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tupper
131 abonnés
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2,5
Publiée le 11 février 2024
Très fidèle aux dessins animés des année 80 que ce soit sur la forme comme le fond. C’est à la fois une force qui éveille notre nostalgie, mais aussi une faiblesse car l’humour sexiste apparaît aujourd’hui un peu daté, voir gênant. Idem sur le plan visuel. C’est fidèle et propre mais du coup sans progression.
Un film qui n'est pas sans défauts notamment au niveau de l'animation. Mais quel plaisir de retrouver nos personnage préférés de l'univers de City Hunter à l'humour si extravagant et à l'action très réussi.
J'ai ADORÉ le Film, j'ai été le Voir 2 Fois en Vostfr bien sûr car c'est vraiment le Seul moyen de bien apprécier le Film, pour évité que se soit aussi éclaté au Sol que la série côté doublage,on n'en apprend un peu plus sur le passé de Ryo et sur l'organisation qui à fait Tuer le frère de Kaorie , Vraiment un Super Film.
Un excellent animé divertissant rempli d'humour et d'action ! On prend plaisir à revoir plusieurs caméo des dessins animés des années 80. L'histoire basique apporte de belles séquences d'action. On en souhaite pleins d'autres !
Si je ne dis pas de bêtise, Tsukasa Hojo n'a eu que 7 pages pour finir son manga à l'époque, là il va pouvoir disposer de deux films pour terminer la série animé dont voici la première partie. Je l'ai vu en VF, j'y ai retrouvé tout le charme de mon enfance malgré l'absence de l'irremplaçable Maurice Sarfati, décédé il y a peu. Cependant Vincent Ropion, est toujours génial dans son rôle. Le déroulement est le même qu'un épisode classique en plus développé, l'intrigue, l'humour, l'action, la tendresse entre Nicky et Laura malgré tout et le final ou Nicky accompli un acte à la limite du possible. On a donc un début ici de l'histoire de l'enfance de Nicky et de l'assassinat du frère de Laura. La réalisation est meilleure que le précédent film qui faisait kitch, et le final est moins "too much", ce qui va très bien à l'ensemble. Les personnages secondaire s'effacent lors du combat final, pour un duel western-japonais très réussi. Foncez !!!
nous ne pouvions esperer meilleur film à la fois à la page 30 ans plus tard tout restant très respectueux de la recette originale. Hâte de la prochaine sortie. cela fait déjà 2 réussites pour notre Seaba San.
Un tout petit 3,5. Les 2 premiers tiers étaient très moyens, avec de l'humour lourdingue/too much, et des dessins pas très bien dessinés ... Et les caméo ne servent à rien. Heureusement que le dernier tiers était bon, avec une très grande profondeur et de l'émotion. Mais au final, j'étais déçu ...
De la nostalgie (parce que oui gamin j'étais fan) et du grand n'importe quoi aussi si je ne retiens pas mon âme d'enfant justement. Au final, c'était une bonne façon de tester mon élasticité mentale.
Alors ce Nicky Larson se regarde, par contre avoir mis les cat's eyes pour faire de la figuration je ne vois pas trop l'intérêt, c'est surtout les doublages en français, ce ne sont pas les mêmes voix que celles des années 80 , ce qui est logique. Par contre le côté pervers de Nicky et le massue de Laura je m'y retrouve.
Un bon épisode nostalgique avec beaucoup de clins d'oeil et de crossover après leur justification reste limité mais sinon sympathique à voir dans un cinéma qui n'est pas hors de prix.
La Revanche du Nettoyeur, ou Comment un Chat Disparu Bouleverse Plus que Votre Histoire d'Amour Raté
Avec "Nicky Larson - City Hunter: Angel Dust," on ne sait jamais si on regarde un film d'animation japonais ou une leçon de drague façon Tinder. L'histoire commence avec une demande de recherche de chat, et honnêtement, si mon chat disparaissait, je ne pense pas que je ferais appel à un détective, mais bon, chacun ses priorités.
Move over Marvel, Nicky Larson se retrouve au cœur d'une intrigue impliquant l'Angel Dust, une substance qui transforme des soldats en surhommes. Apparemment, c'est le nouvel accessoire à la mode pour les super-héros. Qui a besoin de morsures d'araignée radioactives quand on peut simplement sniffer de la poussière magique et devenir invincible ?
Angie, la nouvelle venue, n'est pas la demoiselle en détresse habituelle. Entre une crise existentielle et une envie de pâtisseries, elle incarne la parfaite combinaison d'une super-héroïne et d'une boulangère en pleine remise en question. Peut-être que le secret de sa puissance réside dans une recette secrète de cupcakes.
