Nicky Larson - City Hunter: Angel Dust : Critique presse
Nicky Larson - City Hunter: Angel Dust
Note moyenne
2,5
13 titres de presse
Le Journal du Geek
Télé 2 semaines
Voici
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
Le Monde
Les Inrockuptibles
Ouest France
Première
L'Obs
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Pas d'amélioration, mais une évolution qui rend hommage au passé pour, peut-être, réécrire en partie l'avenir. Un avenir dans lequel City Hunter sera toujours présent pour notre plus grand plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Télé 2 semaines
par C. Ch.
Bonne nouvelle pour les fans de Nicky Larson : il n'a pas pris une ride !
Voici
par La Rédaction
Un long métrage fidèle à l'esprit originel.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ambitieux et divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Christophe Levent
Scénario à rebondissements, poursuites en voitures, scènes de combats à foison, animation soignée dans le plus pur style manga et même l’apparition surprise des filles de « Cat’s eyes », autre animé à succès, tout est réuni pour faire passer un bon moment aux fans de Nicky et aux amateurs du genre. Les autres risquent fort de trouver le temps long.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Le célèbre détective privé est rattrapé par son passé. Déclinant les ingrédients et les codes, qui ont autrefois fait le miel du manga, Kazuyoshi Takeuchi se conforme à une animation protocolaire et signe un divertissement essentiellement réservé aux fans.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
par Léo Martin
Il est dommage de voir une œuvre aussi culte ne pas réussir à se renouveler en 2024. Tsukasa Hōjō, lui-même, avait mieux compris comment faire évoluer City Hunter avec le manga Angel Heart. Répétitif et paresseux, "Angel Dust", lui, échoue à faire de Nicky Larson un héros de son temps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’intrigue bancale, l’épuisante batterie de clins d’œil, l’animation comme plongée dans le formol accusent en tout point l’opération marketing, qui a connu un beau succès au box-office japonais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Le scénario s’obstine à consacrer le plus clair de son temps à ce qui ferait aux yeux des fans le sel de Nicky Larson : une succession hystérique, ringarde et gênante de gags sexistes et misogynes, frisant par moment la culture du viol. Et au regard de l’énergie déployée, le film ne tente jamais de dissimuler le fait que c’est avant tout pour cette audience qu’il existe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Cette rencontre au sommet ne tient pas toutes ses promesses à cause d'un scénario trop faible.
Première
par Sylvestre Picard
Au-delà de ça, le film ne fonctionne pas des masses, à cause de son intrigue plutôt faiblarde et décousue, et de son animation rigide. Et entendre la voix du vénérable Akira Kamiya doubler encore Ryô Saeba (Nicky Larson en VF) à 77 ans commence à faire daté.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Amandine Schmitt
Distendu au maximum pour permettre une trilogie, le scénario est extrêmement répétitif : une œillade sur une jolie fille, un coup de maillet, une bagarre et ainsi de suite. Ça vire au lourdingue du côté de « l’étalon de Shinjuku ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Marion Michel
Aujourd’hui, ce long métrage animé, vraiment raté, provoque un profond ennui, doublé d’un certain malaise… A-t-on besoin d’un héros obsédé sexuel ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Geek
Pas d'amélioration, mais une évolution qui rend hommage au passé pour, peut-être, réécrire en partie l'avenir. Un avenir dans lequel City Hunter sera toujours présent pour notre plus grand plaisir.
Télé 2 semaines
Bonne nouvelle pour les fans de Nicky Larson : il n'a pas pris une ride !
Voici
Un long métrage fidèle à l'esprit originel.
Le Journal du Dimanche
Ambitieux et divertissant.
Le Parisien
Scénario à rebondissements, poursuites en voitures, scènes de combats à foison, animation soignée dans le plus pur style manga et même l’apparition surprise des filles de « Cat’s eyes », autre animé à succès, tout est réuni pour faire passer un bon moment aux fans de Nicky et aux amateurs du genre. Les autres risquent fort de trouver le temps long.
Les Fiches du Cinéma
Le célèbre détective privé est rattrapé par son passé. Déclinant les ingrédients et les codes, qui ont autrefois fait le miel du manga, Kazuyoshi Takeuchi se conforme à une animation protocolaire et signe un divertissement essentiellement réservé aux fans.
Ecran Large
Il est dommage de voir une œuvre aussi culte ne pas réussir à se renouveler en 2024. Tsukasa Hōjō, lui-même, avait mieux compris comment faire évoluer City Hunter avec le manga Angel Heart. Répétitif et paresseux, "Angel Dust", lui, échoue à faire de Nicky Larson un héros de son temps.
Le Monde
L’intrigue bancale, l’épuisante batterie de clins d’œil, l’animation comme plongée dans le formol accusent en tout point l’opération marketing, qui a connu un beau succès au box-office japonais.
Les Inrockuptibles
Le scénario s’obstine à consacrer le plus clair de son temps à ce qui ferait aux yeux des fans le sel de Nicky Larson : une succession hystérique, ringarde et gênante de gags sexistes et misogynes, frisant par moment la culture du viol. Et au regard de l’énergie déployée, le film ne tente jamais de dissimuler le fait que c’est avant tout pour cette audience qu’il existe.
Ouest France
Cette rencontre au sommet ne tient pas toutes ses promesses à cause d'un scénario trop faible.
Première
Au-delà de ça, le film ne fonctionne pas des masses, à cause de son intrigue plutôt faiblarde et décousue, et de son animation rigide. Et entendre la voix du vénérable Akira Kamiya doubler encore Ryô Saeba (Nicky Larson en VF) à 77 ans commence à faire daté.
L'Obs
Distendu au maximum pour permettre une trilogie, le scénario est extrêmement répétitif : une œillade sur une jolie fille, un coup de maillet, une bagarre et ainsi de suite. Ça vire au lourdingue du côté de « l’étalon de Shinjuku ».
Télérama
Aujourd’hui, ce long métrage animé, vraiment raté, provoque un profond ennui, doublé d’un certain malaise… A-t-on besoin d’un héros obsédé sexuel ?