Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On prend vraiment plein la figure dans cette histoire de possessions dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne fait pas dans la dentelle, ni dans la délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Bien qu'il faiblisse sur la fin, When Evil Lurks fait preuve d'une misanthropie putrescente qui rappellerait presque les grandes heures du bis italien.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Non exemple de défauts (notamment dans l'écriture et dans le rythme), When Evil Lurks expose assez d'atouts sanguinolents audacieux, de maîtrise visuelle, d'authenticité et de férocité pour mériter son statut de phénomène de festival.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
En conclusion, Demián Rugna, avec ce film, renouvelle, de fort belle manière, le film de possession, mais signe également une œuvre à la fois intense et intelligente qui témoigne d’une réelle personnalité.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
When Evil Lurks fait partie de ces petits films d’horreur indépendants qu’on n’avait pas vu venir et qui dévastent tout sur leur passage par leur audace, leur radicalité et leur singularité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
When Evil Lurks renouvelle avec brio le thème de la possession démoniaque. Il fascine également grâce à une ambiance générale particulièrement macabre et des séquences chocs qui motivent une interdiction aux moins de 16 ans, dont certaines bien gore.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par François Caus
Demián Rugna signe avec When Evil Lurks une montée en gamme spectaculaire, tant dans sa mise en scène, la maîtrise de son engrenage scénaristique, sans oublier sa capacité à enchaîner les visions traumatisantes.
Première
par Bastien Assié
Véritable vent de fraicheur, les spectateurs les mieux accrochés y apprécieront l’un des films les plus méchants de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
De la violence brutale d’aujourd’hui à un envoûtement à l’ancienne, voilà un brillant tour de piste de tout ce que la peur permet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le visuel épatant pallie un manque criant d'écriture.
Critikat.com
par Josué Morel
Si l’ensemble est parfois un peu approximatif dans sa mise en scène, il ménage suffisamment de fulgurances (...) pour ne pas minorer ses qualités. Ce qui frappe surtout est la furie et l’intransigeante vélocité dont témoigne le film, qui rappelle la noirceur de certains romans de Stephen King, de Cujo à Désolation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Une atmosphère savoureusement délétère et des scènes bien flippantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
When Evil Lurks est un divertissement nihiliste, à la violence complaisante entre deux tunnels de dialogues lourds et explicatifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J.-F. R.
Le film de Demian Rugna déplace les enjeux du cinéma d’horreur pour conjuguer tout à la fois l’efficacité du choc terrifique et une vision proprement nihiliste d’un monde rural littéralement infesté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Demián Rugna signe un film de genre astucieux et efficace, riche de scènes horrifiques mémorables, mais qui s’essouffle en cours de route, faute de cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par C.B.
Même s'il souffre de quelques longueurs, ce film d'horreur venu d'Argentine arpente des territoires encore peu explorés : il est surprenant et émaillé de séquences marquantes. Terriblement sanglant et dérangeant, When Evil Lurks est toutefois réservé à un public averti.
Voici
par La rédaction
Si l'on peine parfois à appréhender son intrigue et son univers, When Evil Lurks compense avec sa folle énergie et son appétit pour une horreur riche en hémoglobine et en image choc.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Original et sur la forme et sur le fond, ce premier film d’horreur argentin renouvelle un genre où la possession démoniaque raconte moins la peur du Diable que l’état des campagnes argentines, dévorées par la transformation massive des modes de production.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
La peur, la violence et la haine naissent de la bouche des enfants, des mères, des amis, créant une tension permanente où la déraison est telle qu’on finit par oublier les limites du film.
20 Minutes
On prend vraiment plein la figure dans cette histoire de possessions dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne fait pas dans la dentelle, ni dans la délicatesse.
Ecran Large
Bien qu'il faiblisse sur la fin, When Evil Lurks fait preuve d'une misanthropie putrescente qui rappellerait presque les grandes heures du bis italien.
Filmsactu
Non exemple de défauts (notamment dans l'écriture et dans le rythme), When Evil Lurks expose assez d'atouts sanguinolents audacieux, de maîtrise visuelle, d'authenticité et de férocité pour mériter son statut de phénomène de festival.
L'Ecran Fantastique
En conclusion, Demián Rugna, avec ce film, renouvelle, de fort belle manière, le film de possession, mais signe également une œuvre à la fois intense et intelligente qui témoigne d’une réelle personnalité.
Le Journal du Dimanche
When Evil Lurks fait partie de ces petits films d’horreur indépendants qu’on n’avait pas vu venir et qui dévastent tout sur leur passage par leur audace, leur radicalité et leur singularité.
Le Parisien
When Evil Lurks renouvelle avec brio le thème de la possession démoniaque. Il fascine également grâce à une ambiance générale particulièrement macabre et des séquences chocs qui motivent une interdiction aux moins de 16 ans, dont certaines bien gore.
Mad Movies
Demián Rugna signe avec When Evil Lurks une montée en gamme spectaculaire, tant dans sa mise en scène, la maîtrise de son engrenage scénaristique, sans oublier sa capacité à enchaîner les visions traumatisantes.
Première
Véritable vent de fraicheur, les spectateurs les mieux accrochés y apprécieront l’un des films les plus méchants de l’année.
Télérama
De la violence brutale d’aujourd’hui à un envoûtement à l’ancienne, voilà un brillant tour de piste de tout ce que la peur permet.
CinemaTeaser
Le visuel épatant pallie un manque criant d'écriture.
Critikat.com
Si l’ensemble est parfois un peu approximatif dans sa mise en scène, il ménage suffisamment de fulgurances (...) pour ne pas minorer ses qualités. Ce qui frappe surtout est la furie et l’intransigeante vélocité dont témoigne le film, qui rappelle la noirceur de certains romans de Stephen King, de Cujo à Désolation.
L'Obs
Une atmosphère savoureusement délétère et des scènes bien flippantes.
Le Figaro
When Evil Lurks est un divertissement nihiliste, à la violence complaisante entre deux tunnels de dialogues lourds et explicatifs.
Le Monde
Le film de Demian Rugna déplace les enjeux du cinéma d’horreur pour conjuguer tout à la fois l’efficacité du choc terrifique et une vision proprement nihiliste d’un monde rural littéralement infesté.
Les Fiches du Cinéma
Demián Rugna signe un film de genre astucieux et efficace, riche de scènes horrifiques mémorables, mais qui s’essouffle en cours de route, faute de cohérence.
Télé Loisirs
Même s'il souffre de quelques longueurs, ce film d'horreur venu d'Argentine arpente des territoires encore peu explorés : il est surprenant et émaillé de séquences marquantes. Terriblement sanglant et dérangeant, When Evil Lurks est toutefois réservé à un public averti.
Voici
Si l'on peine parfois à appréhender son intrigue et son univers, When Evil Lurks compense avec sa folle énergie et son appétit pour une horreur riche en hémoglobine et en image choc.
aVoir-aLire.com
Original et sur la forme et sur le fond, ce premier film d’horreur argentin renouvelle un genre où la possession démoniaque raconte moins la peur du Diable que l’état des campagnes argentines, dévorées par la transformation massive des modes de production.
Cahiers du Cinéma
La peur, la violence et la haine naissent de la bouche des enfants, des mères, des amis, créant une tension permanente où la déraison est telle qu’on finit par oublier les limites du film.