Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Une variation singulière et emballante autour de la découverte de la sexualité à l'adolescence.
20 Minutes
par Caroline Vié
Découvert au Festival de Gérardmer, Vampire humaniste cherche suicidaire consentant est aussi farfelu que son titre. On se laisse mordre pas cette bluette qui prouve que les buveurs de sang du 7e art ne sont pas près de s’anémier.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Antoine Desrues
En comparant les troubles identitaires de l’adolescence à une vampire qui rejette sa nature, le film d’Ariane Louis-Seize charme par la seule malice de son écriture pince-sans-rire. Mais "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" est aussi le portrait de toute une génération délaissée, joliment esquissée par sa symbolique fantastique, sa douce mélancolie et le brio de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Jouant sur cette analogie, Ariane Louis-Seize accouche d’un récit à la densité surprenante, où l’on parle de sexualité (les dents qui ne sortent pas, métaphore d’un désir en décalage), de pression sociale, du mal-être adolescent, du rapport à la mort et de féminisme. Le tout, en une heure et demie qui file au rythme de dialogues endiablés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce qui séduit chez Ariane Louis-Seize, c’est la beauté d’une mise en scène qui, entre une photographie nocturne et étrange tout en clair-obscur ou néons envoûtants et un travail élaboré sur le cadre, se fait le reflet des emprises subies par son dissonant duo amoureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On adore ce film à la fois modeste et délicieux, drôle, tendre et finalement tellement représentatif des affres de l’adolescence. Avec ou sans canines protubérantes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
A. Louis-Seize livre un premier long métrage maîtrisé et à l’humour grinçant. Barry Sonnenfeld a trouvé une héritière.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Une métaphore drôle et punchy de la puberté à l'aune des luttes écolos menées par la génération Z.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Un air de cinéma de Caro et Jeunet mais dépoussiéré [...].
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Ce personnage de fille "différente" est irrésistible et son histoire d'amitié avec un ado dépressif aussi tordante qu'émouvante.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Pétri de bonnes idées et d'excellents dialogues, "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" reste figé dans un programme attendu dès la rencontre des deux corbeaux à la recherche d’un peu d'amour. Comme dans une comédie romantique lambda, toute la mécanique du récit saute aux yeux au point d'anticiper tous les événements jusqu'à un épilogue convenu.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
GQ
par Adam Sanchez
Si "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" manque de vitalité et d'insolence pour ne pas tomber dans un schéma de récit attendu, il réussit à installer cette atmosphère atypique, entre inquiétude et hilarité, provoquant ce sentiment inattendu dans un long-métrage de ce genre : une profonde tendresse.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par Etienne Sorin
Drôle et mélancolique, ce film renouvelle le genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
Tout cela est bien mignon sur le moment mais, malgré ses qualités - l’œuvre a décroché un prix à la Mostra de Venise, et l’Œil d’or du meilleur film au dernier Paris International Fantastic Film Festival - ce « Vampire humaniste… » nous laisse un peu sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
C’est de chair, d’exubérance, de sang, bref de vitalité que manque paradoxalement ce film de vampire pour satisfaire son projet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Farce horrifique révélant une comédie romantique qui cache elle-même un récit d’apprentissage, "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" [...] vaut à l’arrivée surtout pour le numéro renversant de son actrice principale, Sara Montpetit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Sixtine Audebert
Mignon, bien calibré malgré l'audace que le film semble s'attribuer...
Première
par Sylvestre Picard
C’est un premier film qui fait un peu court-métrage pimpé, avec son esthétique à base de photo nocturne et de néons, mais Vampire humaniste cherche suicidaire consentant fonctionne grâce à son humour constant (le vocabulaire québécois joue forcément un rôle là-d’dans) qui se charge de mélancolie aux moments les plus justes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
On rit avec cette comédie québécoise douce-amère, où la réalisatrice s’amuse de la condition absurde du vampire moderne — la mère, à deux crocs d’invoquer la charge mentale, n’en peut plus de chasser le dîner pour toute la famille. Sans la profondeur métaphysique du Only Lovers Left Alive de Jim Jarmusch, mais avec une certaine grâce tout de même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un alliage réussi de teen movie et de comédie de vampires, avec un ton décalé et un sous-texte subtil sur les névroses contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
(...) Quant à ce qu’il va advenir de Sasha et de Paul, finalement mordu aux deux sens du terme, et comment ils vont pouvoir se nourrir, rendez-vous à la dernière séquence, enfin percutante, d’un film qu’on va dire gentillet et qui manque tout même d’un peu de férocité à la Mel Brooks.
Le Monde
par J. Ma.
Le macabre passe ici au crible de la comédie dramatique, perdant au passage beaucoup des raisons mêmes de son attrait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
Une variation singulière et emballante autour de la découverte de la sexualité à l'adolescence.
