Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Avec cette fable réaliste, Ryūsuke Hamaguchi donne à sentir l’équilibre sans cesse menacé de nos écosystèmes et de nos existences, et signe un film sublime, récompensé du Lion d’argent à Venise.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
« Mon monde serait totalement bouleversé », soupire une jeune restauratrice, qui risque de voir l’eau qu’elle utilise pour ses udons salie par les rejets de la fosse septique du glamping. Un « monde », le mot est lâché et situe en même temps l’horizon de la fiction chez Hamaguchi : par-delà les individus, déplier des mondes, créer des vis-à-vis entre des blocs de subjectivité que rien ne rapprochait au premier coup d’œil.
Elle
par Françoise Delbecq
Une pure merveille.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Fable écologique d'une beauté saisissante et thriller implacable, dont l'issue, sèche comme un coup de hache, est laissée à l'interprétation du spectateur, ce nouveau film de Ryūsuke Hamaguchi est une merveille, qui propose au spectateur une expérience cinématographique d'un nouveau genre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Isabelle Danel
Beauté et douceur cohabitent avec l’imminence d’un danger dans des images splendides, composées comme des tableaux. Le ciel et la terre (à moins que ce ne soit l’enfer ?), parfois, se confondent. Il règne ici une simplicité renversante. Cela s’appelle la grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Après Drive My Car, le réalisateur japonais Ryusuke Hamaguchi nous éblouit une nouvelle fois avec cette fable écologiste et métaphysique sur la fragilité des choses et des êtres.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Cl. F.
Hamaguchi sculpte le temps, coupe délibérément certaines scènes, lâche les dialogues pour le silence pur et nous met en lévitation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film hypnotique et captivant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Dans sa captivante fable écolo-musicale où des villageois voient leur quotidien ébranlé par un projet de «camping glamour», le Japonais Ryûsuke Hamaguchi, auteur de «Drive My Car», percute les genres avec une virtuosité étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le plus grand réalisateur japonais du moment - on lui doit notamment « Senses » et « Drive My Car » - signe son retour avec un nouveau film hypnotique. Un film où il célèbre la beauté parfois inquiétante de la nature et décrit avec une ironie acide la religion du profit.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Une œuvre absolument inclassable.
Paris Match
par Yannick Vely
Ruysuke Hamaguchi est bien un magicien du cinéma, un réalisateur qui transforme la moindre commande en grand film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Alain Masson
La singularité de l’œuvre repose sur le respect de l’hétérogénéité de ces matières, suggérée par l’indépendance de la musique et par le contraste entre le conte et l’histoire réaliste.
Première
par Thomas Baurez
Le voyage sera aussi sublime qu’intriguant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Un film de production et d'ambition romanesque modeste néanmoins étincelant de beauté, de délicatesse, de regard à la fois sensible et profond sur les êtres humains.
Critikat.com
par Marin Gérard
En ouvrant les vannes pour faire jaillir la part refoulée du récit, la noirceur du faux dénouement achève de faire du film un nouveau sommet dans l'œuvre d'Hamaguchi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La caméra contemplative semble murmurer avec le vent, frémir avec les arbres, s'écouler avec l'eau pure de la rivière. Cela demande du temps : des plans, qui s'attardent, qui scrutent, qui fixent.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Le Mal n’existe pas cache bien son jeu. Derrière ses images somptueuses, son montage envoûtant et son esthétique paisible, le film de Ryūsuke Hamaguchi porte en lui une violence enfouie, magnifiquement soutenue par ses alternances de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ryusuke Hamaguchi s'enveloppe de l'essence même du territoire qu'il filme. Il entre en résonance avec la nature, une force supérieure qui détermine ce cinéma ouvert aux mystères du monde, aux souffles qui le font vibrer, aux vibrations qui le parcourent.
Le Point
par Florence Colombani
Au bout du compte, nous attend une vraie surprise dramatique et un film qui ne se laisse pas oublier de sitôt.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
À mi-chemin entre fable écolo et chronique sociale, Ryûsuke Hamaguchi s’illustre à nouveau en filmant la tragédie de la modernité à tout prix.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Entre l’exercice de style et le film d’intervention politique, Le mal n’existe pas est à la fois une parenthèse engagée et une nouvelle manifestation des obsessions d’un des auteurs les plus talentueux du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film âpre et splendide, contemplatif et tendu, entre conte et thriller. Hamaguchi porte un regard sans concession et sans faiblesse sur les dégâts de la prédation et le pouvoir toxique des mots.
Télé Loisirs
par M.L.
Ce drame continue d'imposer Ryūsuke Hamaguchi parmi les grands cinéastes de notre époque.
Télérama
par Marie Sauvion
Derrière son titre intrigant, sans doute mensonger, Le Mal n’existe pas conjugue élégie écolo, fable politique et western contemplatif dans un élan de mise en scène d’une beauté rare.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Hamaguchi réussit toujours à nous surprendre tout en restant fidèle à son style. Cette fable écologique doublée d’une étude de mœurs est réellement fascinante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par É.N.
La beauté et la lenteur sont au rendez-vous; la fable écologique remplace les démêlés sentimentaux. Il n'est pas sûr qu'on y ait gagné quoi que ce soit. Le réalisateur hésite entre le conte et le réalisme, ne choisit pas vraiment entre poésie et suspense. Cela laisse un peu coi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Si l’émotion est moins présente, la façon dont il retranscrit l’harmonie entre l’homme et la nature reste magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Bande à part
Avec cette fable réaliste, Ryūsuke Hamaguchi donne à sentir l’équilibre sans cesse menacé de nos écosystèmes et de nos existences, et signe un film sublime, récompensé du Lion d’argent à Venise.
