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    Le Mal n'existe pas
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    3,5
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    163 critiques spectateurs

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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2024
    Aku wa sonzai shinai confond les genres et les focalisations suivant une logique soustractive, retranchant au polar son jeu de pistes et sa résolution, à la fable environnementale sa célébration naïve de la nature, au combat écologiste son manichéisme, et orchestrant la valse des convictions personnelles : les deux représentants de la firme soucieuse d’implanter le glamping, d’abord incarnation d’un marketing où l’être rime avec le paraître, évoluent au point d’envisager une reconversion écoresponsable ! L’entreprise esthétique et narrative poursuivie par le cinéma de Ryūsuke Hamaguchi est, en effet, le dialogue entre des interlocuteurs étrangers les uns aux autres mais qui cherchent à se comprendre voire à s’apprivoiser sans jamais pourtant lever le voile de l’opacité et de la complexité tourmentée de l’existence humaine.
    La mise en scène veille à concilier ce qui sinon demeure distinct, rassemble le haut et le bas, l’avant et l’arrière, en témoignent les mouvements descendant de la cime des arbres en direction du sol ou les plans captés depuis la banquette arrière d’une voiture, figurant la thématique ici centrale d’une réflexion sur la place de l’homme dans l’univers et sur son rapport au mal : ce dernier vient-il d’un dieu quelconque ? découle-t-il d’une source commune à tous les êtres vivants ? La caméra de Hamaguchi multiplie les images d’ascension et de descente, symbole d’une routine tranquille et fluide, en harmonie avec une nature aussitôt schématisée (par la réalisation) aussitôt raccordée à sa cruauté profonde (par la réalisation et par le scénario), avec la répétition du coup de feu et du travelling dans un enchaînement de la présence – le père a retrouvé sa fille – vers l’absence. Défini comme un « guide » et comme un « conseiller », Takumi apparaît sous les traits de l’homme naturel, de l’homme vivant en dialogue avec la nature, jusqu’à ce que ce rôle soit contrebalancé par un rappel de son ignorance : il juge les attaques de cerfs « improbables », alors qu’elles auront raison de son enfant… Il n’est, après tout, qu’un « étranger » parmi d’autres étrangers composant la population d’une terre n’appartenant à personne. L’agression de Takahashi montre alors la lutte d’un homme avec lui-même, raccordé malgré lui à son errance et à ses erreurs de jugement.
    Magnifiquement photographié, Aku wa sonzai shinai est un chef-d’œuvre d’intelligence et de poésie, qui soustrait au lieu d’accumuler, qui ouvre un espace d’interprétation pour mieux sonder les méandres de l’âme humaine.
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    14 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2024
    Un beau film japonais.

    Un homme en osmose et respect avec la nature membre d'une communauté qui se trouve confronté a un projet de camping pour citadins en mal de nature. Deux visions de la nature, deux philosophies de vie. Le film raconte la confrontation entre cet homme et l'équipe projet.

    Un film lent dans ses débuts ce qui est normal pour un film japonais au Japon on ne parle pas de soit alors il faut observer l'autre le ressentir c'est a cela que le début du film invite. Il faut se laisser aller, se couler dans cette approche et on y est bien. Ensuite le film s'anime des relations se nouent, des évolutions se passent jusqu’à la scène finale déroutante ou simplement ultime stade de la confrontation des deux philosophies.

    Un très beau film servi par une belle image, mais demandeur d'action s'abstenir.
    Vincent 1757
    Vincent 1757

