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    Le Mal n'existe pas
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    3,5
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    163 critiques spectateurs

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    Sylvie I.
    Sylvie I.

    4 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 avril 2024
    Malgré l’intérêt du sujet écologique, la photographie n’est pas belle, la musique pénible. Il y avait pourtant matière à nous emmener loin, mais quelle déception ! lenteur et incompréhension.
    Luc C.   74 / 69
    Luc C. 74 / 69

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 avril 2024
    Patience, vous avez le temps, le film va vous emporter bientôt. Admirez ces images et ces plans magnifiques et d’une grande poésie.
    La nature reprend ses droits et fera comprendre aux humains les limites de leurs folies.
    Didy Kong
    Didy Kong

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2024
    très bon film !!! 0 regret !!! du début à la fin excellent !!!! je le recommande sans hésiter !!! il s'agit de bon cinéma
    JiTe
    JiTe

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2024
    La photographie est belle, le synopsis est sympathique, le cadrage allie légèreté, simplicité voulue et naturel, pour livrer quelque chose d'assez inhabituel mais esthétiquement réussi. L'histoire, en revanche, est mal construite, avec des enjeux lancés et jamais suivis, des personnages trop peu décrits, des conflits jamais résolus par le scénario et une fin inutilement compliquée et dérangeante. On a l'impression que le réalisateur se réfugie derrière une posture intellectuelle pour justifier un film tourné avant d'avoir été pleinement écrit. Une fin ouverte est une chose, une fin bâclée en est une autre, et celle de ce film tombe hélas dans la seconde catégorie.
    Priaulet Isabelle
    Priaulet Isabelle

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 avril 2024
    Un titre profond pour un film qui n'a aucun sens...
    La nature n'est qu'un prétexte â un délire gratuit avec une musique bandante...
    L'intrigue qui commence à démarrer au milieu du film n'aura pas de fin. On en ressort médusés.
    Jean-Pierre Jumez
    Jean-Pierre Jumez

    95 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2024
    Film, manifestement destiné aux gogos tokyoïtes en mal d’écologie.
    Mais si vous êtes amateur d’images de sous-bois nippons et si un scénario naïvement idéaliste ne vous gêne pas (comme partout au Japon, un homme à tout faire sans emploi est propriétaire d’un grand chalet et d’un SUV ou un cadre exécutif postule pour un emploi de gardien de camping ou une fillette hypnotise un cerf…), peut-être apprécierez-vous ce très long métrage.
    Ces remarques faites, il faut reconnaître que la musique suit remarquablement bien les plans interminables
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    23 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2024
    Selon Hitchcock le mouvement de caméra le plus inventif devait ne pas se voir. Dans ce film, regne une grande simplicité. La réunion entre les promoteurs et les locaux est classique et prévisible. Cependant il s'en dégage un intense pouvoir d'émotion par la seule vertue de la réalisation. Seule la fin est déconcertante laisse place à plusieurs interprétations et enrichit le message politique de ce film.
    SYLVIE B.
    SYLVIE B.

    27 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2024
    c'est déroutant et très long, mais très beau. On est touchés par l'entente qui se dégage entre les habitants pour faire face au glamping. Touchés par la beauté des paysages et la pureté de la vie. Mais alors si quelqu'un peut m'expliquer la fin ?????
    Muriel F.
    Muriel F.

    53 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2024
    Contempler la nature, faire corps avec la nature, respecter la nature et tous ses habitants. Une sorte d'ode à l'écologie dans la simplicité du quotidien d'hommes, de femmes et d'enfants qui vivent loin de Tokyo tandis que ceux de la grande ville viennent leur vanter l'installation d'un glamping dans leur région. Peu de dialogues, des longs plans séquences ou fixes pour découvrir et marcher dans la forêt. Des actions simples et nécessaires comme couper du bois ou aller à la source pour remplir des bidons. Un film beau et sincère face aux contrastes d'un siècle qui oppose respect et profit. A voir !
    Goéland
    Goéland

    27 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2024
    Hamaguchi restait sur des films convaincants : « Drive my car », bien sûr, mais aussi les remarquables et très Romheriens « Contes du hasard et autres fantaisies ». Son dernier film est bien différent. Il est le fruit d’une collaboration avec une musicienne et n’est devenu un long métrage que parce qu’Hamaguchi avait une idée derrière la tête. Le résultat est « très bizarre » comme dit Patrick Modiano, j’en suis resté perplexe. Hamaguchi est un cinéaste de grande envergure mais là, son projet ne semble pas très clair. Le film se déploie en trois temps : dans la première demi-heure, on est dans une campagne avec un villageois qui coupe du bois avec assurance, il se promène avec sa fille de huit ans dans les forêts, lui apprend le nom des arbres. Hamaguchi regarde le jeu du vent dans les arbres, le ciel, des animaux, sur un fond musical cristallin ; dans le cœur du film, il nous montre comment des investisseurs de Tokyo veulent faire de l’argent avec du « camping glamour » en polluant les nappes phréatiques et la faune et, en face, la résistance des villageois, conscients des risques et mobilisés. La fin du film est un mystère pour moi, je ne l’ai pas comprise, ce qui en général ne me dérange pas mais pour ce film-ci, oui. Elle est vraiment trop en rupture par rapport au cœur du film et pose un problème de sens global du propos. Il paraît qu’il faut voir le film une deuxième fois pour en saisir la portée…
    En conclusion, perplexité, réserves mais talent d’Hamaguchi. Même « bizarre », un film d’Hamaguchi comprend toujours des scènes et des moments superbes, il vaut le déplacement.
    traversay1
    traversay1

