Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Formidablement interprété par la comédienne Mugi Kadowaki, le film met en scène ce choc affectif et existentiel avec distance et douceur, ce qui a pour résultat qu’on s’attache à chaque seconde au personnage principal que la caméra serre de près. Un bien joli long-métrage…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Magnifiquement écrit, très composé, scandé, La Mélancolie, film humaniste, émouvant à force de pudeur, donne très envie de découvrir l’œuvre de Takuya Katô.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
(...) film nippon qui traduit le flou à l'œuvre dans l'esprit de son héroïne par un jeu subtil entre flashbacks et flashforwards que son réalisateur abandonne, hélas, en chemin pour offrir une conclusion trop basique, à rebours de la délicatesse de l'ensemble.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un portrait bouleversant, et un modèle de pudeur, de retenue, de rectitude.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Film sur le deuil impossible et le non-dit, La Mélancolie est remarquable de beauté et de dénuement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une narration fragmentée traduit l’essence même de la mélancolie, telle que définie par Freud : une incapacité à se reconnecter au monde.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Malgré un véritable regard cinématographique qui nous plonge dans la culture japonaise et met en lumière les injonctions et codifications rigides qui régissent les relations humaines au pays du Soleil Levant, on finit par décrocher tant le rythme manque d'ondulations.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
La subtilité de ce film discret jusqu'à l'évanescence, dénué de manifestations intempestives, se ponctue par des mouvements de caméra discrets ou bien par des plans-séquences lancinants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Isabelle Danel
Tant de froideur peut rebuter le spectateur, pourtant il y a du feu sous la glace. L’enjeu se tient même entièrement là. Dans ce rien qui doit devenir tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sans baliser les flash-back, La Mélancolie entrelace avec sobriété, passé et présent, regrets et doutes, déni et culpabilité. Dans un minimalisme qui rend la mort abstraite, transparaissent enfin les sentiments trop longtemps tus.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’œuvre peine parfois à dépasser le contemplatif, laissant l’être vaciller et se redéfinir sans véritable profondeur réflexive.
Le Figaro
par É.N.
Dans ce second long-métrage, Takuya Kato, metteur en scène de théâtre, suit à la trace cette femme mariée et hors-sol. Il en traduit la confusion intime avec une discrétion toute nippone.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Traitant d’un sujet propice au pathos mélodramatique, Takuya Kato choisit au contraire la voie de l’épure ; une épure parfois trop rigide, mais qui permet de brosser le portrait de la société japonaise tout en constituant une proposition esthétique originale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le récit prend du temps à se déployer, mais l’affrontement final vous fera couler quelques larmes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par M.L.
La Mélancolie traite de sujets complexes par le prisme d'une étude de personnage très fouillée et subtile. Mais si sa grande rigueur fait au départ sa force, elle devient sa faiblesse tant l'émotion finit par lui faire terriblement défaut.
Télérama
par Samuel Douhaire
C’est écrit avec une infinie délicatesse et réalisé avec une élégance sophistiquée, au risque de la froideur. On aurait aimé que ce film, aussi touchant soit-il, ne s’impose pas la même retenue que son personnage principal. Et déborde davantage du cadre…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par D.B.
Dommage qu'à force de tout mettre à distance, cette mélancolie finisse par manquer cruellement d'émotion.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il faut avoir conscience des codes japonais et du degré de retenue émotionnelle de la société nippone pour appréhender ce mélo extrêmement sensible et pudique, mais au propos trop ténu et paradoxalement très explicite dans ce qu’il veut dire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par M. Dl
La Mélancolie a des airs de promesse non tenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Dès l’entame de ce premier long, un sentiment de puissante mélancolie vous envahit pour ne plus vous lâcher, épousant ce que traverse son héroïne confrontée à la perte brutale de son amant dans un accident.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Formidablement interprété par la comédienne Mugi Kadowaki, le film met en scène ce choc affectif et existentiel avec distance et douceur, ce qui a pour résultat qu’on s’attache à chaque seconde au personnage principal que la caméra serre de près. Un bien joli long-métrage…
Les Inrockuptibles
Magnifiquement écrit, très composé, scandé, La Mélancolie, film humaniste, émouvant à force de pudeur, donne très envie de découvrir l’œuvre de Takuya Katô.
