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Dune
2 abonnés
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2,0
Publiée le 5 septembre 2024
Film ennuyeux. C'est filmé en noir&blanc mais cela ne se justifie pas artistiquement. L'image est pas belle, les contrastes sont trop fort. Le format est 16/9 ce qui fait que l'on a deux bandes noires sur les cotés. Allez au cinéma pour avoir ce format c'est pas top. Les comédiennes jouent bien. Mais l'histoire n'avance pas, on assiste au combat un par un. Un film à éviter.
Film coup de poing que ce brûlot Politique à travers cet haletant Thriller sportif , Symbole de la lutte des Femmes Iraniennes ! Zar Amir Ebrahimi , qui joue dans le film et Guy Nattiv , elle Iranienne et lui Israélien , signent un film captivant sur la violence du régime Iranien et le douloureux chemin vers l'exil ! Pour moi il ne fait aucun doute que ce film au vu de la thématique ai été interdit de diffusion en Iran !
Un film à voir absolument ! On vit pleinement l’histoire grâce à l’interprétation remarquable des actrices (mention spéciale à Arienne Mandi). C’est un film bouleversant, qui secoue et fait réfléchir, je le recommande vivement.
C'est surtout le fond du scénario, tiré de l'adaptation de plusieurs faits s'étant déroulés dans l'univers sportif international Iranien qui justifie la vision du film.
Toutefois ( selon moi) le scénario à parfois du mal à se renouveler, en raison de l'unité de temps ou se déroule l'action ( le championnat du monde de judo fictif de 1994, localisé pour les besoins de l'histoire à Tbilissi en Géorgie).
Dans la réalité il n' eut jamais lieu, bien que le ton du film peut laisser entendre le contraire au spectateur non informé.
Si l'on peut que s'associer à la volonté d'ouverture symbolisée par l'origine des deux cinéastes et la dénonciation de comportements politiques totalitaires, certains détails de l'histoire sont peut-être discutables dans leur traitement.
Je pense notamment aux conséquences du moyen de pression clef et terrible, utilisé sur la sportive, qui rend sa décision admirable de courage : il ne sera plus traité.
C'est ( de mon point de vue) difficilement justifiable dans la logique interne du scénario, sa faiblesse et ma part de déception.
Le sport comporte parfois ( on se rappelle les JO de Berlin de 1936, les performances suspectes au temps du rideau de fer, le boycott de certains pays lors de JO) une dimension et une récupération politique, qui dépasse, maltraite ses pratiquants comme le montre "Tatami".
Un drame (quoique les exploitants de salle le classent thriller) aux allures de récit d’une situation réelle. En fait, un scénario seulement inspiré de petits bouts d’évènements et de problématiques similaires ayant marqué la présence de sportifs de haut niveau iraniens dans les compétitions internationales. Les médailles c’est toujours bon pour le prestige d’une nation, quel que soit son régime. Mais ici le régime est suffisamment tordu pour préférer voir son athlète abandonner au motif d’une blessure simulée plutôt que d’affronter une compétitrice d’un pays avec lequel il est en conflit. Dès qu’il s’agit d'un film sur l’Iran, la critique s’emballe facilement. C’est toujours jugé par défaut nécessairement très bon ! On s’interrogera quand même sur le choix du noir et blanc. Quel objectif narratif, cinématographique ou artistique ? Et vu le sujet (dans le genre thriller comme promis dans la programmation des salles) on regrettera aussi que les méandres de la décision politique n’aient pas été davantage explorés. Ça aurait fait un film de plus pour vulgariser le régime et ses pratiques. Là, ça ne dépasse pas la dénonciation, somme toute superficielle.
Un excellent film sur le judo avec comme arrière-plan les pressions politiques. Une athlète et sa coach doivent subir les menaces immenses de certaines personnes du régime iranien. Les 2 actrices étaient superbes. Une athlète qui veut continuer la compétition et la coach qui doit malheureusement obéir aux ordres. Le film en noir et blanc montre le manque de liberté des personnages, prendre un choix de lourde conséquences. Le film nous montre que sport et politique ne font pas bon ménage.