Cahiers du Cinéma
« Mon monde serait totalement bouleversé », soupire une jeune restauratrice, qui risque de voir l’eau qu’elle utilise pour ses udons salie par les rejets de la fosse septique du glamping. Un « monde », le mot est lâché et situe en même temps l’horizon de la fiction chez Hamaguchi : par-delà les individus, déplier des mondes, créer des vis-à-vis entre des blocs de subjectivité que rien ne rapprochait au premier coup d’œil.
Elle
Une pure merveille.
Franceinfo Culture
Fable écologique d'une beauté saisissante et thriller implacable, dont l'issue, sèche comme un coup de hache, est laissée à l'interprétation du spectateur, ce nouveau film de Ryūsuke Hamaguchi est une merveille, qui propose au spectateur une expérience cinématographique d'un nouveau genre.
L'Obs
Beauté et douceur cohabitent avec l’imminence d’un danger dans des images splendides, composées comme des tableaux. Le ciel et la terre (à moins que ce ne soit l’enfer ?), parfois, se confondent. Il règne ici une simplicité renversante. Cela s’appelle la grâce.
La Croix
Après Drive My Car, le réalisateur japonais Ryusuke Hamaguchi nous éblouit une nouvelle fois avec cette fable écologiste et métaphysique sur la fragilité des choses et des êtres.
Le Monde
Hamaguchi sculpte le temps, coupe délibérément certaines scènes, lâche les dialogues pour le silence pur et nous met en lévitation.
Les Echos
Un film hypnotique et captivant.
Libération
Dans sa captivante fable écolo-musicale où des villageois voient leur quotidien ébranlé par un projet de «camping glamour», le Japonais Ryûsuke Hamaguchi, auteur de «Drive My Car», percute les genres avec une virtuosité étourdissante.
Marianne
Le plus grand réalisateur japonais du moment - on lui doit notamment « Senses » et « Drive My Car » - signe son retour avec un nouveau film hypnotique. Un film où il célèbre la beauté parfois inquiétante de la nature et décrit avec une ironie acide la religion du profit.
Ouest France
Une œuvre absolument inclassable.
Paris Match
Ruysuke Hamaguchi est bien un magicien du cinéma, un réalisateur qui transforme la moindre commande en grand film.
Positif
La singularité de l’œuvre repose sur le respect de l’hétérogénéité de ces matières, suggérée par l’indépendance de la musique et par le contraste entre le conte et l’histoire réaliste.
Première
Le voyage sera aussi sublime qu’intriguant de bout en bout.
Transfuge
Un film de production et d'ambition romanesque modeste néanmoins étincelant de beauté, de délicatesse, de regard à la fois sensible et profond sur les êtres humains.
Critikat.com
En ouvrant les vannes pour faire jaillir la part refoulée du récit, la noirceur du faux dénouement achève de faire du film un nouveau sommet dans l'œuvre d'Hamaguchi.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La caméra contemplative semble murmurer avec le vent, frémir avec les arbres, s'écouler avec l'eau pure de la rivière. Cela demande du temps : des plans, qui s'attardent, qui scrutent, qui fixent.
Ecran Large
Le Mal n’existe pas cache bien son jeu. Derrière ses images somptueuses, son montage envoûtant et son esthétique paisible, le film de Ryūsuke Hamaguchi porte en lui une violence enfouie, magnifiquement soutenue par ses alternances de point de vue.
Le Dauphiné Libéré
Ryusuke Hamaguchi s'enveloppe de l'essence même du territoire qu'il filme. Il entre en résonance avec la nature, une force supérieure qui détermine ce cinéma ouvert aux mystères du monde, aux souffles qui le font vibrer, aux vibrations qui le parcourent.
Le Point
Au bout du compte, nous attend une vraie surprise dramatique et un film qui ne se laisse pas oublier de sitôt.
Les Fiches du Cinéma
À mi-chemin entre fable écolo et chronique sociale, Ryûsuke Hamaguchi s’illustre à nouveau en filmant la tragédie de la modernité à tout prix.
Les Inrockuptibles
Entre l’exercice de style et le film d’intervention politique, Le mal n’existe pas est à la fois une parenthèse engagée et une nouvelle manifestation des obsessions d’un des auteurs les plus talentueux du cinéma contemporain.
Sud Ouest
Un film âpre et splendide, contemplatif et tendu, entre conte et thriller. Hamaguchi porte un regard sans concession et sans faiblesse sur les dégâts de la prédation et le pouvoir toxique des mots.
Télé Loisirs
Ce drame continue d'imposer Ryūsuke Hamaguchi parmi les grands cinéastes de notre époque.
Télérama
Derrière son titre intrigant, sans doute mensonger, Le Mal n’existe pas conjugue élégie écolo, fable politique et western contemplatif dans un élan de mise en scène d’une beauté rare.
aVoir-aLire.com
Hamaguchi réussit toujours à nous surprendre tout en restant fidèle à son style. Cette fable écologique doublée d’une étude de mœurs est réellement fascinante.
Le Figaro
La beauté et la lenteur sont au rendez-vous; la fable écologique remplace les démêlés sentimentaux. Il n'est pas sûr qu'on y ait gagné quoi que ce soit. Le réalisateur hésite entre le conte et le réalisme, ne choisit pas vraiment entre poésie et suspense. Cela laisse un peu coi.
Le Journal du Dimanche
Si l’émotion est moins présente, la façon dont il retranscrit l’harmonie entre l’homme et la nature reste magnifique.