Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Obs
par Sophie Grassin
La cinéaste filme une génération sacrifiée, le rien sans artifices et l’heure des choix : Zoé fait le sien, Volta la juge. La mise en scène où tout était jusqu’alors vu du point de vue des deux filles sépare alors les (incroyables) actrices. L’image a du grain, le film, du caractère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Catherine Balle
Un long-métrage très juste, porté par le jeu lumineux de ses jeunes actrices.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film a cette qualité de faire régner à l’intérieur de sa fiction le sentiment d’une fuite permanente, qui confère à l’ensemble un halo fantomatique, fané comme un vieux souvenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Garance Fragne
Luàna Bajrami signe un film joyeusement puissant, révoltant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La rédaction
Pour son deuxième long, Luàna Bajrami signe un portrait vibrant de la jeunesse kosovare alors le pays connaît un climat de guerre civile avant son indépendance.
Télérama
par Guillemette Odicino
Deux jeunes filles et leurs illusions perdues dans un Kosovo en miettes. Un second long métrage puissant, par l’actrice et réalisatrice franco-kosovare Luàna Bajrami.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L’actrice et réalisatrice Luàna Bajrami offre le portrait d’une jeunesse qui tente de se reconstruire, dans un pays, le Kosovo, abîmé par huit ans de guerre. Un film saisissant qui va droit au cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Luàna Bajrami poursuit son exploration de la jeunesse kosovare, son pays natal. Mais elle met ici le cap sur 2007, une année de bascule pour ce territoire avant d’accéder à l’indépendance. Sa belle idée est de faire coïncider l’aspiration à la liberté de tout un peuple avec celle de ses deux jeunes héroïnes qui quittent leur village pour intégrer la fac de Pristina.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Clarisse Fabre
Si les deux actrices forment un duo convaincant, le récit se dissout rapidement dans les clichés d’une jeunesse désenchantée, installant un sentiment de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Obs
La cinéaste filme une génération sacrifiée, le rien sans artifices et l’heure des choix : Zoé fait le sien, Volta la juge. La mise en scène où tout était jusqu’alors vu du point de vue des deux filles sépare alors les (incroyables) actrices. L’image a du grain, le film, du caractère.
Le Parisien
Un long-métrage très juste, porté par le jeu lumineux de ses jeunes actrices.
Les Inrockuptibles
Le film a cette qualité de faire régner à l’intérieur de sa fiction le sentiment d’une fuite permanente, qui confère à l’ensemble un halo fantomatique, fané comme un vieux souvenir.
Marie Claire
Luàna Bajrami signe un film joyeusement puissant, révoltant.
Ouest France
Pour son deuxième long, Luàna Bajrami signe un portrait vibrant de la jeunesse kosovare alors le pays connaît un climat de guerre civile avant son indépendance.
Télérama
Deux jeunes filles et leurs illusions perdues dans un Kosovo en miettes. Un second long métrage puissant, par l’actrice et réalisatrice franco-kosovare Luàna Bajrami.
aVoir-aLire.com
L’actrice et réalisatrice Luàna Bajrami offre le portrait d’une jeunesse qui tente de se reconstruire, dans un pays, le Kosovo, abîmé par huit ans de guerre. Un film saisissant qui va droit au cœur.
Première
Luàna Bajrami poursuit son exploration de la jeunesse kosovare, son pays natal. Mais elle met ici le cap sur 2007, une année de bascule pour ce territoire avant d’accéder à l’indépendance. Sa belle idée est de faire coïncider l’aspiration à la liberté de tout un peuple avec celle de ses deux jeunes héroïnes qui quittent leur village pour intégrer la fac de Pristina.
Le Monde
Si les deux actrices forment un duo convaincant, le récit se dissout rapidement dans les clichés d’une jeunesse désenchantée, installant un sentiment de déjà-vu.