    20 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2024
    De la contemplation qui devient de l'ennui. Des travellings dans les arbres à répétition d'une durée horrible. Probablement des allégories à la nature, au combat pour l'écologie que je n'ai pas captées ? Un film pénible, lent, avec des plans fixes trop long. Un scénario mal écrit.
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 591 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 avril 2024
    Ryusuke Hamaguchi est un cinéaste surprenant : cet opus ne ressemble en rien à ses trois films précédents. Et les dépasse largement, de mon point de vue. Que les réticents au cinéma contemplatif passent leur chemin : le rythme du film vise à l’imprégnation, à la réflexion, et non à la narration. Une exception de taille, et de qualité, à ce rythme : la longue et très jouissive scène centrale au cours de laquelle la logique des autochtones démolit inexorablement le discours préparé, formaté et convenu des malheureux représentants de la firme qui projette sur leurs terres un investissement lucratif. Si le film dénonce les menaces que font peser sur le bien commun qu’est notre environnement, avec pour seule raison la recherche du profit, les projets commerciaux capitalistes, il n’en est pas pour autant manichéen, faisant changer le spectateur de point de vue sur les représentants en question ; en éclairant ainsi -peut-être- son titre. Cette œuvre reste marquante pour plusieurs grands moments de cinéma ; comme l’ellipse que constitue un travelling latéral sur un talus, au terme duquel on comprend ce qui s’est passé entre-temps ; comme la correspondance entre la scène d’ouverture et la scène finale, deux travellings en contreplongée dans la forêt, que seule distingue la bande son, faisant ressentir, en symbole du sujet social et environnemental du film, le remplacement d’un sentiment de sérénité par un sentiment de danger et d’angoisse.Ryusuke Hamaguchi est un cinéaste surprenant : cet opus ne ressemble en rien à ses trois films précédents. Et les dépasse largement, de mon point de vue. Que les réticents au cinéma contemplatif passent leur chemin : le rythme du film vise à l’imprégnation, à la réflexion, et non à la narration. Une exception de taille, et de qualité, à ce rythme : la longue et très jouissive scène centrale au cours de laquelle la logique des autochtones démolit inexorablement le discours préparé, formaté et convenu des malheureux représentants de la firme qui projette sur leurs terres un investissement lucratif. Si le film dénonce les menaces que font peser sur le bien commun qu’est notre environnement, avec pour seule raison la recherche du profit, les projets commerciaux capitalistes, il n’en est pas pour autant manichéen, faisant changer le spectateur de point de vue sur les représentants en question ; en éclairant ainsi -peut-être- son titre. Cette œuvre reste marquante pour plusieurs grands moments de cinéma ; comme l’ellipse que constitue un travelling latéral sur un talus, au terme duquel on comprend ce qui s’est passé entre-temps ; comme la correspondance entre la scène d’ouverture et la scène finale, deux travellings en contreplongée dans la forêt, que seule distingue la bande son, faisant ressentir, en symbole du sujet social et environnemental du film, le remplacement d’un sentiment de sérénité par un sentiment de danger et d’angoisse.
    FredGéo
    FredGéo

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2024
    Le Mal existe assurément, il cannibalise la nature et la petite chaman, les cerfs et l'eau en deviennent ses instruments. Un idiot glampingist repenti n'y peut rien, un pionnier conscient non plus, si ce n'est remporter les dépouilles dans le bois. Ibsen, un ennemi public revisité au soleil levant.La farce de la participation et de l'écotourisme. Farce, force et faiblesse d'une humanité déconnectée. Mais à trop vouloir dire, la poésie musico-visuelle et le combat du pionnier conscient prennent le risque de l'allégorie et du discours.
    Frédéric B.
    Frédéric B.

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2024
    Un scénario ouvrant plusieurs lectures aux spectateurs, plusieurs univers et plusieurs thèmes universels rendant le film parfois un peu brouillon et même parfois difficile à regarder par la longueur de certaines de ses scènes.
    Et pourtant, le miracle se produit car on rentre dans le film, on y découvre avec délectation ses subtilités et ses rebondissements, ses personnages qui paraissent au premier regard terne et très commun mais qui vont se révéler forts et/ou attachants !
    Bref, un film puissant et une réussite ! A ne pas manquer !
    ThomasD
    ThomasD

    31 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2024
    Sentiments mitigés. C’est un un beau film, une belle histoire. Les acteurs et actrices sont excellents, particulièrement le personnage principal qui garde un masque impénétrable, à la fois inquiétant et apaisant. C’est un scénario dans lequel il n’y a pas de dialogue en trop, mais à qui il manquerait une conclusion : la fin est dans les limbes… Aussi, on m’avait promis des plans époustouflants, mais je n’ai pas réussi à être impressionné. Certes la nature est bien filmée, mais l’image numérique est froide, trop nette, sans mystère, à vous faire regretter les pellicules d’antan.
    Philippe A.
    Philippe A.

    14 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 avril 2024
    J'avais beaucoup aimé Senses 1&2 et 3&4 avec des dialogues et des jeux subtils tout en délicatesse. Cette fois ci, j'ai été déçu par le narratif, le scénario, les acteurs et... les plans interminables. Des plans rapprochés sur des talus en mouvement qui reflètent qu'une vision floutée de l'histoire et de l'écran. Le soi-disant contraste entre la fable et la réalité business/Écologie est traité de façon caricaturale. Seul le dénouement après 1h45 apporte un peu de la densité et de profondeur à ce film.
    Clotilde F
    Clotilde F