Bon, c’est un film coup de poing, ….La politique d’un pays et le sport ne font pas toujours bon ménage. Vous avez lu le synopsis sans doute et savez de quoi je parle….De l’Iran, encore de l’Iran, toujours de l’Iran…..Le film est conçu comme un thriller, avec une atmosphère qui fait penser à « Raging bull » de Scorsese…..Un noir et blanc très élégant, un format carré ( ne soyez pas étonné comme mon voisin, qui est parti se plaindre)….Le film crée l’empathie et je dirais presque l’amour du spectateur pour cette judoka, championne iranienne qui doit se battre contre deux choses, ses adversaires et le pouvoir islamique….Est- ce un symbole quand elle ôte son voile ? Beaucoup d’émotions au fil du film donc, surtout vers la fin….Le genre de film qui a du être interdit en Iran et ne s’oublie pas . Je conseille fortement
Superbe film, parfaitement maîtrisé de bout en bout avec un Noir et Blanc du niveau de grands photo journalistes. Et un suspens une tension digne d'un thriller...ici politique.
Allez y , courrez y c 'est un excellent long métrage et la co réalisatrice ( également dans le rôle de la coach) une femme brillante
spoiler: "Né d’une collaboration inédite et historique entre l’israélien Guy Nattiv (Skin, Golda) et l’iranienne Zar Amir Ebrahimi (Les Nuits de Mashhad), Tatami est un brillant drame qui confronte deux générations de femmes à un état totalitaire faisant obstacle à leur soif de victoire et leur désir de liberté. Sur fond d’un championnat du monde de judo en huis clos, nous suivons une athlète et son coach, en proie à un dilemme qui vont les opposer, mais également les rassembler."
"Nul besoin d’être loquace pour comprendre, dès l’ouverture, que tout va se jouer sur le mental et le corps des athlètes. Dans un souci de performance, Leila ne cesse d’entretenir sa combattivité et ce n’est pas l’obligation de porter le voile pendant la compétition qui la freinera. Explosive et hautement crédible dans ses assauts sur le tatami, Leila nous rappelle avec bienveillance le code moral du judo, qui consiste à dialoguer par les gestes avec l’adverse dans un respect mutuel. Bien entendu, la discussion tourne court avec cette guerrière qui ne perd pas de temps. Aucun adversaire ne lui résiste. Elle enchaîne les waza-ari ou les ippon directs pour se hisser vers les phases finales. Son chemin semble tout tracé jusqu’à la médaille d’or, jusqu’à ce qu’un coup de fil vienne remettre en question ses ambitions. L’idée d’une confrontation avec une athlète israélienne donne des sueurs froides dans les hautes sphères de l’État. Pourtant, Leila semble déterminée à en découdre, quel que soit le prix à payer."
"Doté d’un sens implacable du rythme et de la tension, le film de Guy Nattiv et de Zar Amir Ebrahimi déploie toute la sagesse d’un discours universelle sur la solidarité et la liberté. En somme, Tatami rappelle ô combien l’humanité peut sortir d’une impasse, à la force du collectif, de la confiance et d’un courage indéfectible."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
Haletant de bout en bout ! Le noir et blanc donne une dimension encore plus profonde au sujet, les actrices sont merveilleuses. Franchement, une petite bombe ce film ! Ca fait du bien de voir un bon film dans les salles en ce mois de septembre !
Né d’une collaboration inédite et historique entre l’israélien Guy Nattiv (Skin, Golda) et l’iranienne Zar Amir Ebrahimi (Les Nuits de Mashhad), Tatami est un brillant drame qui confronte deux générations de femmes à un état totalitaire faisant obstacle à leur soif de victoire et leur désir de liberté. Sur fond d’un championnat du monde de judo en huis clos, nous suivons une athlète et son coach, en proie à un dilemme qui vont les opposer, mais également les rassembler.
Excellent film qui sort mercredi. On suit une judokat qui va fuir l Iran sur fond de championnat du monde. Très bien filmé (en noir et blanc)il y a une tension certaine très bien rendue et très bien jouée.
Vu en avant première, ce film est très bien. L’histoire est passionnante, surtout quand on sait qu’elle est inspirée d’une histoire vraie de deux hommes judoka