Ouest France
(...) film nippon qui traduit le flou à l'œuvre dans l'esprit de son héroïne par un jeu subtil entre flashbacks et flashforwards que son réalisateur abandonne, hélas, en chemin pour offrir une conclusion trop basique, à rebours de la délicatesse de l'ensemble.
Sud Ouest
Un portrait bouleversant, et un modèle de pudeur, de retenue, de rectitude.
aVoir-aLire.com
Film sur le deuil impossible et le non-dit, La Mélancolie est remarquable de beauté et de dénuement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une narration fragmentée traduit l’essence même de la mélancolie, telle que définie par Freud : une incapacité à se reconnecter au monde.
Franceinfo Culture
Malgré un véritable regard cinématographique qui nous plonge dans la culture japonaise et met en lumière les injonctions et codifications rigides qui régissent les relations humaines au pays du Soleil Levant, on finit par décrocher tant le rythme manque d'ondulations.
L'Humanité
La subtilité de ce film discret jusqu'à l'évanescence, dénué de manifestations intempestives, se ponctue par des mouvements de caméra discrets ou bien par des plans-séquences lancinants.
L'Obs
Tant de froideur peut rebuter le spectateur, pourtant il y a du feu sous la glace. L’enjeu se tient même entièrement là. Dans ce rien qui doit devenir tout.
La Croix
Sans baliser les flash-back, La Mélancolie entrelace avec sobriété, passé et présent, regrets et doutes, déni et culpabilité. Dans un minimalisme qui rend la mort abstraite, transparaissent enfin les sentiments trop longtemps tus.
Le Dauphiné Libéré
L’œuvre peine parfois à dépasser le contemplatif, laissant l’être vaciller et se redéfinir sans véritable profondeur réflexive.
Le Figaro
Dans ce second long-métrage, Takuya Kato, metteur en scène de théâtre, suit à la trace cette femme mariée et hors-sol. Il en traduit la confusion intime avec une discrétion toute nippone.
Les Fiches du Cinéma
Traitant d’un sujet propice au pathos mélodramatique, Takuya Kato choisit au contraire la voie de l’épure ; une épure parfois trop rigide, mais qui permet de brosser le portrait de la société japonaise tout en constituant une proposition esthétique originale.
Paris Match
Le récit prend du temps à se déployer, mais l’affrontement final vous fera couler quelques larmes.
Télé 2 semaines
La Mélancolie traite de sujets complexes par le prisme d'une étude de personnage très fouillée et subtile. Mais si sa grande rigueur fait au départ sa force, elle devient sa faiblesse tant l'émotion finit par lui faire terriblement défaut.
Télérama
C’est écrit avec une infinie délicatesse et réalisé avec une élégance sophistiquée, au risque de la froideur. On aurait aimé que ce film, aussi touchant soit-il, ne s’impose pas la même retenue que son personnage principal. Et déborde davantage du cadre…
Voici
Dommage qu'à force de tout mettre à distance, cette mélancolie finisse par manquer cruellement d'émotion.
La Voix du Nord
Il faut avoir conscience des codes japonais et du degré de retenue émotionnelle de la société nippone pour appréhender ce mélo extrêmement sensible et pudique, mais au propos trop ténu et paradoxalement très explicite dans ce qu’il veut dire.
Le Monde
La Mélancolie a des airs de promesse non tenue.
Première
Dès l’entame de ce premier long, un sentiment de puissante mélancolie vous envahit pour ne plus vous lâcher, épousant ce que traverse son héroïne confrontée à la perte brutale de son amant dans un accident.