    7 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 avril 2024
    Je me suis questionnée tout au long du film sur le message que le réalisateur voulait faire passer, et tout advient dans les dernières minutes, qui peuvent sembler énigmatiques pour certain(e)s …
    Le message est puissant, brutal, mais d’une subtilité incroyable!
    Nous sommes plongés avec lenteur et contemplation dans le quotidien d’un local vivant dans la nature, de citadins qui cherchent à développer un concept audacieux mais controversé. Un message écologique. On pourrait penser que c’est le sujet que traite le film, mais ce n’est qu’une partie! L’autre sujet (bien plus profond) de ce film survient dans les dernières minutes.
    spoiler:
    Dans la confrontation finale, nous avons en miroir un acte brutal, sauvage entre un animal et un humain (le cerf blessé attaque la petite fille), et entre deux hommes (l’un étrangle l’autre). Tout est une question de point de vue et c’est là que nous questionne l auteur. Du point de vue de l’animal blessé, l’acte est violent certes, mais naturel. Car la nature peut être violente, elle est ni bien ni mal, elle est. Du point de vue de l’homme qui étrangle l’autre, l’acte est incompréhensible et barbare, car nous voyons la scène de notre propre regard d’humain et emphatique, nous cherchons à comprendre, d’autant plus que le film nous amène à nous attacher à ces personnages.
    En finalité, cette dernière scène questionne sur notre animalité, et notre humanité. Notre rapport au bien et au mal. A la nature qui est ce qu’elle est …
    Tout est une question de point de vue. C’est là toute la magie, la finesse et l’intelligence de ce film…
    Corinne SEBAN
    Corinne SEBAN

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Personnellement j'ai trouvé ce film magnifique.
    Pour tous ceux/ celles ( très nombreux sur Allo ciné) qui n'ont pas compris, je pense que les clés du film sont du côté de la mythologie japonaise, et des oeuvres de Miyazaki (Princesse Mononoke). Certains films, comme Le Mal n'existe pas , ne se donnent pas d'emblée. Et ces films sont les plus beaux...
    Liuhuiye22
    Liuhuiye22

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2024
    spoiler: Takumi et sa fille Hana mènent une vie tranquille, simple et naturelle à Mizubiki, une banlieue de Tokyo. Leur vie paisible est interrompue par un promoteur de tourisme, qui souhaite transformer la forêt en un camping de luxe. Ce projet prétendant entraîner des bienfaits économiques troublerait en fait la vie des résidents locaux et menacerait l'écologie des montagnes et des forêts en même temps. Il s'ensuit une dissension entre les deux, affectant insensiblement la vie de Takumi, Hana et des villageois.


    Ce qui m'a attiré pour voir ce film dans de nombruex œuvres récentes, c'est tout d'abord son relativement bonne note : 4, 5 par la presse et 3, 3 par les spectateurs. D'ailleurs, le titre "Le Mal n'existe pas" m'intéresse également en me posant deux questions : Que signifie ici le terme "mal" ? Pourquoi n'existe-t-il pas ?

    Avant tout, j'ai été impressionnée par les scènes très jolies de ce film. L'atmosphère créée par la forêt verdoyante, le soleil radieux et la neige blanche m'a inconsciemment détendue. On peut ainsi sentir la beauté de la nature directement. La musique et les scènes s'accordent aussi bien, celle-là reste toujours calme, mais parfois pesante. Quand elle se terminait brusquement entre deux scènes différentes pour la transition, je me suis lancée dans une nouvelle histoire. C'est vraiment une expérience géniale. Le rythme de ce film est plutôt lent. Le plan séquence de presque cinq minutes au début qui face au ciel de la forêt sans doute donne le ton. À une époque où les vidéos courtes sont omniprésentes et où l'on poursuit la rapidité, cette occasion en or de regarder un film tranquillement et lentement me plaît beaucoup.

    Le plan de point de vue dans ce film mérite d'être remarqué. Le film présente à plusieurs reprises les vues particuliers, tels que celui de la nature (ou celui du cerf) et celui de Takumi, me permettant de mieux comprendre le contenu. Associé à la fin du film, je suppose que Takumi est probablement un symbole ou, si l'on veut, une incarnation de la nature.

    Le renversement à la fin de cette histoire apparemment normale est une grande surprise pour moi. spoiler: Le meurtre soudain m'a ramené au fait que le mot "mal" figure dans le titre de ce beau film, qui rend aussi le film encore plus spécial. Je reviens aux deux questions posées au début. Que signifie ici le terme "mal" ? L'entreprise détruit l'environnement et la vie des habitants pour gagner de l'argent, c'est le mal ; Takumi défend la forêt et rejette les étrangers, mais exige de la forêt ce dont il a besoin pour vivre, c'est le mal ; La nature, symbolisée par le cerf, tue une petite fille innocente, c'est le mal. Alors pourquoi le mal n'existe-t-il pas ? Parce qu'ils agissent tous les trois dans leur propre intérêt. Le comportement humain dans ce film est en fait normal. La nature sait encore moins sur le mal. De ce point de vue, le mal n'existe pas. Il y a bien d'autres choses à penser.


