troupe n'avait pas l'intention de faire ce film et la pièce de théâtre n'existait pas auparavant ( contrairement au premier opus, qui avait pour première source d'inspiration la pièce " Amour, coquillages et crustacés " ). Le résultat est pourtant de taille, tant le film est réussit. Une chose est sûre, Les Bronzés font du ski reste , avec Le Père Noël est une ordure, l'une des plus grandes réussites de la troupe du Splendid...
Probablement le meilleur de cette saga culte. On retrouve toujours ce casting royal, cette fois ci en montagne, dans la neige, et on rigole du début à la fin. Un incontournable tout simplement.
Si Les Bronzés est devenu avec le temps un classique incontournable de la comédie française, Les Bronzés font du ski l’est encore plus. Malgré une réalisation de Patrice Leconte extrêmement basique qui prouve à quel point le cinéaste a progressé depuis, ce second film de la troupe du Splendid est tellement amusant que l’on passe outre cette faiblesse visuelle. En effet, tout est culte dans cette comédie que la très grande majorité des Français a vu au moins une fois : la musique de Pierre Bachelet, quasiment chaque séquencespoiler: (comment oublier Jean-Claude Dusse coincé sur son télésiège, Nathalie qui se blesse en tombant à ski puis qui est soignée avec une méthode très particulière par Jérôme ou les séquences dans le chalet ?) , les répliques inoubliables énoncées par des personnages toujours aussi géniaux (qui ne connaît pas Jean-Claude Dusse, l’homme qui est constamment sur le point de conclure mais qui n’y arrive jamais ?)… Ainsi, même si on pourrait lui reprocher un aspect visuel aussi pauvre, Les Bronzés font du ski réussit l’exploit d’être encore meilleur et plus drôle que le premier volet. Une vraie réussite que l’on peut revoir indéfiniment en riant tout autant à chaque vision !
"Les Bronzés font du ski" est le film culte pour plusieurs générations, avec ses répliques inoubliables ("la neige elle est trop molle", "Laisse je t'expliquerai", "le planté de baton", "La crèpe au sucre"... ) et ses scènes mémorables (Les dégustations dans la maison des montagnards, Le refuge, ...). La bande du splendid est rentré dans la légende du cinéma avec ce film puis ont surfé sur la vague pendant un bon moment. A chaque nouvelle vision, on rigole toujours autant sans s'en lasser. Une des 10 meilleurs comédies françaises de tous les temps !
Après un premier opus qui était une oeuvre de jeunesse représentant les comédies populaires françaises des années 70, insouciantes et légères, le second volet s'inscrit déjà dans le cinéma des années 80, plus social, plus acide, plus cynique. Les Bronzés font du ski restera pour longtemps la comédie culte, aux répliques acerbes qui continuent de vivre dans notre imaginaire collectif. Les acteurs du splendide y trouve leur maturité. Les personnages ont pris de l'épaisseur, se positionne, le jeu devient propre à chacun. Jugnot devient jugnot, Marie-Anne Chazel n'est plus la jeune ingénue du club Méd, Lhermitte sort lentement de sont rôle de beau gosse et Michel Blanc écrase tout avec un Jean- Claude Dusse parfaitement abouti et achevé. Dans la trilogie, les bronzés font du ski, restent le film le plus réussi. "Quand te reverraiiiiiiiiiiiiiiiiis-je, pays merveilleuuuuuuuuuuuuuuux" !
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4,5
Publiée le 5 août 2019
Jèrôme et Gigi, Bernard et Nathalie, Popeye et Jean-Claude sont de retour pour des fous rires garantis! Un an après leurs aventures sous le soleil de Côte d'Ivoire, la bande du Splendid se retrouvent à la station de sports d'hiver de Val-d'Isère! Malgrè l'altitude et le froid, le ton est ici plus fèroce et acide avec une multitude de gags qui deviendront tous cèlèbres! Les adeptes des rèpliques culte vont se règaler! Du chalet ringard aux pistes de ski, en passant par le refuge occupè par des italiens en chaleur et la maison de rugueux montagnards (attention, la liqueur de crapaud a du retour), les situations cocasses s'enchaînent sans aucun temps mort! Rafraîchissante et très divertissante, cette suite est aussi poilant que le premier volet avec la chanson mythique, « Just Because of You » , ècrite et composèe par le regrettè Pierre Bachelet . « Bon allez, dans dix minutes je nous considère comme dèfinitivement perdus ! »...
Ah ! Qu’on le veuille ou non. Ce film est désormais culte, et ne pas le connaître c’est se fermer la porte à toute une série de phrases qui sont désormais rentrés dans le langage courant. Parce que – oui ! – même si la plupart des membres de la troupe du Splendid sont à baffer aujourd’hui pour être responsables des pires bouses qui tapissent nos grands écrans, dans ce film ils sont quand même bien incisifs et délurés. Cela fait certes potache quelques fois, mais c’est ce qui contribue aussi au plaisir de ce film.