20 Minutes
Découvert au Festival de Gérardmer, Vampire humaniste cherche suicidaire consentant est aussi farfelu que son titre. On se laisse mordre pas cette bluette qui prouve que les buveurs de sang du 7e art ne sont pas près de s’anémier.
Ecran Large
En comparant les troubles identitaires de l’adolescence à une vampire qui rejette sa nature, le film d’Ariane Louis-Seize charme par la seule malice de son écriture pince-sans-rire. Mais "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" est aussi le portrait de toute une génération délaissée, joliment esquissée par sa symbolique fantastique, sa douce mélancolie et le brio de ses acteurs.
L'Humanité
Jouant sur cette analogie, Ariane Louis-Seize accouche d’un récit à la densité surprenante, où l’on parle de sexualité (les dents qui ne sortent pas, métaphore d’un désir en décalage), de pression sociale, du mal-être adolescent, du rapport à la mort et de féminisme. Le tout, en une heure et demie qui file au rythme de dialogues endiablés.
L'Obs
Ce qui séduit chez Ariane Louis-Seize, c’est la beauté d’une mise en scène qui, entre une photographie nocturne et étrange tout en clair-obscur ou néons envoûtants et un travail élaboré sur le cadre, se fait le reflet des emprises subies par son dissonant duo amoureux.
La Voix du Nord
On adore ce film à la fois modeste et délicieux, drôle, tendre et finalement tellement représentatif des affres de l’adolescence. Avec ou sans canines protubérantes.
Les Fiches du Cinéma
A. Louis-Seize livre un premier long métrage maîtrisé et à l’humour grinçant. Barry Sonnenfeld a trouvé une héritière.
Marie Claire
Une métaphore drôle et punchy de la puberté à l'aune des luttes écolos menées par la génération Z.
Télé 2 semaines
Un air de cinéma de Caro et Jeunet mais dépoussiéré [...].
Télé Loisirs
Ce personnage de fille "différente" est irrésistible et son histoire d'amitié avec un ado dépressif aussi tordante qu'émouvante.
Culturopoing.com
Pétri de bonnes idées et d'excellents dialogues, "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" reste figé dans un programme attendu dès la rencontre des deux corbeaux à la recherche d’un peu d'amour. Comme dans une comédie romantique lambda, toute la mécanique du récit saute aux yeux au point d'anticiper tous les événements jusqu'à un épilogue convenu.
GQ
Si "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" manque de vitalité et d'insolence pour ne pas tomber dans un schéma de récit attendu, il réussit à installer cette atmosphère atypique, entre inquiétude et hilarité, provoquant ce sentiment inattendu dans un long-métrage de ce genre : une profonde tendresse.
Le Figaro
Drôle et mélancolique, ce film renouvelle le genre.
Le Parisien
Tout cela est bien mignon sur le moment mais, malgré ses qualités - l’œuvre a décroché un prix à la Mostra de Venise, et l’Œil d’or du meilleur film au dernier Paris International Fantastic Film Festival - ce « Vampire humaniste… » nous laisse un peu sur notre faim.
Les Inrockuptibles
C’est de chair, d’exubérance, de sang, bref de vitalité que manque paradoxalement ce film de vampire pour satisfaire son projet.
Libération
Farce horrifique révélant une comédie romantique qui cache elle-même un récit d’apprentissage, "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" [...] vaut à l’arrivée surtout pour le numéro renversant de son actrice principale, Sara Montpetit.
Mad Movies
Mignon, bien calibré malgré l'audace que le film semble s'attribuer...
Première
C’est un premier film qui fait un peu court-métrage pimpé, avec son esthétique à base de photo nocturne et de néons, mais Vampire humaniste cherche suicidaire consentant fonctionne grâce à son humour constant (le vocabulaire québécois joue forcément un rôle là-d’dans) qui se charge de mélancolie aux moments les plus justes.
Télérama
On rit avec cette comédie québécoise douce-amère, où la réalisatrice s’amuse de la condition absurde du vampire moderne — la mère, à deux crocs d’invoquer la charge mentale, n’en peut plus de chasser le dîner pour toute la famille. Sans la profondeur métaphysique du Only Lovers Left Alive de Jim Jarmusch, mais avec une certaine grâce tout de même.
aVoir-aLire.com
Un alliage réussi de teen movie et de comédie de vampires, avec un ton décalé et un sous-texte subtil sur les névroses contemporaines.
L'Ecran Fantastique
(...) Quant à ce qu’il va advenir de Sasha et de Paul, finalement mordu aux deux sens du terme, et comment ils vont pouvoir se nourrir, rendez-vous à la dernière séquence, enfin percutante, d’un film qu’on va dire gentillet et qui manque tout même d’un peu de férocité à la Mel Brooks.
Le Monde
Le macabre passe ici au crible de la comédie dramatique, perdant au passage beaucoup des raisons mêmes de son attrait.