Larson, le détective aux charmes aussi affûtés que sa lame, nous montre qu'il n'est pas simplement un coureur de jupons. Derrière ses pitreries et ses blagues salaces se cache une culpabilité profonde, peut-être liée au fait qu'il n'a jamais suivi de cours de psychologie pour gérer ses problèmes relationnels.
Si Private Eyes nous a fait douter de l'endurance de Nicky Larson, "City Hunter: Angel Dust" confirme qu'il est prêt à se lancer dans le dernier arc de sa vie animée. C'est comme s'il disait : "J'ai bien rigolé avec les chats perdus et les jolies demoiselles, mais il est temps de régler mes problèmes existentiels une bonne fois pour toutes."
En résumé, "Nicky Larson - City Hunter: Angel Dust" est bien plus qu'une simple aventure. C'est une plongée dans les recoins sombres de la psyché d'un détective dont la vie semble être une série de blagues salaces, de pâtisseries intrigantes et de super-pouvoirs vendus au plus offrant. La grande conclusion du héros est en marche, et on se demande si le prochain chapitre dévoilera enfin son secret pour rester aussi badass après toutes ces années. Peut-être qu'il utilise un shampoing spécial ou qu'il a vendu son âme à un chat démoniaque. Qui sait ?
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Déception totale, trop de scènes de "vie" qui ne servent à rien. Non, vraiment, je ne comprend pas l'intérêt de ces temps morts qui n'apportent rien et cassent le rythme. Bref, un manque flagrant d'idées et un scénario bancal.
Premièrement : merci aux doubleurs français. Cette VF est l'âme de notre enfance, et à peine les mimiques vocales déjantées de Vincent Ropion et Anne Rondeleux commencent, qu'on se sent retrouver notre pyjama et notre chocolat chaud. Pour "accompagner" les doubleurs principaux, on peut compter sur un casting cinq étoiles : Laura Blanc (Alias, Smallville...), Emmanuel Curtil (ce génie), Bernard Gabay (incroyable de le trouver là pour quelques lignes, le caméo vocal qui fait du bien)... Pour la VF, le doublage a aligné les bons choix, et cela sauve franchement une séance qui a été moins qualitative que prévue. On va percer l'abcès de suite : vous voyez cette promo internationale qui met les Cat's Eyes en atout de vente ? Oubliez : en temps cumulé, on doit les voir environ 4 minutes, et elles ne servent à rien (surtout pour le final, dont on se demande carrément ce qu'elles fichent là, si c'est pour regarder la baston sans intervenir). Idem, un petit caméo de spoiler: Lupin est sympathique, mais ressemble à un cirage de pompes du fan, qui n'a aucun intérêt. Ensuite, l'intrigue part dans tous les sens, au point que même en connaissant bien l'univers (si ce n'est pas votre cas, faites demi-tour : le film ne vous ré-explique pas ce qui s'est passé dans la série animée / manga), on s'est parfois perdu dans les retournements de situation. L'ensemble de l'intrigue ne se foule pas trop non plus, reprenant assez similairement le double-épisode dans lequel spoiler: Laura est hypnotisée et forcée d'attaquer Nicky, ce dernier devant la tuer s'il veut mettre fin à sa dangerosité... Un des meilleurs épisodes de la série, qui était un peu étrange à retranscrire de cette façon en film (spoiler: les acolytes qui restent les bras ballants sous l'excuse de "l'honneur" du duel - alors qu'une immobilisation à plusieurs sur Angie, qu'ils auraient pu enfermer le temps de trouver un antidote, comme le créateur du "poison" est littéralement à 20 mètres... Non ? -, les contre-champs sur les Cat's Eyes qui ne font rien non plus - mais qu'est-ce qu'elles fichent là, alors ? -, et la vanne "garde-à-vous" épouvantablement mal insérée en pleine scène émotion, qui gâche tout... ). L'action est bien présente, l'humour aussi (un peu trop au début, et plus du tout en deuxième partie : un manque d'équilibre), les musiques sont entraînantes, la qualité du dessin est en revanche vraiment très soignée, et on goûte à une certaine nostalgie avec plaisir, on ne peut pas dire qu'on regrette sa séance, même si on aurait facilement pu faire un grand doudou agréable de ce film maladroit. Les doubleurs restent encore ce qu'on retient de mieux, tout le casting se donnant à mille pour cent, faisant passer la nostalgie à coups de maillet 1000T.
Très très mauvais ! En tant que grande fan de City Hunter, je suis dévasté par ce film. L'intrigue est bancale et les blagues sont gênantes. Je n'ai pas reconnu mon ancien amour. Le film est rempli de clin d'œil pour les nostalgiques, on joue clairement sur le fan-service sans trop se fouler. Pas digne de Nicky tout ça.