Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une "évasion" spectaculaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Un récit visuel poignant, à la fois documentaire politique, œuvre humaniste, manifeste pour un art libérateur.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Artiste, JR revendique le rapport entre création et société, dans sa dimension humaine. Tehachapi retrace ce processus en marche, tout comme sa résultante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Pablo Baron
Ce film poignant dresse le portrait de certains détenus en quête de rédemption et prouve que l'art peut changer des vies.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
" L’art est porteur d’espoir", affirme JR. À Tehachapi, il a insufflé cet espoir là où tout semblait perdu.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’ancien détenu Kevin Walsh est au centre du documentaire pétri d’humanité de JR sur le milieu carcéral américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Un documentaire plein d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Frédéric Strauss
Il faut saluer le tact de JR, qui a su mener avec intelligence cette expérience très séduisante sur le plan artistique, mais très délicate sur le plan humain. Sans faire un documentaire politique, le cinéaste, qui se devait de travailler en bonne entente avec l’institution pénitentiaire, a réussi à pointer la dureté de la vie carcérale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
À une époque où les radicalismes politiques et les sursauts sécuritaires envahissent le débat public, JR fait une brillante démonstration du pouvoir de l’art et de la relation humaine en matière de réinsertion sociale des délinquants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Cette plaidoirie pour le pardon et les superpouvoirs de l’art, déjà forte de ses effets de mise en scène (format vertical du portable, voix off), a un guide : Agnès Varda et son sens de l’écoute.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un documentaire qui tient de l’ego trip, mais qui nous éclaire, aussi, sur la réalité, et la brutalité, de la détention.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Positif
par Eithne O'Neill
Pour les spectateurs comme pour nous, amateurs de documentaires en voix-off, sans talking head et avec un cinéaste en retrait, l'ensemble, avec ses bons sentiments et sa partition musicale qui s'apparente parfois à celle d'un thriller, frôle un sentimentalisme plutôt dissuasif.
Sud Ouest
par Julien Rousset
JR pose ses caméras là où elles ne vont jamais, capte des rencontres saisissantes, tricote un plaidoyer habile et humain pour la seconde chance. Dommage qu’on le voie un peu trop !
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par S.O.
Filmant le processus créatif et ses conséquences sur le quotidien des prisonniers, il déjoue habilement les préjugés et révèle l'importance de l'art comme vecteur de réhabilitation.
Le Figaro
par E.S.
Tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil. JR ne cache pas son autosatisfaction. En tête de gondole de ce programme de réinsertion, Kevin Walsh incarne un skinhead repenti, prêt à se faire enlever au laser la croix gammée qu'il a tatouée sur la joue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
Une "évasion" spectaculaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un récit visuel poignant, à la fois documentaire politique, œuvre humaniste, manifeste pour un art libérateur.
Franceinfo Culture
Artiste, JR revendique le rapport entre création et société, dans sa dimension humaine. Tehachapi retrace ce processus en marche, tout comme sa résultante.
GQ
Ce film poignant dresse le portrait de certains détenus en quête de rédemption et prouve que l'art peut changer des vies.
Le Dauphiné Libéré
" L’art est porteur d’espoir", affirme JR. À Tehachapi, il a insufflé cet espoir là où tout semblait perdu.
Le Journal du Dimanche
L’ancien détenu Kevin Walsh est au centre du documentaire pétri d’humanité de JR sur le milieu carcéral américain.
Le Parisien
Un documentaire plein d’humanité.
Télérama
Il faut saluer le tact de JR, qui a su mener avec intelligence cette expérience très séduisante sur le plan artistique, mais très délicate sur le plan humain. Sans faire un documentaire politique, le cinéaste, qui se devait de travailler en bonne entente avec l’institution pénitentiaire, a réussi à pointer la dureté de la vie carcérale.
aVoir-aLire.com
À une époque où les radicalismes politiques et les sursauts sécuritaires envahissent le débat public, JR fait une brillante démonstration du pouvoir de l’art et de la relation humaine en matière de réinsertion sociale des délinquants.
L'Obs
Cette plaidoirie pour le pardon et les superpouvoirs de l’art, déjà forte de ses effets de mise en scène (format vertical du portable, voix off), a un guide : Agnès Varda et son sens de l’écoute.
La Voix du Nord
Un documentaire qui tient de l’ego trip, mais qui nous éclaire, aussi, sur la réalité, et la brutalité, de la détention.
Positif
Pour les spectateurs comme pour nous, amateurs de documentaires en voix-off, sans talking head et avec un cinéaste en retrait, l'ensemble, avec ses bons sentiments et sa partition musicale qui s'apparente parfois à celle d'un thriller, frôle un sentimentalisme plutôt dissuasif.
Sud Ouest
JR pose ses caméras là où elles ne vont jamais, capte des rencontres saisissantes, tricote un plaidoyer habile et humain pour la seconde chance. Dommage qu’on le voie un peu trop !
Télé Loisirs
Filmant le processus créatif et ses conséquences sur le quotidien des prisonniers, il déjoue habilement les préjugés et révèle l'importance de l'art comme vecteur de réhabilitation.
Le Figaro
Tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil. JR ne cache pas son autosatisfaction. En tête de gondole de ce programme de réinsertion, Kevin Walsh incarne un skinhead repenti, prêt à se faire enlever au laser la croix gammée qu'il a tatouée sur la joue.