    3 554 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2024
    Dans Le mal n'existe pas, alors même qu'il ne s'agit sans doute pas de son long-métrage le plus excitant, Ryûsuke Hamaguchi parvient à une sorte de maîtrise comparable à celle de Zviaguintsev, Mungiu ou Ceylan, à leur zénith. Le cinéaste japonais nous impose la patience dans des premières scènes contemplatives qui prendront une autre dimension dans la dernière partie du film et nous apprend, d'une certaine manière, qu'avec des "si", on coupe du bois. Plus concrètement, Le mal n'existe pas confronte deux manières d'envisager le temps et, partant, deux philosophies de vie, d'une part agitée et pragmatique, en milieu urbain, d'autre part naturelle et sensée, à la campagne. Une version nouvelle du rat des villes et du,rat des champs, subtile, poétique, mystérieuse, voire même opaque dans le dénouement déconcertant du film. Aucune scène, aussi longue soit-elle, n'y est gratuite, et un humour léger accompagne ce voyage en des terres qui semblent bien incongrues aux habitants de la capitale japonaise, sidérés par la connexion des ruraux à un rythme d'existence qui dépasse leur entendement. Le mal n'existe pas a des allures de fable, parfois insaisissable et toujours inattendue, qui confirme l'importance de Hamaguchi dans une caste assez réduite de réalisateurs contemporains qui poursuivent leur route en toute indépendance, sans pour autant ignorer le monde tel qu'il évolue et sur lequel ils jettent un regard ironique et quelque peu malicieux.
    Hugo K
    Hugo K

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mars 2024
    'Le mal n'existe pas' : déclaration d'amour à la Nature🍃

    Ryusuke Hamaguchi est l'un des derniers réalisateurs à comprendre l'art des dialogues. S'ils se font rares (par instant) dans ses films, ils ne perdent pas du tout en qualité, bien au contraire...
    Cela ne fait que renforcer leur importance pour mieux nous laisser apprécier la poésie du film, mise en scène à l'écran.
    Dans une ère où le cinéma passif prédomine le box-office, Hamaguchi préfère impliquer son spectateur afin qu'il se remette en question sur des sujets comme : les rapports sociaux, ou bien, dans ce film, la préservation de l'environnement.

    Le pitch : Les habitants de la ville de Mizubiki vivent en osmose avec la nature qui les entoure. Ils font tout pour préserver le bien-être de Dame Nature, parfois même avant le leur. Ce quotidien est perturbé par une entreprise souhaitant construire un 'glamping' (glamour + camping). Face à la situation, chaque personne réagit à sa manière...

    La nature tokyoïte, décor de rêve 🤯

    Au delà même d'être le cadre de l'action, la nature est également le personnage principal. Elle est la force du film, de par la 'simplicité' avec laquelle elle est filmée. On arrive à s'émerveiller devant chaque plan, à simplement observer les personnages se mouvoir et vaquer à leurs occupations. Mais également, de comprendre peu à peu, comment chaque personne locale dépend de la Nature et ce que la construction d'un site touristique pourrait engendrer.

    'Le mal n'existe pas' c'est un peu comme le plan parfait pour réaliser un film.
    Il comporte tous les éléments qui contribuent à la qualité d'un long-métrage et qui le différencie de la masse :

    - Bon scénario original (lié à l'actualité).

    - Acting parfait. On retrouve quelques acteurs/actrices d'un film précédent d'Hamaguchi (Senses).

    - Des dialogues au bon moment, efficaces.

    - Une mise en scène idéale.

    - Un film rythmé.

    Ryusuke Hamaguchi est-il incapable de proposer autre chose que l'excellence ? Hormis son film 'Asako I et II', qui peut être considéré comme sa production la plus expérimentale, le réalisateur japonais de 45 ans ne déçoit jamais.

    'Le mal n'existe pas', en salles le 10 avril.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    372 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2023
    Ce film japonais est, à mon avis, plutôt décevant malgré une bonne idée de départ. Mais ensuite il ne tient pas ses promesses dans son déroulement et sa conclusion. Le rythme lent du film n’aide pas le spectateur à y trouver de l’intérêt d’autant que la fin du film est assez déroutante et incompréhensible.

    Bernard CORIC
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