    Comparé à d'autres films sur les catastrophes naturelles à grand renfort d'effets spéciaux, le calme de ce film est vaguement plus inquiétante sur le sujet de la nature. J'aime cette manière d'expression implicite, qui me permet de réfléchir plus profondement.

    Ce film a remporté un prix à la 80e Mostra de Venise, et il m'a aussi donné beaucoup d'intérêt pour la réalisateur Ryûsuke Hamaguchi. J'apprécierai d'autres de ses œuvres dans l'avenir!
    1336500946
    1336500946

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Takumi et sa fille Hana mènent une vie tranquille, simple et naturelle à Mizubiki, une banlieue de Tokyo. Leur vie paisible est interrompue par un promoteur de tourisme, qui souhaite transformer la forêt en un camping de luxe. Ce projet prétendant entraîner des bienfaits économiques troublerait en fait la vie des résidents locaux et menacerait l'écologie des montagnes et des forêts en même temps. Il s'ensuit une dissension entre les deux, affectant insensiblement la vie de Takumi, Hana et des villageois.

    Ce qui m'a attiré pour voir ce film dans de nombruex œuvres récentes, c'est tout d'abord son relativement bonne note : 4, 5 par la presse et 3, 3 par les spectateurs. D'ailleurs, le titre "Le Mal n'existe pas" m'intéresse également en me posant deux questions : Que signifie ici le terme "mal" ? Pourquoi n'existe-t-il pas ?

    Avant tout, j'ai été impressionnée par les scènes très jolies de ce film. L'atmosphère créée par la forêt verdoyante, le soleil radieux et la neige blanche m'a inconsciemment détendue. On peut ainsi sentir la beauté de la nature directement. La musique et les scènes s'accordent aussi bien, celle-là reste toujours calme, mais parfois pesante. Quand elle se terminait brusquement entre deux scènes différentes pour la transition, je me suis lancée dans une nouvelle histoire. C'est vraiment une expérience géniale. Le rythme de ce film est plutôt lent. Le plan séquence de presque cinq minutes au début qui face au ciel de la forêt sans doute donne le ton. À une époque où les vidéos courtes sont omniprésentes et où l'on poursuit la rapidité, cette occasion en or de regarder un film tranquillement et lentement me plaît beaucoup.

    Le plan de point de vue dans ce film mérite d'être remarqué. Le film présente à plusieurs reprises les vues particuliers, tels que celui de la nature (ou celui du cerf) et celui de Takumi, me permettant de mieux comprendre le contenu. Associé à la fin du film, je suppose que Takumi est probablement un symbole ou, si l'on veut, une incarnation de la nature.

    Le renversement à la fin de cette histoire apparemment normale est une grande surprise pour moi. Le meurtre soudain m'a ramené au fait que le mot "mal" figure dans le titre de ce beau film, qui rend aussi le film encore plus spécial. Je reviens aux deux questions posées au début. Que signifie ici le terme "mal" ? L'entreprise détruit l'environnement et la vie des habitants pour gagner de l'argent, c'est le mal ; Takumi défend la forêt et rejette les étrangers, mais exige de la forêt ce dont il a besoin pour vivre, c'est le mal ; La nature, symbolisée par le cerf, tue une petite fille innocente, c'est le mal. Alors pourquoi le mal n'existe-t-il pas ? Parce qu'ils agissent tous les trois dans leur propre intérêt. Le comportement humain dans ce film est en fait normal. La nature sait encore moins sur le mal. De ce point de vue, le mal n'existe pas. Il y a bien d'autres choses à penser.

    Comparé à d'autres films sur les catastrophes naturelles à grand renfort d'effets spéciaux, le calme de ce film est vaguement plus inquiétante sur le sujet de la nature. J'aime cette manière d'expression implicite, qui me permet de réfléchir plus profondement.

    Ce film a remporté un prix à la 80e Mostra de Venise, et il m'a aussi donné beaucoup d'intérêt pour la réalisateur Ryûsuke Hamaguchi. J'apprécierai d'autres de ses œuvres dans l'avenir!
    Mariano Carrera
    Mariano Carrera

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Une fable sur l'amour et le respect de la nature. Presque un récit initiatique. Simple et lent mais qui va l'essentiel. Clair comme de l'eau de roche, limpide comme de l'eau de source, très loin de notre écologisme de salon. Mais le sacré réclame des sacrifices...
    Cat
    Cat

    4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Se passe de mots, on est dans la démonstration. La Nature et sa Loi. Finalement, c'est l'innocent qui paie comme dans tous les livres fondateurs.
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    6 abonnés 281 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2024
    De belles images dans un Japon inconnu et sauvage, un attachement aux personnages de la région et une forte critique du capitalisme inhumain face à un peuple soudé.
    La fin laisse toutefois pantois, jusqu'à la mort? Un film assez lent qui touche un peu.
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